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echarpe burberry homme pas chere Évidemment - 0 views

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started by intermixed intermixed on 26 Nov 14
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    La fusion entre Suez et Gaz de France est-elle définitivement morte ? Pas tout à fait, mais presque. Si tout reste techniquement possible, il faut bien admettre que la décision du Conseil constitutionnel de ne l'autoriser qu'en juillet prochain, c'est-à-dire après l'élection présidentielle, lui a porté un coup très rude. Il serait cruel de lister l'invraisemblable série d'erreurs qui ont amené à la situation actuelle, dont la dernière en date n'est pas la moindre : comment, en effet, le ministère des Finances n'a-t-il pas anticipé le fait qu'il n'était pas possible de privatiser un service public national – Gaz de France – avant la libéralisation du marché de l'énergie ? Plus qu'une erreur, il s'agit là d'une faute. Au point où en sont les choses, le dossier Suez- Gaz de France est devenu un sujet de crispation, un enjeu électoral qui dépasse de loin son propre cadre. Pour son plus grand malheur, il a définitivement quitté le terrain industriel pour s'échouer sur celui, mouvant et imprévisible, du politique. Désormais, la question n'est plus de savoir si cette opération, qui donnerait naissance à l'un des tout premiers groupes énergétiques européens, a une logique économique. C'est une évidence que personne n'a jamais contestée. echarpe burberry homme noir
    Le problème est devenu beaucoup plus terre à terre : le gouvernement peut-il raisonnablement publier un décret de privatisation de Gaz de France en pleine campagne pour l'élection présidentielle, alors que cette opération n'est soutenue par aucun des deux favoris. Ségolène Royal, pour une fois en ligne avec le programme du Parti socialiste, y est farouchement opposée, proposant même une renationalisation de l'entreprise. Et, au diable l'avarice, celle d'EDF dans le même temps, soit une addition totale d'une petite vingtaine de milliards d'euros. Nicolas Sarkozy n'a, quant à lui, jamais caché son extrême réticence à l'égard d'un projet qui l'a contraint à revenir sur sa parole de ne pas privatiser Gaz de France. Compte tenu de la tournure des événements, qui relègue les intérêts des deux entreprises au second rang, il faut se demander si le temps n'est pas venu d'arrêter les frais. Si l'obstination à vouloir coûte que coûte passer en force, au risque de nouveaux désagréments, ne prépare pas des lendemains encore plus douloureux. Si, finalement, il ne vaut mieux pas se couper un bras maintenant plutôt que d'être emporté plus tard dans une tourmente beaucoup plus violente. echarpe burberry homme pas chere Évidemment, une retraite, fût-elle en bon ordre, est difficile à admettre. Notamment au sein du gouvernement, qui ne peut s'exonérer de ses responsabilités dans une affaire mal partie depuis le premier jour. Mais il faut se rendre à l'évidence, neuf mois de soubresauts, de rebondissements, d'empoignades ont empêché la mayonnaise de prendre entre les deux groupes . Cohérente, mais semée d'embûches depuis son origine, parasitée par des pressions politiques de toutes sortes, cette fusion porte en germe les risques d'un échec que le Conseil constitutionnel a rendus très concrets. La raison recommande peut-être de dire « stop ». FELIPE Calderon sera-t-il investi président ce vendredi à la Chambre des députés, comme le veut la tradition mexicaine ? Élu le 2 juillet avec un mince avantage de 0,56 % des voix, cet ancien ministre de l'Énergie prend les rênes d'un pays de 105 millions d'habitants, onzième puissance économique mondiale. Mais le dirigeant conservateur n'a toujours pas réussi à imposer sa légitimité à des adversaires de gauche qui l'accusent de fraude électorale. echarpe burberry homme soldes
    Une contestation qui a abouti à un scénario ubuesque : depuis mardi, adversaires et partisans de Felipe Calderon campent à la tribune du Parlement, où ils passent la nuit dans des sacs de couchage. Les députés de gauche du Parti de la révolution démocratique (PRD), qui en sont venus aux mains avec ceux du Parti d'action nationale (PAN) au pouvoir, restent rivés à leurs fauteuils. « C'est une répétition de ce qui peut se passer ce vendredi, mais aussi pendant les prochains mois, analyse la politologue Ana Maria Salazar... Ces élus sont bien loin de pouvoir s'asseoir à la même table pour négocier les réformes que le pays demande. »Andres Manuel Lopez Obrador, ex-candidat de la gauche aux présidentielles et instigateur de cette guerre de tranchées, en est le principal bénéficiaire.

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