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  #1 intermixed intermixed on 29 Dec 14

   

  Laissant le discours sur les valeurs à la candidate, Hollande, hier dans Le Monde, a dévoilé le « plan » fiscal de la gauche, maniant le « nous ferons » et aussi parfois le « je propose ».La différence avec la droite se veut claire et nette. Le PS, qui refuse d'apparaître néanmoins comme le parti de la hausse des prélèvements, compte « revenir sur toutes les baisses d'impôt sur le revenu qui ont été accordées sur les tranches supérieures du barème » depuis 2002. Le « bouclier fiscal », qui doit empêcher qu'un contribuable paie plus de 60 % de son revenu, sera aussi « supprimé ». « Ce qu'on est en train de vivre en France, du côté gauche de l'échiquier politique, est en décalage complet avec le reste de l'Europe », a réagi hier le ministre délégué au budget, Jean-François Copé.Hollande n'est pas favorable non plus à l'exonération de la résidence principale de l'ISF. Mais il n'est pas hostile à une évolution de cet impôt symbolique : « Nous ferons une réforme de l'ISF qui maintienne la contribution des plus gros patrimoines à l'effort de solidarité sans pour autant favoriser l'évasion » fiscale. polo lacoste verst pas cher
  Il veut notamment éviter que des entreprises familiales ne soient rachetées « pour des raisons fiscales ».«Risque dépendance»La fiscalité figure aussi parmi les outils que la gauche compte mettre en oeuvre pour résoudre l'équation des retraites. Pour « préserver un taux de remplacement d'au moins 75 % pour les petites et moyennes retraites et ne pas allonger encore les durées de cotisation pour les métiers pénibles, il faudra créer une contribution de solidarité calculée sur l'ensemble de la richesse produite », ­explique Hollande. Cette « CSG-retraite » couvrirait aussi le « risque dépendance ». Les régimes spéciaux seraient réformés pour « les personnes nouvellement embauchées ».Tout en laissant entendre que de nouveaux efforts devront être consentis pour assurer le financement des retraites, François Hollande évite de se prononcer sur un nouvel allongement des durées de cotisation. Le premier secrétaire fixe comme objectif d'augmenter le taux d'emploi des seniors en modulant les cotisations sociales en fin de carrière. doudoune ralph lauren pas cher L'interview-programme de François Hollande compte aussi quelques oublis... La « fusion de l'impôt sur le revenu et de la CSG », qui figure dans le projet socialiste, n'est pas mentionnée. Elle est jugée irréalisable par certains responsables socialistes. Le numéro un du PS ne dit pas un mot non plus de la création du « revenu de solidarité d'activité » évoqué dimanche soir par Ségolène Royal comme l'une de ses premières mesures économiques. Hollande corrige une fois encore les propos de la ­candidate, dénonçant la politique de ­la Banque centrale européenne. sac burberry pas cher
  « Avant de mettre en cause la BCE, il faut dénoncer la coupable négligence des gouvernements européens », explique-t-il en proposant « une discussion entre la zone euro, les États-Unis et la Chine pour trouver un accord de stabilisation des taux de change ». S'il devient ministre des Finances, il pourra la mener..La candidate des Verts à l'élection présidentielle, Dominique Voynet, a émis hier, sur Europe 1, l'espoir que l'animateur de télévision Nicolas Hulot ne soit pas candidat à cette élection et lui a demandé de « ne pas affaiblir » ses « partenaires » qui vont aider à mettre en oeuvre ses propositions.Notant que le producteur d'« Ushuaïa » a contribué à mettre les problèmes de réchauffement climatique « au coeur du débat », elle a expliqué que sa candidature « n'aiderait pas forcément ceux qui sont en charge du changement des politiques dans les collectivités, dans les mairies, dans les régions, à faire vraiment leur travail ».Le sénateur de Seine-Saint-Denis a noté à cet égard que, « sur la foi du rapport de forces dont disposent les écologistes dans la société », l'attitude des socialistes à l'égard des Verts avait changé, et qu'ils leur proposaient aujourd'hui moins de circonscriptions réservées qu'il y a quelques semaines. « Alors je dis à Nicolas Hulot : fais attention à ne pas affaiblir ceux qui sont tes partenaires et qui vont aider à faire ce que tu proposes tous les jours », a-t-elle ajouté.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Laissant le discours sur les valeurs à la candidate, Hollande, hier dans Le Monde, a dévoilé le « plan » fiscal de la gauche, maniant le « nous ferons » et aussi parfois le « je propose ».La différence avec la droite se veut claire et nette. Le PS, qui refuse d'apparaître néanmoins comme le parti de la hausse des prélèvements, compte « revenir sur toutes les baisses d'impôt sur le revenu qui ont été accordées sur les tranches supérieures du barème » depuis 2002. Le « bouclier fiscal », qui doit empêcher qu'un contribuable paie plus de 60 % de son revenu, sera aussi « supprimé ». « Ce qu'on est en train de vivre en France, du côté gauche de l'échiquier politique, est en décalage complet avec le reste de l'Europe », a réagi hier le ministre délégué au budget, Jean-François Copé.Hollande n'est pas favorable non plus à l'exonération de la résidence principale de l'ISF. Mais il n'est pas hostile à une évolution de cet impôt symbolique : « Nous ferons une réforme de l'ISF qui maintienne la contribution des plus gros patrimoines à l'effort de solidarité sans pour autant favoriser l'évasion » fiscale. <a href="http://www.toutetplusencore.fr/lacoste-pas-cher" rel="nofollow" title="polo lacoste verst pas cher">polo lacoste verst pas cher</a> <br /> Il veut notamment éviter que des entreprises familiales ne soient rachetées « pour des raisons fiscales ».«Risque dépendance»La fiscalité figure aussi parmi les outils que la gauche compte mettre en oeuvre pour résoudre l'équation des retraites. Pour « préserver un taux de remplacement d'au moins 75 % pour les petites et moyennes retraites et ne pas allonger encore les durées de cotisation pour les métiers pénibles, il faudra créer une contribution de solidarité calculée sur l'ensemble de la richesse produite », ­explique Hollande. Cette « CSG-retraite » couvrirait aussi le « risque dépendance ». Les régimes spéciaux seraient réformés pour « les personnes nouvellement embauchées ».Tout en laissant entendre que de nouveaux efforts devront être consentis pour assurer le financement des retraites, François Hollande évite de se prononcer sur un nouvel allongement des durées de cotisation. Le premier secrétaire fixe comme objectif d'augmenter le taux d'emploi des seniors en modulant les cotisations sociales en fin de carrière. <a href="http://www.toutetplusencore.fr/ralph-lauren-pas-cher" rel="nofollow" title="doudoune ralph lauren pas cher">doudoune ralph lauren pas cher</a> L'interview-programme de François Hollande compte aussi quelques oublis... La « fusion de l'impôt sur le revenu et de la CSG », qui figure dans le projet socialiste, n'est pas mentionnée. Elle est jugée irréalisable par certains responsables socialistes. Le numéro un du PS ne dit pas un mot non plus de la création du « revenu de solidarité d'activité » évoqué dimanche soir par Ségolène Royal comme l'une de ses premières mesures économiques. Hollande corrige une fois encore les propos de la ­candidate, dénonçant la politique de ­la Banque centrale européenne. <a href="http://www.handsup-select.fr/burberry-pas-cher" rel="nofollow" title="sac burberry pas cher">sac burberry pas cher</a> <br /> « Avant de mettre en cause la BCE, il faut dénoncer la coupable négligence des gouvernements européens », explique-t-il en proposant « une discussion entre la zone euro, les États-Unis et la Chine pour trouver un accord de stabilisation des taux de change ». S'il devient ministre des Finances, il pourra la mener..La candidate des Verts à l'élection présidentielle, Dominique Voynet, a émis hier, sur Europe 1, l'espoir que l'animateur de télévision Nicolas Hulot ne soit pas candidat à cette élection et lui a demandé de « ne pas affaiblir » ses « partenaires » qui vont aider à mettre en oeuvre ses propositions.Notant que le producteur d'« Ushuaïa » a contribué à mettre les problèmes de réchauffement climatique « au coeur du débat », elle a expliqué que sa candidature « n'aiderait pas forcément ceux qui sont en charge du changement des politiques dans les collectivités, dans les mairies, dans les régions, à faire vraiment leur travail ».Le sénateur de Seine-Saint-Denis a noté à cet égard que, « sur la foi du rapport de forces dont disposent les écologistes dans la société », l'attitude des socialistes à l'égard des Verts avait changé, et qu'ils leur proposaient aujourd'hui moins de circonscriptions réservées qu'il y a quelques semaines. « Alors je dis à Nicolas Hulot : fais attention à ne pas affaiblir ceux qui sont tes partenaires et qui vont aider à faire ce que tu proposes tous les jours », a-t-elle ajouté.</div>

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