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    Mon parti est moins négatif que ces deux formations en ce qui concerne la politique suivie depuis quinze ans par la Pologne. En revanche, nous partageons la même vision sur le rôle de l'Etat.Ce pacte annonce un changement radical. Qu'est-ce que cela signifie ?Cela signifie que nous allons clarifier ce qui s'est passé depuis quinze ans. Certains services au sein de l'appareil d'Etat sont malades. Ils seront donc éliminés. Mais nous ne reviendrons pas sur le choix d'une économie de marché et il est absurde de dire que la démocratie est menacée. chemises manches courtes burberryCe que nous voulons changer, c'est le rapport de forces qui joue depuis quinze ans en faveur des héritiers de l'ancien régime communiste.Vous bénéficiez de l'appui du père Rydzyk, chef de file du courant fondamentaliste. Partagez-vous ses valeurs ?Ma vision du monde est évidemment différente de celle du père Rydzyk. Moi, je suis un conservateur modéré. Mais j'ai besoin d'alliés pour réaliser ces changements, faire en sorte qu'une carte d'appartenance aux anciens services secrets communistes ne constitue plus un laissez-passer. Le père Rydzyk n'est quand même pas un terroriste ! Si l'on tolère les ultralibéraux, pourquoi ne pas tolérer aussi les ultracatholiques ? Kaczynski doit chercher des alliés là ou ils se trouvent. Qui gouverne en Pologne, c'est notre affaire ! Si les Français avaient élu Jean-Marie Le Pen, nous serions bien obligés de coopérer avec lui. chemise burberry homme taille s Lech Kaczynski : «Le traité européen n'a aucune chance d'être adopté chez nousNÉ DE rumeurs, l'emballement médiatique sur une éventuelle arrestation par la police serbe du général Ratko Mladic, inculpé de génocide, de crimes contre l'humanité et de crimes de guerre par le Tribunal pénal international de La Haye (TPI), n'aura pas été perdu pour tout le monde. Le Parti radical (opposition nationaliste, près d'un tiers des sièges au Parlement de Serbie) avait prévu depuis longtemps de manifester hier au centre de Belgrade pour marquer le troisième anniversaire du transfert à La Haye de son fondateur historique, Vojislav Seselj, inculpé pour son rôle politique durant la guerre de Croatie (juillet-décembre 1991). L'affaire Mladic a permis au Parti radical de mobiliser la foule sur un thème plus vaste encore que le seul sort de son chef : «L'insupportable tyrannie de La Haye.»Ils étaient plus de 50 000 à manifester hier après-midi sur la place de la République, chantant en choeur, sur des airs populaires, le nom de Seselj, et brandissant des centaines de drapeaux bleu roi, la couleur du Parti radical. Dans la foule, où l'on comptait beaucoup plus d'hommes que de femmes, nombre de manifestants portaient la sajkaca, le béret traditionnel du paysan serbe, qui était aussi celui des soldats de l'armée du roi Pierre Ier de Serbie pendant la Première Guerre mondiale.«Nous sommes venus réclamer la libération de notre président Vojislav Seselj, toujours injustement retenu à La Haye», a expliqué au Figaro Nebojsa Stefanovic, économiste de 29 ans, secrétaire général adjoint du Parti radical. «Il est scandaleux que, trois ans après son départ volontaire pour La Haye, le TPI n'ait pas encore commencé le procès de Seselj !»Le nationaliste Seselj s'était illustré en 1991 par ses discours incendiaires contre le sécessionnisme de la République de Croatie, qui combattait alors pour quitter la Yougoslavie de Tito et devenir indépendante. chemises burberry en soldesGrâce à une éloquence comparable à celle de son ami Jean-Marie Le Pen, Seselj persuada de nombreux citoyens de Serbie de s'enrôler dans des formations paramilitaires pour aller combattre à Vukovar (Slavonie, est de la Croatie) aux côtés des unités de défense territoriale des Serbes de Croatie et de l'armée fédérale yougoslave (JNA).«Tribunal illégal»Après la chute de Vukovar, en novembre 1991, plusieurs centaines de prisonniers de guerre croates furent exécutés. Des officiers supérieurs de la JNA sont actuellement incarcérés à La Haye pour répondre de ce crime de guerre. «C'est parce qu'il est très difficile de condamner pénalement un activiste politique pour ses propos, fussent-ils jugés extrémistes, que le TPI n'a pas entamé le procès de Seselj», s'indigne M. Stefanovic.En ce qui concerne le général Ratko Mladic, commandant en chef de l'armée bosno-serbe durant la guerre de Bosnie (1992-1995), dont la responsabilité dans le massacre de Srebrenica (7 000 hommes et adolescents musulmans exécutés en juillet 1995) est avérée, le Parti radical est opposé à son transfert à La Haye. «Ce tribunal est illégal au regard du droit international», explique le jeune secrétaire général adjoint du Parti radical.

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