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    Elle est aussi marquée par la perversion que fait naître l'argent acquis illégalement (train de vie ostentatoire, frime, mépris des gagne-petit). Elle prospère sans rencontrer beaucoup d'obstacles de la part d'une société plutôt molle, souvent encline à l'autoaccusation, et qui fait semblant de ne rien voir pour ne pas avoir à faire front.Face aux violences émeutières, il est nécessaire, pour un travail en amont, de rechercher les causes sociales profondes, ainsi que les ressorts psychologiques des auteurs de violences (notamment leur ressentiment contre une société globale qu'ils dénoncent comme «raciste»). Il faut cependant savoir éviter le passage de l'explication à la compréhension, voire à l'excuse ou, pis encore, à la justification, voire à l'éloge. Même les violences émeutières les plus «gratuites» occasionnent des torts inacceptables à des personnes, à des biens qui appartiennent à tous, à des quartiers qu'elles entraînent dans la ruine ; et elles s'enracinent dans la délinquance ordinaire, par le profil de leurs auteurs, tous bien connus des policiers locaux, à défaut d'être toujours connus par la justice. Pour sa part, le crime de Bagneux, apparemment commis par nombre de délinquants multiréitérants, vient nous rappeler, après bien d'autres drames de même nature au cours de ces dernières années, que la contre-culture des territoires à la dérive peut engendre les actions les plus horribles. On n'a pas le droit, au vu de telles réalités, de négliger la souffrance des victimes et de prendre au premier degré les accusations des agresseurs, quelle que soit la forme prise par la violence collective. chemises femmes burberry pas cherCommissaire divisionnaire honoraire, ancien chef de la section villes et banlieues à la Direction centrale des renseignements généraux, auteur de Violences urbaines, des vérités qui dérangent (Bayard, 2000). Quel contraste entre la mobilisation générale décrétée l'été dernier pour défendre Danone et ses yaourts, face aux appétits supposés de Pepsi, et le silence assourdissant qui entoure les menaces d'OPA, bien réelles celles-là, sur Suez ! Depuis que l'italien Enel a dévoilé ses intentions, on cherche en vain un mot du gouvernement. Rien. Pas même un mouvement de menton. Comme si l'étendard du patriotisme économique, si promptement brandi ces derniers mois, avait été soigneusement replié.La réalité, c'est qu'il n'a jamais flotté aussi haut, mais que les leçons du passé ont porté. Les rodomontades sur Danone n'ont pas dissuadé Mittal de se jeter sur Arcelor. chemise burberry homme pas chére Aussi, dans l'affaire Suez, les bonnes vieilles méthodes qui ont si souvent fait la preuve de leur efficacité sont de retour. Dans la coulisse, la puissance publique, président de la République et premier ministre en tête, a pris les choses en main. Discret et ferme, le message passé aux Italiens est sans ambiguïté : on ne touche pas au numéro deux français de l'énergie, également chargé de l'alimentation en eau d'une commune française sur deux. S'agissant de l'une de nos entreprises les plus sensibles et les plus stratégiques, on ne s'en offusquera pas. Tous les autres grands pays confrontés à ce type de situation ont agi exactement de la même manière. On ne badine pas avec la sécurité nationale.Mais tant qu'à se saisir de l'affaire Suez, le gouvernement ferait preuve de responsabilité en accélérant un rapprochement avec Gaz de France, introduit en Bourse avec les précautions que l'on sait. chemise style burberry hommeDans le maelström actuel de l'énergie en Europe, aucun de ces deux groupes n'a la taille ni la puissance pour boxer en première division. Petit parmi les grands, Suez est depuis des années l'objet de convoitises et de tentatives de déstabilisation de toutes sortes. Avec la cote mal taillée d'un groupe à la fois livré à la concurrence et bridé par un statut mi-privé mi-public qui ne lui donne pas les moyens de son expansion, Gaz de France n'est guère mieux loti. A dix-huit mois de la libéralisation complète du marché européen de l'énergie, qui pourrait contester l'intérêt d'allier les deux pour créer un champion présent à la fois dans le gaz et l'électricité ?Pour mener ce projet à terme, il faudra une qualité d'exécution irréprochable – les deux groupes sont cotés et les marchés financiers ont leurs exigences propres – mais aussi une volonté politique sans faille. Laquelle passe par une privatisation complète de Gaz de France, ce qui est actuellement interdit par la loi. Et puisque l'on en est à réfléchir à l'avenir de nos fleurons énergétiques, le courage politique voudrait aussi que l'on se penche au plus vite sur le cas d'EDF, entravé dans son développement par son statut semi-public, intenable à terme, qui lui interdit de participer aux manoeuvres du moment. Car plus que la défense des champions nationaux, le patriotisme économique, c'est aussi et d'abord leur donner suffisamment de munitions pour lutter à armes égales avec leurs adversaires.

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