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  #1 intermixed intermixed on 06 Aug 14

   

  Il faut « plus de contrat et moins de loi », a résumé hier Jacques Chirac devant le Conseil économique et social. C'est le sens de cette réforme qui, rappelons-le, n'arrive pas en terrain vierge : la loi Fillon de mai 2004 ouvrait la voie.Mais si le sujet n'a guère avancé depuis, c'est parce qu'il pose deux problèmes de taille. Ouvrir le champ du dialogue social suppose que les partenaires sociaux soient reconnus comme représentatifs et légitimes. C'est loin d'être le cas. Avec un taux de syndicalisation de 5 % dans le privé, la France se classe au dernier rang des pays de l'OCDE.En outre, dans un pays où la loi est la source principale du droit social, il est difficile de déplacer le curseur en faveur de la négociation : on ne fabrique pas une culture du compromis d'un claquement de doigts. Sac Longchamp Pliage Medium
  Comme l'a dit le président de la République, cela suppose « une révolution des esprits ».L'ÉTAT hébreu réclame la fermeté, pour empêcher son cauchemar nucléaire de se réaliser. Israël redoute que l'essai nucléaire du régime de Pyongyang, effectué en dépit des pressions internationales, ne soit interprété comme un feu vert par Téhéran. Se félicitant de disposer de sa propre force de dissuasion, le gouvernement israélien a fait part, hier, de sa crainte d'un transfert de technologie nucléaire de la Corée du Nord à l'Iran. Plusieurs responsables israéliens ont exprimé l'espoir que l'annonce de la Corée du Nord permettra une prise de conscience de la communauté internationale sur les risques de prolifération nucléaire et entraînera une position plus ferme à l'encontre de Téhéran.Les responsables israéliens cités par les médias jugent que l'absence d'une réponse internationale ferme au test nord-coréen pourrait encourager l'Iran à accélérer son programme nucléaire. « La leçon que Téhéran pourrait retenir est que la communauté internationale est incapable d'empêcher un pays qui le veut d'acquérir la puissance nucléaire, même lorsque des sanctions ont été imposées et que ce pays a été isolé », juge un responsable israélien. chemise Burberry Femme « À présent que la Corée du Nord a prouvé ses capacités nucléaires, elle risque de collaborer avec l'Iran et de l'aider à accélérer son programme nucléaire », prévient l'ambassadeur d'Israël à Washington, Danny Ayalon. Des responsables des services de renseignements israéliens affirment que Téhéran a investi de larges sommes d'argent dans les coffres vides de la Corée du Nord ces dernières années, en échange de technologies militaires. D'après les services israéliens, Téhéran aurait ainsi accéléré de façon significative son programme de missiles et aurait développé une tête capable de transporter une charge nucléaire pour son missile Shihab 3.Israël doute de l'efficacité de sanctions économiques contre la Corée du Nord, « un régime qui impose quotidiennement des sanctions à ses citoyens ». Mais l'État hébreu juge que de telles sanctions contre l'Iran « seraient bien plus efficaces, vu que l'Iran dépend du marché mondial pour ses exportations de pétrole ». Le vice-premier ministre, Shimon Pérès, a appelé à « frapper économiquement » l'Iran. « L''hésitation à infliger des sanctions économiques mènera à des actions militaires », a-t-il mis en garde dans une interview à la radio militaire. sac Burberry Femme
  Ambiguïté israélienneConsidéré comme le père du programme nucléaire israélien, Shimon Pérès a réaffirmé qu'Israël disposait d'une « option nucléaire » tout en maintenant le flou. « Heureusement, Israël continue de disposer de sa propre force de dissuasion face aux menaces nucléaires, grâce à l'opération de Dimona », s'est-il félicité en faisant allusion à la centrale atomique israélienne.Selon des experts militaires étrangers, Israël dispose d'un arsenal nucléaire de plus de 200 ogives. Israël maintient toutefois une politique d'ambiguïté sur son programme atomique et refuse de signer le traité de non-prolifération nucléaire et de soumettre sa centrale de Dimona à un contrôle ­international.« Le danger dans la prolifération nucléaire, a averti Pérès, c'est que des armes atomiques parviennent entre les mains de groupes terroristes. C'est un problème mondial. »L'ÉTAT hébreu réclame la fermeté pour empêcher son cauchemar nucléaire de se réaliser.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Il faut « plus de contrat et moins de loi », a résumé hier Jacques Chirac devant le Conseil économique et social. C'est le sens de cette réforme qui, rappelons-le, n'arrive pas en terrain vierge : la loi Fillon de mai 2004 ouvrait la voie.Mais si le sujet n'a guère avancé depuis, c'est parce qu'il pose deux problèmes de taille. Ouvrir le champ du dialogue social suppose que les partenaires sociaux soient reconnus comme représentatifs et légitimes. C'est loin d'être le cas. Avec un taux de syndicalisation de 5 % dans le privé, la France se classe au dernier rang des pays de l'OCDE.En outre, dans un pays où la loi est la source principale du droit social, il est difficile de déplacer le curseur en faveur de la négociation : on ne fabrique pas une culture du compromis d'un claquement de doigts. <a title="Sac Longchamp Pliage Medium" rel="nofollow" href="http://www.acorpsdmoi.fr/Sac-Longchamp-Pliage-Medium">Sac Longchamp Pliage Medium</a> <br /> Comme l'a dit le président de la République, cela suppose « une révolution des esprits ».L'ÉTAT hébreu réclame la fermeté, pour empêcher son cauchemar nucléaire de se réaliser. Israël redoute que l'essai nucléaire du régime de Pyongyang, effectué en dépit des pressions internationales, ne soit interprété comme un feu vert par Téhéran. Se félicitant de disposer de sa propre force de dissuasion, le gouvernement israélien a fait part, hier, de sa crainte d'un transfert de technologie nucléaire de la Corée du Nord à l'Iran. Plusieurs responsables israéliens ont exprimé l'espoir que l'annonce de la Corée du Nord permettra une prise de conscience de la communauté internationale sur les risques de prolifération nucléaire et entraînera une position plus ferme à l'encontre de Téhéran.Les responsables israéliens cités par les médias jugent que l'absence d'une réponse internationale ferme au test nord-coréen pourrait encourager l'Iran à accélérer son programme nucléaire. « La leçon que Téhéran pourrait retenir est que la communauté internationale est incapable d'empêcher un pays qui le veut d'acquérir la puissance nucléaire, même lorsque des sanctions ont été imposées et que ce pays a été isolé », juge un responsable israélien. <a title="chemise Burberry Femme" rel="nofollow" href="http://www.cercleaqua.fr/Burberry-Femme">chemise Burberry Femme</a> « À présent que la Corée du Nord a prouvé ses capacités nucléaires, elle risque de collaborer avec l'Iran et de l'aider à accélérer son programme nucléaire », prévient l'ambassadeur d'Israël à Washington, Danny Ayalon. Des responsables des services de renseignements israéliens affirment que Téhéran a investi de larges sommes d'argent dans les coffres vides de la Corée du Nord ces dernières années, en échange de technologies militaires. D'après les services israéliens, Téhéran aurait ainsi accéléré de façon significative son programme de missiles et aurait développé une tête capable de transporter une charge nucléaire pour son missile Shihab 3.Israël doute de l'efficacité de sanctions économiques contre la Corée du Nord, « un régime qui impose quotidiennement des sanctions à ses citoyens ». Mais l'État hébreu juge que de telles sanctions contre l'Iran « seraient bien plus efficaces, vu que l'Iran dépend du marché mondial pour ses exportations de pétrole ». Le vice-premier ministre, Shimon Pérès, a appelé à « frapper économiquement » l'Iran. « L''hésitation à infliger des sanctions économiques mènera à des actions militaires », a-t-il mis en garde dans une interview à la radio militaire. <a title="sac Burberry Femme" rel="nofollow" href="http://www.cercleaqua.fr/Accessories-Burberry-Femme">sac Burberry Femme</a> <br /> Ambiguïté israélienneConsidéré comme le père du programme nucléaire israélien, Shimon Pérès a réaffirmé qu'Israël disposait d'une « option nucléaire » tout en maintenant le flou. « Heureusement, Israël continue de disposer de sa propre force de dissuasion face aux menaces nucléaires, grâce à l'opération de Dimona », s'est-il félicité en faisant allusion à la centrale atomique israélienne.Selon des experts militaires étrangers, Israël dispose d'un arsenal nucléaire de plus de 200 ogives. Israël maintient toutefois une politique d'ambiguïté sur son programme atomique et refuse de signer le traité de non-prolifération nucléaire et de soumettre sa centrale de Dimona à un contrôle ­international.« Le danger dans la prolifération nucléaire, a averti Pérès, c'est que des armes atomiques parviennent entre les mains de groupes terroristes. C'est un problème mondial. »L'ÉTAT hébreu réclame la fermeté pour empêcher son cauchemar nucléaire de se réaliser.</div>

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