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    Des mesures de ­solidarité ont déjà été prises au profit des 1,6 million de ménages en situation précaire, pour les aider à supporter leurs dépenses d'électricité en 2004, de gaz voici quelques mois, et bientôt d'accès à Internet. Seule l'eau est exclue de ce processus qui concerne déjà tous les services en réseaux. Surtout, on interdit de faire en France ce qui est autorisé à l'étranger, ­grâce à la loi Oudin ­votée l'année dernière, qui permet d'affecter 1 % du prix de l'eau à des projets de ­solidarité à l'étranger.Les ONG, qui ont lancé un « appel aux députés pour un droit à l'eau effectif pour tous », sont loin d'être isolées dans cette ­démarche. L'Association des maires des grandes villes de France s'est prononcée elle aussi en ­faveur de telles mesures. Cette question renvoie à la conception qu'on se fait de l'eau. Est-ce une marchandise comme une autre ?Les détracteurs de cette proposition rétorquent qu'il existe déjà un fonds de solidarité pour le logement, qui a vocation à prendre en charge les factures impayées. cartable homme longchamp neuf
    Ils sont 500 000 à en avoir bénéficié pour les aider à régler leur facture de l'électricité ; 20 000 seulement pour l'eau. Surtout, faut-il attendre qu'un ménage soit surendetté pour lui venir en aide ? Il serait peut-être préférable d'intervenir en amont pour lui éviter d'en arriver là.Qui dit droit à l'eau suppose également d'en fixer les limites. Car à l'instar de tout droit, il ­s'arrête là où commencent les abus. Il ne faut surtout pas confondre droit à l'eau et gratuité, clament ainsi d'une seule voix tous les acteurs du secteur, y compris les ONG : ce ­serait le meilleur moyen de déresponsabiliser les usagers. Surtout, peut-on exiger de sa ­commune le droit d'être raccordé lorsqu'on se fait construire sa maison au ­sommet d'une montagne ? Les autorités françaises, qui commencent à réfléchir à la question, ­devront également se demander s'il faut couper l'eau aux squatters et ­comment garantir son accès aux gens du voyage. Ce débat, qui doit encore évoluer dans les esprits, est un véritable puits sans fonds. cartable longchamp pas cher * Grand reporter au service Sciences Médecine du Figaro.« La loi de 1998 avait identifié trois biens essentiels auxquels chacun devait avoir accès : l'eau, l'énergie et le téléphone » Aujourd'hui l'ensemble de la communauté internationale a vivement réagi. Le premier ministre britannique Tony Blair a estimé que cette conférence était «incroyablement choquante». La chancelière Angela Merkel a condamné «le plus fermement» l'initiative iranienne tandis que la Maison Blanche a qualifié la conférence d' «affront au monde civilisé». En France, le chef de la diplomatie Philippe Douste-Blazy s'est également élevé contre «la résurgence des thèses négationnistes ou révisionnistes» en soulignant qu'elles n'étaient «pas acceptables». Même réaction du Parti communiste français qui «s'indigne d'une telle initiative antisémite». Le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, a qualifié pour sa part de «condamnable et inquiétante» la conférence à Téhéran qui se doit se terminer en fin de journée. dihommeion sac voyage longchamps
    Encore une grève de trop à la SNCF ! Certes, le mouvement lancé hier soir à l'appel de deux syndicats minoritaires chez les conducteurs de train devrait, dit-on, avoir un impact limité sur le trafic. Mais cela fait maintenant plus d'une semaine que des conflits locaux, donc ­forcément moins visibles que des débrayages nationaux, mais tout aussi nuisibles, empoisonnent la vie de millions d'usagers.En Alsace, Auvergne, Centre, Languedoc-Roussillon, Provence-Alpes-Côte d'Azur, Picardie, Rhône-Alpes, Ile-de-France, bref un peu partout en France, des quais restent déserts avec parfois moins d'un train sur trois aux heures de pointe. Mais c'est le prix à payer, paraît-il, pour la « défense du service public », étendard bien pratique qui justifie toutes les grèves, faute souvent de motifs plus précis.Au moment où l'Assemblée nationale s'apprête à adopter un texte unanimement salué pour ­encourager le dialogue social et donner plus de responsabilités aux partenaires sociaux, ce qui se passe à la SNCF, où l'on recense plus d'une grève par jour, relève bel et bien d'un autre âge. Des ­organisations syndicales profondément ­divisées prospèrent depuis trop longtemps dans une logique de conflit, de surenchère et de blocage. Enfermées dans une culture protestataire, elles fuient la négociation.

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