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started by intermixed intermixed on 02 Sep 14
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    Sur le plan stratégique, c'est un peu comme si les Indiens ambitionnaient d'être une Chine, «version gentille». Un pays que l'on prend au sérieux, sans qu'il soit perçu comme menaçant. Auteur de Inde, la démocratie par la caste, Fayard, 2005.La cohabitation Hamas-Fatah s'annonce tendue LA PAUSE de la session parlementaire intervient juste à temps pour la prière de la mi-journée : les élus barbus retirent leurs chaussures et s'agenouillent tournés vers La Mecque. Le Hamas a imprimé son style, samedi, dès la cérémonie d'investiture du Conseil législatif, le Parlement palestinien, désormais dominé par les islamistes radicaux. Les femmes coiffées d'un voile noir ou blanc et les hommes portant des barbes de toutes les tailles ont fait une entrée remarquée au Parlement. Des posters de détenus symbolisaient la présence des quelque 12 élus emprisonnés en Israël. acheter burberry pas cher londres
    Le gouvernement israélien a réagi, hier, en adoptant une série de sanctions contre l'Autorité palestinienne, qu'il qualifie désormais d'«entité terroriste».S'exprimant après la prestation collective de serment des députés, Mahmoud Abbas a annoncé qu'il chargerait le Hamas, qui a obtenu 74 des 132 sièges du Parlement au scrutin du 25 janvier, de former le prochain gouvernement. Appelant le mouvement, qui a revendiqué de nombreux attentats anti-israéliens, à respecter les accords signés avec Israël, le président de l'Autorité palestinienne a plaidé pour un règlement négocié du conflit avec l'Etat hébreu. «Notre conflit n'a pas de solution militaire. Seules des négociations entre partenaires égaux sont susceptibles de mettre fin au cycle des violences que nous connaissons», a dit Mahmoud Abbas en dénonçant «l'approche unilatérale» d'Israël. Le président de l'Autorité a ajouté qu'il ne tolérerait pas que «la légitimité des accords d'Oslo soit remise en cause».Malgré sa participation aux élections législatives, le Hamas rejette toujours l'accord d'autonomie de 1993, qui a permis la création de l'Autorité palestinienne, et prône la lutte armée pour libérer les territoires palestiniens occupés. acheter chemise burberry homme «Nous respectons le discours du président, mais nous ne sommes pas obligés d'être d'accord avec tout ce qu'il dit, a réagi Naief Rajoub, un élu du Hamas. Les accords d'Oslo sont morts. Nous respecterons les accords, qui sont dans l'intérêt du peuple palestinien.»Le premier ministre choisi par le Hamas, le modéré Ismaïl Haniyeh, a promis de «résoudre par le dialogue» les divergences entre son parti et le président. Mais la cohabitation s'annonce difficile. «Désormais, l'Autorité palestinienne possède deux têtes, constate le député de la Troisième Voie, Hanane Ashraoui. Pour l'instant, le Hamas fait tout pour éviter la confrontation, mais il n'est pas exclu que celle-ci éclate un jour. acheter chemise burberry pas chere
    »Fraîchement entré dans l'opposition, le Fatah a saisi l'occasion de l'élection du nouveau président du Parlement, Aziz Doweik, un cadre du Hamas issu de l'aile pragmatique du mouvement, pour adresser une mise en garde aux islamistes. Doweik n'a recueilli que 74 voix sur 132, les députés du Fatah ayant voté blanc en bloc. Le Hamas est loin de la majorité des deux tiers du Parlement, requise pour ratifier la formation du prochain gouvernement. Le Hamas devra donc trouver un terrain d'entente avec le président de l'Autorité afin de recueillir les voix nécessaires auprès du Fatah.Mahmoud Abbas devait s'entretenir, hier soir, de la formation du prochain gouvernement avec les dirigeants du Hamas, bloqués à Gaza. Le Hamas voudrait convaincre le Fatah de participer à un gouvernement d'union nationale, une hypothèse que refusent les principaux ténors du parti jusqu'à présent. «Nous n'avons pas adopté de position de principe sur cette question, affirme Nasser al-Qidwa, le ministre des Affaires étrangères sortant.

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