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"Synode pour la famille: le Cardinal Scola, témoin de paix et d'espérance Unknown-1.jpeg(Radio Vatican) Entretien - Les père synodaux ont entamé la dernière ligne droite de ce Synode sur la famille. Ils abordent depuis mardi 20 octobre la dernière partie de l'Instrumentum Laboris consacrée à la mission de la famille aujourd'hui. C'est là que se concentrent tous les sujets qui créent le plus de désaccords entre les participants de l'assemblée. Jusqu'à maintenant, les débats ont été positifs et constructifs comme l'a confié à Olivier Bonnel, le cardinal Angelo Scola, archevêque de Milan,et l'un des représentants de l'Eglise italienne à ce synode. Le cardinal Angelo Scola revient sur le cheminement de l'Eglise à travers le synode, espace où la réflexion est toujours dynamique malgré les points de vue parfois différents. lien interview Radio Vatican Cardinal Napier: les laïcs, les familles indiquent la direction à prendre Unknown.jpegConcernant les pères africains de ce Synode, le cardinal Napier a estimé que les évêques africains ont apporté un vent d'optimisme au Synode. Il a reconnu, plus largement, que les laïcs, et donc les familles, indiquaient la direction à prendre. Il est donc important selon lui, de se concentrer sur la vocation et la mission de la famille dans l'Église d'aujourd'hui et d'accompagner les conjoints autant avant qu'après le mariage, parce que l'Église se reforme dans la famille."

"La communion aux remariés, le cardinal Scola dit non lui aussi: "Mais allégeons les procès de nullité" (source : La Stampa - trad. par nos soins) L'archevêque de Milan: «Le problème n'est pas le péché, mais la condition de vie de ceux qui ont établi un nouveau lien» Dans le cadre du débat sur le prochain Synode sur la famille convoqué par le Pape François, nous publions en exclusivité un article signé par l'archevêque de Milan, le cardinal Angelo Scola. "

"Entretien - Les père synodaux ont entamé la dernière ligne droite de ce Synode sur la famille. Ils abordent dès ce mardi 20 octobre la dernière partie de l'Instrumentum Laboris consacrée à la mission de la famille aujourd'hui. C'est là que se concentrent tous les sujets qui créent le plus de désaccords entre les participants de l'assemblée. Jusqu'à maintenant, les débats ont été positifs et constructifs comme l'a confié à Olivier Bonnel, le cardinal Angelo Scola, archevêque de Milan, et l'un des représentants de l'Eglise italienne à ce synode. Le cardinal Angelo Scola revient sur le cheminement de l'Eglise à travers le synode, espace où la réflexion est toujours dynamique malgré les points de vue parfois différents "

"Entretien - Le Synode sur la famille se poursuit au Vatican. Depuis lundi, les réunions en cercles mineurs, par groupes linguistiques, ont permis d'affiner la réflexion des évêques, après que la publication de la Relatio post disceptationem, le rapport d'étape à mi-chemin du Synode, ait suscité de vifs débats parmi les participants. Jusqu'à jeudi midi, les évêques sont réunis par groupes linguistiques d'une vingtaine, en présence d'experts qui peuvent prendre la parole. Le cardinal Angelo Scola, archevêque de Milan, salue la méthode synodale, qui selon lui prouve qu'une grande liberté règne actuellement dans l'Eglise, comme il l'explique à Xavier Sartre :"

"C'est une question qui a été peu débattue la semaine dernière, l'évocation par François du « lobby gay » occupant alors presque tout l'espace médiatique, mais lors de son audience privée le 6 juin avec l'équipe dirigeante de la CLAR (Confédération Latino-américaine des Religieuses et Religieux), le pape aurait également fait un curieux aveu et évoqué sa propre incapacité à mener la réforme de la Curie : « C'est quelque chose que presque tous les cardinaux ont réclamé lors des congrégations générales. Moi-même, je l'ai demandée. Mais je ne peux pas réaliser cette réforme moi-même, toutes ces questions administratives... Je suis quelqu'un de très peu organisé, je n'ai jamais été bon pour ça. » "

"Il y a deux jours, l'article mis en ligne de bon matin par www.chiesa a fait l'effet d'une bombe dans l'enceinte du synode consacré à la famille, comme en dehors. (...) Dans les heures qui ont suivi, quatre des treize cardinaux cités dans l'article comme ayant signé la lettre ont nié l'avoir fait. Dans l'ordre : les cardinaux Angelo Scola, André Vingt-Trois, Mauro Piacenza et Péter Erdö. Mais, dans l'après-midi, deux cardinaux de premier plan, figurant l'un et l'autre sur la liste publiée par www.chiesa, ont déclaré qu'ils avaient effectivement signé une lettre adressée au pape François. Le premier a été le cardinal australien George Pell, préfet au Vatican du secrétariat pour l'économie, indiqué comme étant celui qui aurait personnellement remis la lettre au pape. Et il l'a fait dans un communiqué publié par le "National Catholic Register" (...) L'autre cardinal qui est intervenu après Pell, dans l'après-midi du lundi 12 octobre, pour confirmer qu'il avait signé une lettre adressée au pape, est l'archevêque de Durban (Afrique du Sud), Wilfrid Fox Napier, l'un des quatre présidents délégués du synode, dans une interview qu'il a accordée à John Allen, Michael O'Loughlin et Inés San Martin pour "Crux", le portail d'information consacré à l'Église par le "Boston Globe""

"Le 7 décembre, en Italie, on fête Saint Ambroise, patron de Milan, et l'archevêque prononce traditionnellement un discours devant les autorités. Cette année, en plus, on célèbre le 1700e anniversaire de l'"édit de Constantin" (1). Occasion pour le Cardinal Scola de prononcer un discours sur le thème de la laïcité. On y trouve notamment une analyse saisissante de la laïcité à la française, "un concept désormais largement répandu dans la culture juridique et politique européenn"

"Hasard du calendrier ? Ce jeudi le pape François recevait en audience privé le cardinal Angelo Scola et le cardinal Reinhard Marx. Si on connait l'influence du premier, évêque influent et papabile de longue date, le second semble bien plus discret. Et pourtant, c'est bien lui qui fait partie du conseil des huit que le pape a institué pour le soutenir dans ses réflexions et ses décisions."

"Et c'est la quatrième qui est la plus nouvelle: il s'agit de confier la vérification de la validité d'un mariage directement à l'évêque du lieu où à un délégué désigné par lui, sous une forme non judiciaire. En comptant l'archevêque de Milan, cela fait maintenant dix cardinaux qui sont entrés en lice contre les thèses de Kasper-Bergoglio "