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"Pour les communes, le financement des nouveaux rythmes relève du casse-tête, au moment où les dotations de l'État diminuent. Qui paiera ? Enquête sur une réforme… follement coûteuse ! « Les familles vont payer. » Pour Gérard Collomb, sénateur et maire PS de Lyon, ce sont les parents d'élèves qui vont devoir financer la réforme des rythmes scolaires voulue par le ministre de l'Éducation nationale, Vincent Peillon. « Il s'agira d'un forfait annuel pour les familles, compris entre 10 et 20 euros », a-t-il dit au Progrès. « Faire payer les familles, c'est bafouer le principe de l'école gratuite », réagit Xavier Argento"

"Plutôt que de répéter en boucle que la République ne subventionne aucun culte, ce qui est faux, il faudrait revoir le mode d'attribution des subventions publiques, note l'économiste, dans sa chronique."

"La réforme dite « Peillon » s'est retrouvée cette semaine sous les tirs croisés de la droite et de certains maires critiquant en particulier les problèmes de financement liés au passage à la semaine de quatre jours et demi. Ces critiques portent dans l'Opinion. Cela n'empêche pas les Français de penser que l'Opposition se sert surtout de cette réforme à des fins électorales."

"L'objectif du patronage est d'offrir aux enfants un lieu où ils pourront grandir en paix, dans une atmosphère joyeuse faite de grands jeux et d'activités qui cultivent la simplicité. Il est aussi de retisser un lien entre la paroisse et les familles qui ont cessé de la fréquenter. Le credo peut être résumé de la façon suivante : "Ici on joue, ici on prie". Il repose sur la pédagogie de Don Bosco où accueil, bienveillance, confiance et dynamisme en sont les quatre mots clés. Plusieurs questions montrent l'intérêt suscité par ce mode d'évangélisation : financement, assurance, est ce que le catéchisme fait partie intégrante de la proposition, quels bénévoles ? quelle fréquence de rencontres ? Comment se faire connaître…"

"Une animation pédagogique et humoristique pour présenter le Denier de l'Église - son utilité et son importance. A partager sans modération."

"En cette année particulière de crise sanitaire, nous sommes heureux de voir que notre Eglise d'Anjou est toujours aussi DYNAMIQUE et tournée vers l'AVENIR ! C'est avec joie que nous maintenons la 2ème édition de la soirée « Misons sur notre église » : une soirée joyeuse et inoubliable animée par un commissaire-priseur bénévole, et cette année interactive, 100% en ligne sur le site dons.live. "Notre Église d'Anjou est tournée vers l'avenir !" Au programme pour cette édition 2020, 8 projets concrets à soutenir : - Appel de responsable pour la catéchèse - de nouveaux animateurs pour la pastorale de la santé - Camp de jeunes Musique et liturgie - Bâtir un sanctuaire en l'honneur du Bienheureux Noël Pinot - Centre d'art sacré saint Maurice d'Angers - Récupération des eaux pluviales dans les communautés burkinabées des soeurs de Torfou - Réhabilitation du presbytère des Ponts de Cé - Rénovation de la maison du poirier : Béhuard, la Résurrection"

"Perte financière à cause du Covid, désaffection des fidèles, l'Église catholique de France tente d'inverser une tendance lourde. Des paroisses essaient de ramener les fidèles aux offices, exemple à Tourlaville (Manche), où les cheveux blancs sont beaucoup plus nombreux que les têtes blondes." [RDP du 28 septembre 2020]

"L'opération « Misons sur notre Église » est reconduite pour une deuxième édition qui se tiendra vendredi 4 décembre 2020, uniquement sur internet." [RDP du 25 novembre 2020]

"En 2019, plus de 272 000 catholiques allemands ont choisi de sortir de l'Église et de cesser de payer l'impôt ecclésiastique, tandis que les protestants ont connu une désaffection équivalente, avec 270 000 fidèles de moins."

"La pandémie, le confinement, la reprise des messes... Interview de Mgr Pierre-Yves Michel, évêque de Valence, à la veille de la célébration de Pentecôte." [RDP du 01 juin 2020]

"Les lieux de culte ont pu rouvrir leurs portes aux fidèles il y a dix jours. Rencontre avec l'abbé Joachim Jauregui, à la paroisse Saint Michel Garicoïts depuis 2007, qui témoigne de son confinement et de l'après." [RDP du 11 juin 2020]

"Des prêtres en télétravail, des salariés en chômage partiel et une perte de 100 000 euros… Le diocèse de Charente-Maritime n'a pas été épargné par la crise sanitaire." [RDP du 27 mai 2020]