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"Cette nouvelle rubrique mensuelle va nous entrainer à la découverte de quelques lieux emblématiques de notre diocèse. Grâce aux explications éclairées de personnes passionnées, nous vous proposerons deux portes d'entrée : La première s'ouvrira sur une catéchèse en lien avec le calendrier liturgique. La seconde nous permettra de mettre en lumière l'histoire et la beauté du monument visité. Nous commençons ce mois-ci, en lien avec les fêtes des anges (29 septembre et 2 octobre), par l'église Saint-Saturnin de Pont-Saint-Esprit. La fête des saints archanges Michel, Gabriel et Raphaël, le 29 septembre, et celle des anges gardiens le 2 octobre, nous invitent à tourner nos regards vers le ciel… mais aussi vers la terre. Ces créatures spirituelles sont appelées « Anges » (= « messagers, envoyés ») en raison de leurs missions sur la terre.  Ils sont porteurs de messages de Dieu pour les hommes. Ils sont présents tout au long de la Bible pour annoncer, consoler, protéger."

"En créant l'homme à son image, Dieu lui-même a inscrit dans son cœur le désir de le voir. Même si un tel désir est ignoré de l'homme, Dieu ne cesse d'attirer l'homme à lui pour qu'il vive et trouve en Lui la plénitude de vérité et de bonheur qu'il ne cesse de chercher. À partir de la création, c'est-à-dire du monde et de la personne humaine, l'homme, par sa seule raison, peut avec certitude connaître Dieu comme origine et fin de l'univers, comme souverain bien, et comme vérité et beauté infinie. Par nature et par vocation, l'homme est donc un être religieux, capable d'entrer en communion avec Dieu. Ce lien intime et vital avec Dieu confère à l'homme sa dignité fondamentale.Parce que Dieu s'est révélé au peuple d'Israël comme l'Unique, lorsqu'il dit : « Écoute, Israël, le Seigneur notre Dieu est l'Unique » (Dt 6, 4), « Il n'y en a pas d'autre » (Is 45,22). Jésus lui-même l'a confirmé : Dieu est « l'unique Seigneur » (Mc 12,29). Professer que Jésus et l'Esprit Saint sont, eux aussi, Dieu et Seigneur, n'introduit aucune division dans le Dieu unique. À Moïse, Dieu s'est révélé comme le Dieu vivant, « Dieu d'Abraham, Dieu d'Isaac, Dieu de Jacob » (Ex 3,6). Il lui a révélé son nom mystérieux : « Je suis Celui qui Est » (YHWH). Déjà, à l'époque de l'Ancien Testament, le nom ineffable de Dieu fut remplacé par celui de Seigneur. Ainsi, dans le Nouveau Testament, Jésus, appelé Seigneur, apparaît comme vrai Dieu. Par la révélation de son Nom, Dieu fait connaître les richesses contenues dans son mystère ineffable : Lui seul existe depuis toujours et pour toujours, Lui qui transcende le monde et l'histoire. C'est Lui qui a fait le ciel et la terre. Il est le Dieu fidèle; toujours proche de son peuple pour le sauver. Il est le Saint par excellence, « riche en miséricorde » (Ep 2,4), toujours prêt à pardonner. Il est l'Être spirituel, transcendant,

"Les 9 jours séparant l'événement de l'Ascension du Seigneur et la fête de la Pentecôte constituent la première neuvaine de prière de l'histoire chrétienne. Rassemblés autour des Apôtres, avec Marie, les premiers disciples ont attendu la réalisation de la promesse faite par Jésus : « Vous allez recevoir une force quand le Saint-Esprit viendra sur vous ; vous serez alors mes témoins jusqu'aux extrémités de la terre. » (Actes des Apôtres 1,8) En paroisse, en famille, en équipe, demandons au Seigneur de renouveler en nous les dons de l'Esprit Saint pour grandir en sainteté et en fidélité, dans l'union avec Dieu."

"Le contexte sanitaire est toujours incertain, des répercussions économiques, sociales et humaines se font sentir. Chrétiens, « l'espérance nous invite à reconnaître qu'il y a toujours une voie de sortie, que nous pouvons toujours repréciser le cap, que nous pouvons toujours faire quelque chose pour résoudre les problèmes. » (LS 61) C'est pourquoi, en cette année Laudato si' et après la fête de la Création, il est essentiel de poursuivre le mouvement engagé et c'est ce que nous souhaitons pour le temps de l'Avent et de Noël. Dans son message du 1er septembre 2020, à l'occasion de la 6ème journée mondiale de prière pour la sauvegarde de la Création 1, le pape François a développé le thème du « jubilé pour la terre » (en référence à Lv 25, 10-18), l'année 2020 marquant également le cinquantième anniversaire du Jour de la Terre, décrété par l'ONU. Le jubilé est un temps de rupture et de recommencement, avant de se projeter dans un avenir. Le pape rappelle ainsi que dans les Saintes Écritures, ce temps sacré permet de revenir, réparer, se souvenir, se reposer et enfin se réjouir. Ces cinq attitudes jubilaires nous paraissent essentielles pour réfléchir à notre rapport à l'environnement, aux frères et à Dieu. Nous vous proposons de les vivre, en relation avec la progression proposée par la liturgie de l'Avent."

"Comme près de 80 adultes en Gironde, Julia et Sarah ont reçu le baptême au cours de la Vigile pascale, ce samedi 26 mars 2016. Mais en l'église Sainte-Clothilde au Bouscat, les baptêmes ont été célébrés avec l'eau du Jourdain, puisée par les laïcs en mission ecclésiale lors du récent pèlerinage en Terre sainte. "

"En cette période bouleversée par cette crise sanitaire inédite, les jours saints de la Passion du Seigneur prennent une connotation particulière. Ce chemin de croix se propose de méditer, dans ces circonstances, les dernières heures du Seigneur sur la terre jusqu'au Golgotha, et sa mort pour chacun d'entre nous. On peut le faire en famille ou à quelques-uns en respectant les distances et consignes habituelles. Chacun aura avantage à le personnaliser en fonction de ce qu'il vit ou entend vivre autour de lui. Il y a 3 interventions à chaque station : le lecteur de la Parole, la personne qui lit la méditation (personnalisée). Et les intentions de prière, à personnaliser également ! Dans les circonstances actuelles, le choix de méditer essentiellement à partir de l'évangile de Saint Luc, veut honorer sa qualité d'évangéliste et de médecin. Nous porterons dans notre prière les personnes malades et leurs proches, les personnels soignants, les responsables publics, tous les acteurs qui permettent à notre société d'affronter solidairement cette épreuve. A cause du confinement des hôpitaux, les visites sont interdites. Les familles ne peuvent plus voir leur proche malade. Les malades rendent leur dernier souffle, seuls, sans famille à leur chevet. C'est l'épreuve la plus dramatique, la plus violente de la situation subie par tous, soignants compris. Laissons le Christ, par ce chemin de croix, entrer dans nos hôpitaux, dans nos maisons, dans nos solitudes ! L'équipe de la pastorale de la santé du diocèse de Paris"

La fête de l'Ascension, c'est la fête de la confiance : Nous fêtons le Christ qui, au moment de rejoindre son Père, fait confiance à ses disciples. Et quelle confiance ! Il leur demande, ni plus ni moins, de poursuivre son œuvre : « Allez ! De toutes les nations faites des disciples ». Et, en retour, nous fêtons la confiance que les disciples font à l'Esprit Saint que Jésus leur promet et qui fait d'eux ses témoins : « Vous allez recevoir une force quand le Saint Esprit viendra sur vous. Vous serez alors mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre. » La fête de l'Ascension ne consiste donc pas d'abord à se demander comment Jésus a pu monter au ciel, mais d'abord à contempler cette folie d'un Dieu qui n'hésite pas à donner à nous autres, pauvres humains, la mission qui était celle de son Fils ! On a comme le sentiment qu'en la fête de l'Ascension, Jésus nous laisse le terrain libre : « je pars, à vous de jouer ! ». Entre Pâques et Pentecôte, nous fêtons le Christ ressuscité qui rejoint son Père dans la Gloire du ciel, confiant à l'homme qu'il est venu sauver la mission d'édifier son Royaume, un Royaume où mal et souffrance seront vaincus. Mais est-ce à dire que nous sommes livrés à nous-mêmes ? Non… Il nous l'a promis : « Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde. »

"Les neuf jours entre l'Ascension et la Pentecôte sont l'occasion de prier l'Esprit Saint, de lui demander qu'il vienne à nouveau prendre place dans nos vies, de manière plus intense, à la lumière de la période que nous venons de vivre."

Diocèse Saint-Etienne Projection du film "La Marche des gueux" CS - Vu le 09/07/2012

"Au cœur du mystère pascal, se dresse la Croix : signe de l'amour suprême du Serviteur, alliance entre la terre et le ciel, appel à la foi et à la charité. Le Christ, en ce jour, accomplit la Parole. En toute humilité, vénérons cette croix qui porte nos péchés. Dans l'espérance, levons les yeux vers le ciel. La vie nous est offerte en abondance."

"Parole de Dieu Is 49, 5a.6 Le Seigneur parle, lui qui m'a façonné dès le sein de ma mère : « C'est trop peu que tu sois mon serviteur pour relever les tribus de Jacob, ramener les rescapés d'Israël : je fais de toi la lumière des nations, pour que mon salut parvienne jusqu'aux extrémités de la terre. »"

"Pour ce premier épisode, le pôle jeune du diocèse nous propose de méditer sur le thème de la "Miséricorde". Comme l'expliquait Jean-Paul II dans son encyclique "Dieu riche en miséricorde", ce terme pouvait mettre "mal à l'aise l'homme qui, grâce à un développement scientifique et technique inconnu jusqu'ici, est devenu maître de la terre qu'il a soumise et dominée".  Vivre de la Miséricorde est une expérience de vie parsemée de questionnement, de bonheur et peut être un chemin assez long. L'Eglise nous appelle à accomplir ce qu'elle appelle les "oeuvres de miséricorde" et sont au nombres de quatorze: sept "corporelles" et sept "spirituelles". "

"Partez à la découverte des saints du Cantal tout en vous amusant ! Un moyen simple et ludique de découvrir le patrimoine spirituel du Cantal. Disponible dans les paroisses du diocèse pour toute offrande minimale de"

"La bénédiction est une prière qui remet Dieu à la première place et une arme qui combat le mal. Éclairage avec frère Moïse, responsable du foyer de la Communauté des Béatitudes de Nay qui a étudié le judaïsme à Saint-Pierre de Ratisbonne et a vécu six ans en Terre"

"La célébration de l'appel décisif d'une centaine d'adultes et jeunes, en la paroisse Saint Michel du Raizet, a été, un moment important dans la vie du diocèse. Mgr Riocreux, en partance pour Haïti, a tenu à saluer ces catéchumènes afin de leur manifester son soutien et les encourager à suivre la route qu'ils ont choisi"

"La célébration de l'appel décisif d'une centaine d'adultes et jeunes, en la paroisse Saint Michel du Raizet, a été, un moment important dans la vie du diocèse. Mgr Riocreux, en partance pour Haïti, a tenu à saluer ces catéchumènes afin de leur manifester son soutien et les encourager à suivre la route qu'ils ont choisi. "

"Une journée riche en catéchèse A Sainte Marie Majeure, Marie, Mère de Dieu, éveille en nous le désir de suivre ses pas Elle nous appelle. Elle a choisi de faire confiance. Elle a dit oui. Elle s'est faite servante. Elle est notre exemple de foi lors de nos missions en Eglise pour proposer la foi aux jeunes. Elle est notamment représentée dans cette magnifique basilique quand elle quitte la terre, dans sa « dormition ». Son fils Jésus tient son âme représentée comme une enfant vêtue de blanc."

"« Sur les pas de Jésus » est un jeu de cartes conçu pour permettre aux jeunes et moins jeunes de découvrir la Terre Sainte tout en s'amusant. A travers 15 familles de 4 cartes répartie, les joueurs parcourent du nord au sud et d'est en ouest les hauts-lieux vie de Jésus et des premiers chrétiens, en découvrant les épisodes de la Bible qui s'y sont déroulés. Une sorte de pèlerinage à domicile, pour approfondir sa compréhension de l'Écriture… Et tout aussi idéal aussi pour doper la culture générale ! "

"ls sont 67 de 10 paroisses du diocèse. Ils sont passés, ce dimanche 14 février, par la porte sainte de l'église St Pierre-St Paul. Catéchumènes, jeunes et adultes, ils ont en moyenne 35 ans et se préparent à leur baptême à Pâques. Lors de la célébration de l'appel décisif en ce début de Carême, Mgr Riocreux les a appelés par leur nom. Ils se sont levés et ont répondu : « Me voici »."

"Nous venons de l'entendre, frères et sœurs d'une Vigile pascale privée de baptêmes : « La terre était informe et vide, les ténèbres étaient au-dessus de l'abîme et le souffle de Dieu planait au-dessus des eaux  ». Nous sommes au deuxième verset de la Genèse, aux tout premiers mots de la Bible : nous assistons au Commencement. On nous parle de ténèbres, et Voici la nuit, l'immense nuit des origines (hymne du dimanche II à l'office des Lectures). On nous parle d'abyme, et Voici la nuit, La sainte nuit qui s'illumine, Et rien n'existe hormis Jésus, Hormis Jésus où tout culmine. Au-dessus du tohu-bohu primordial, à distance de l'informe, plane un souffle, un vent, comme ceux qui préludent à la Pentecôte, à l'apparition de l'Immaculée à Bernadette tout près de chez nous, à celle des anges aux trois petits de Fatima : un Souffle de vie, un Souffle qui plane comme une colombe sur les eaux pour les couver, pour les féconder, pour les ordonner."