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"À l'annonce de la mort de Jésus, leur maître et leur ami, les disciples sont bouleversés. Qui ne le serait, à leur place ? La mort nous bouleverse, nous fait peur, nous afflige. Nous sommes faits pour la vie ! Mais Jésus a fait de la mort, par sa passion, un passage : elle n'est plus le mur sur lequel se brisent nos existences. Depuis la résurrection de Jésus, la mort est vaincue, et une place attend ceux que Dieu aime. Mais pour cela, il faut prendre le chemin qu'est Jésus, faire la vérité enseignée par Jésus, vivre de la vie de Jésus. Si nous voulons entrer dans la vie, nous devons penser, agir, parler, vivre comme le Christ. La vie chrétienne est une imitation de celui qui est mort et ressuscité. Le chrétien est un autre Christ. "Comme Jésus", voilà notre devise."

"Le 25 décembre, nous avons célébré la naissance de Jésus, c'était Noël. C'est par un ange que Dieu se manifeste auprès des bergers pour leur annoncer la naissance de Jésus, notre Sauveur. Le dimanche 3 janvier, tu as peut-être mangé une galette des rois, sais-tu pourquoi ? c'était la fête de l'Epiphanie : nous avons célébré la visite des mages à Jésus. Epiphanie vient d'un mot grec qui signifie manifestation ou apparition : au moment de la naissance de Jésus, une étoile plus brillante que les autres est apparue dans le ciel, et les mages, qui étaient des savants, observaient les astres. Cette fois-ci, c'est par une étoile que Dieu se manifeste auprès des mages pour les guider jusqu'à Jésus. Le dimanche 10 janvier, nous célébrons le Baptême de Jésus. Cette fête clôture le temps de Noël."

"Pour favoriser l'alternance entre célébration à l'église et caté maison, voici une nouvelle suggestion à destination des enfants catéchisés et leurs familles. Nous avons commencé à suivre Jésus, devenu adulte, au milieu des habitants de son pays, Israël. Nous avons découvert l'appel qu'Il a adressé à des pêcheurs au bord du lac de Tibériade, en les invitant à le suivre et à devenir pêcheurs d'hommes en annonçant à tous l'amour de Dieu, en leur faisant découvrir la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu.   Nous vous proposons maintenant de suivre Jésus à quelques kilomètres de Jérusalem, dans le village de Béthanie.   Pour cela, voici le déroulement d'une célébration Accueillir Jésus, parole de Dieu et un livret Jésus, son pays, ses rencontres (2). Il peut être donné aux familles pour suivre la célébration. Il contient également une proposition de caté maison à vivre la semaine suivante pour découvrir la rencontre de Jésus avec Bartimée."

"« Ainsi parle le Seigneur Dieu : Je vais ouvrir vos tombeaux et je vous en ferai remonter, ô mon peuple ». Nous attendons, frères et sœurs, d'entendre cette grande parole retentir dans la nuit de Pâques, si singulière soit la manière dont nous vivrons cette Vigile. Des morts nombreux sont à craindre dans la semaine qui vient. Peut-être certains d'entre vous qui vous unissez à cette messe ce matin ont-ils été frappés en ces jours, à cause du virus ou d'une autre manière. La mort n'attend pas et elle paraît toujours l'emporter. Pourtant, ce matin, alors que la mort se prépare à multiplier ses ravages, nous réentendons cette promesse : « Je vais ouvrir vos tombeaux et je vous en ferai remonter, ô mon peuple ».  Nous l'entendons en contemplant Jésus aller vers le tombeau de Lazare, son ami. Il l'a laissé mourir, il l'a même laissé être mis au tombeau et commencer à s'y décomposer. Jésus n'est pas venu parmi nous, il n'a pas été envoyé par le Père, pour faire des miracles, pour arranger des situations. Selon l'évangéliste saint Jean, il fait des signes : des gestes pleins de significations qui annoncent et font comprendre ce qu'il vient, lui Jésus, apporter à tous et chacun des nommes qui veulent bien se laisser approcher par lui. Il vient pour apporter la vie en plénitude, la vie qui ne connaîtra pas la mort, la vie qui peut être la vie pour toujours. C'est ce travail-là que nous le voyons opérer au long du récit qui vient d'être proclamé, le travail qui consiste à préparer ses amis à recevoir la vie en plénitude ou à entrer dans la vie en plénitude. Tout se noue dans le dialogue entre Jésus et Marthe. Vous avez entendu, frères et sœurs, Jésus déclarer : « Moi, je suis la Résurrection et la vie » et ajouter : « Celui qui croit en moi, même s'il meurt, vivra ; quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? »."

"Jésus pleure. C'est étrange, ne trouvez-vous pas ? Bien sûr, Jésus a un cœur humain capable d'émotion. Bien sûr, Jésus a un cœur divin capable d'aimer bien plus que tout ce que nous pouvons imaginer. Pourtant, Jésus sait déjà ce qu'il va faire. Jésus sait que Lazare va ressusciter, qu'il va le revoir, le serrer dans ses bras. Alors, pourquoi pleure-t-il ?"

"Voici une suggestion de célébration à vivre dans l'église avec les enfants catéchisés et leurs familles. Elle se poursuit par la proposition d'un "caté maison" Nous avons fêté la naissance de Jésus ; nous avons partagé la joie des anges, des bergers et des mages; nous avons reconnu en cet enfant, Dieu lui-même venu vivre parmi nous.   Nous vous proposons de suivre Jésus, devenu adulte, au milieu des habitants de son pays.   Pour cela, vous trouverez la suggestion d'une célébration à vivre dans l'église avec les enfants catéchisés et les familles. A l'issue de cette célébration, la suggestion d'une proposition à la maison peut être faite pour découvrir une rencontre de Jésus au  lac de Tibériade. Elle se trouve dans le livret "Jésus, son pays, ses rencontres ""

"C'est le cœur de l'homélie de la messe quotidienne du Pape ce samedi matin en la chapelle de la Maison Sainte-Marthe au Vatican. Il commentait un passage de l'Evangile relatant la conversion de Saint-Matthieu dont l'Eglise célèbre la fête ce 21 septembre. « Jésus regarde Matthieu dans les yeux, un percepteur, un pécheur public. L'argent est sa vie, son idole. Mais maintenant, affirme le Pape, son cœur sent le regard de Jésus. Un regard qui a totalement changé sa vie a expliqué François, l'a converti. Car Matthieu a suivi Jésus à peine a-t-il senti ce regard posé sur lui, qui lui a donné force et courage. "

"« La foi passe, pour ainsi dire, par un alambic et devient idéologie. Et dans les idéologies, Jésus n'a pas sa place : on ne trouve pas sa tendresse, son amour, sa douceur. Les idéologies sont toutes rigides, toujours. Et quand un chrétien devient le disciple de l'idéologie, il a perdu la foi: il n'est plus disciple de Jésus. » « C'est ce que Jésus dit aux docteurs de la Loi : 'vous avez emporté la clé de la connaissance'. La connaissance de Jésus est transformée en une connaissance idéologique et moraliste, parce que ces docteurs de la Loi fermaient la porte avec précision »."

"ACCUEIL › ACTUALITÉS › VIVRE LE DIMANCHE DES RAMEAUX ET LA SEMAINE SAINTE DEPUIS CHEZ SOI ACTIONS SUR LE DOCUMENT PARTAGER Vivre le dimanche des rameaux et la semaine sainte depuis chez soi Vivez le dimanche des rameaux et la semaine sainte depuis chez vous avec une proposition de notre diocèse et des messes à suivre en direct. PROPOSITION LITURGIQUE POUR CHEZ VOUS La pastorale liturgique et sacramentelle vous a préparé une proposition et à un message pour vous : Télécharger la proposition au format PDF L'entrée de Jésus à Jérusalem  Le temps de Jésus, on venait à Jérusalem pour  les grandes fêtes de pèlerinage, en particulier celle de Pâques.  Le lendemain du retour de Lazare à la vie, les foules accueillent Jésus à son entrée avec les cris : Sauve moi !" ou "sauve nous !"(Hosanna).c'est un moment de joie et de reconnaissance. La foule accueille un Messie humble, ami des pauvres et des petits, proche des pécheurs à qui il annonce la bonté, la tendresse et le pardon de Dieu, son Père. Jésus ne se contente pas de parler de l'infini amour de Dieu pour nous, il va le montrer jusqu'au bout, jusqu'au don de sa vie sur la Croix. Le dimanche des Rameaux ouvre la semaine sainte. Nous allons la vivre confinés chez nous tout en étant en communion véritable avec notre évêque et tout le peuple de Dieu à travers la liturgie familiale que nous allons célébrer à la maison. Vous trouvez ci-joint le déroulé pour les quatre premiers jours. "

"Le 2 avril 2005, le pape Jean-Paul II remettait en Dieu son dernier souffle. C'était après les premières vêpres du 2ème dimanche de Pâques, autrement appelé dimanche de la miséricorde. Ce dimanche de la miséricorde, c'est lui, Jean-Paul II, qui l'avait institué pour l'église universelle. Il suivait ainsi la demande de Jésus à une religieuse polonaise aujourd'hui canonisée, sainte Faustine. À Jésus était apparu à cette religieuse, montrant son cœur, et Jésus disait : « Ma fille, parle au monde entier de mon inconcevable Miséricorde. Je désire que la Fête de la Miséricorde soit le recours et le refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs. En ce jour les entrailles de ma Miséricorde sont ouvertes, je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s'approcheront de la source de ma miséricorde ; en ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s'écoulent les grâces ; qu'aucune âme n'ait peur de s'approcher de moi, même si ses péchés sont comme l'écarlate. [...] La Fête de la Miséricorde est issue de mes entrailles, je désire qu'elle soit fêtée solennellement le premier dimanche après Pâques. Le genre humain ne trouvera pas la paix tant qu'il ne se tournera pas vers la source de ma Miséricorde.  » En ces temps où le monde souffre et connaît tant d'angoisse, implorons avec insistance le Christ ressuscité de nous accorder largement sa miséricorde. Au milieu de nos épreuves, redisons avec foi : "Jésus, j'ai confiance en Toi"."

"Nous voilà dans le temps pascal, le temps entre deux grandes fêtes : Pâques et Pentecôte. Le jour de Pâques, tous les chrétiens dans le monde ont fêté la résurrection de Jésus, d'une façon particulière en ce temps de confinement. La résurrection de Jésus n'est pas un événement du passé. Jésus vivant est avec nous tous les jours de notre vie mais nous ne reconnaissons pas toujours sa présence. Découvrons le récit de la rencontre surprenante qu'ont fait deux amis de Jésus sur le chemin qui mène à Emmaüs. Selon l'âge de vos enfants : deux propositions"

""Les brebis connaissant la voix du berger, et elles le suivent". Jésus est ce bon berger dont la voix nous est familière. Il parle à notre cœur, ses paroles sont plus douces que le miel, elles sont vérité et elles sont vies. Nous sommes encore privés de la sainte communion, mais il nous reste ces paroles de Jésus, celles que nous entendons dans les saintes Écritures, celles qu'il murmure à notre cœur quand nous prions. Jésus est la porte des brebis : cette porte ouvre vers la bergerie, cet enclos sûr. Jésus nous a ouvert les portes du ciel, et nous savons que si dure et incertaine que soit parfois la vie, elle mène vers le Royaume de Dieu, vers cet océan de lumière et de paix que Dieu a préparé pour ceux qu'il aime. Franchir la porte, c'est passer de la mort à la vie. En ce jour où nous prions pour les vocations religieuses et sacerdotales, prions pour que de nombreux jeunes écoutent l'appel du bon pasteur à le suivre, pour que nous ne soyons jamais comme des brebis sans berger."

"Lorsque Joseph est cité par les Évangiles, c'est toujours en rapport avec l'activité ou l'identité de Jésus. Les récits évangéliques ne cherchent pas à parler de Joseph pour lui-même. Ils sont centrés sur Jésus, Fils de Dieu, né de la vierge marie, ayant Joseph comme père adoptif. L'évangéliste Marc n'en parle jamais, Jean n'en parle que deux fois et indirectement: « Celui dont il est écrit dans la loi de Moïse et chez les Prophètes, nous l'avons trouvé : c'est Jésus fils de Joseph, de Nazareth. » (Jn 1,45) et en Jn 6,42 « Celui-là n'est-il pas Jésus, fils de Joseph ? Nous connaissons bien son père et sa mère. Alors comment peut-il dire maintenant : "Je suis descendu du ciel" ? ». C'est Luc et surtout Matthieu qui le mettent en scène, comme nous allons voir, dans les évangiles de l'enfance (Lc 1-2 ; Mt 1-2)."

"Il y a des chrétiens qui disent : je vois qui est le Père, je peux comprendre aussi que Jésus est le Fils de Dieu, mais l'Esprit Saint, je ne vois pas trop … Alors qui est-il ? D'abord c'est l'Esprit Saint de Dieu. Il est la force qui a poussé Jésus, l'Amour qui lui a donné de guérir, de pardonner, de sauver, de faire taire les démons et la tempête. Il est l'Amour qui unit Jésus et son Père. Il descend sur Jésus au moment de son baptême sous la forme d'une colombe. Il n'est pas une énergie dont on peut se recharger comme on charge les batteries de nos smartphones."

"Nous célébrons le don de l'Esprit promis par le Père, l'Esprit du Père et du Fils. Il est l'autre défenseur annoncé par Jésus et qui nous conduira à la Vérité tout entière, au cœur même de Dieu. Nous sommes encore tout bouleversés par ce covid-confinant et alors que le dé-confinement  s'amorce, la tentation est grande d'avoir le cœur partagé, de laisser arriver le murmure pour telle ou telle raison.  Le Seigneur Jésus en cette fête de Pentecôte vient à notre secours. « C'était après la mort de Jésus, le soir du premier jour de la semaine. Les disciples avaient verrouillé les portes du lieu où ils étaient, car ils avaient peur…. du Corona… non pardon des juifs !   « Jésus vint…..et il était là au milieu d'eux, il leur dit : la paix soit avec vous. » Voilà ce qu'il nous dit Paix, la Paix soit avec vous !"

"Noël est un grand moment dans la vie des tout-petits. Ils trépignent d'impatience des pieds à la tête : « C'est quand Noël ? Bientôt ? C'est aujourd'hui ? C'est demain ? » Noël ne vient pas assez vite ! Autour d'eux, tout parle de cette fête ! les lumières, les sapins, les chants, les vitrines… Les semaines qui précèdent Noël mettent la patience des petits et des grands à l'épreuve. Ce n'est pas tant l'attente qui pose problème, mais la façon d'attendre. Or, attendre fait partie de la vie.   Alors comment vivre cette attente ? Comment redécouvrir la joie et le bonheur de l'attente, donner un sens chrétien au temps de l'Avent ? L'Avent, qui commence 4 semaines avant Noël, est un temps offert pour goûter l'attente, pour s'imprégner de ce qui va arriver. « Avent » veut dire « venue ». C'est la venue au monde de Jésus il y a 2000 ans, et c'est aussi l'arrivée de Jésus dans notre vie et celle de nos enfants. En ce temps-là, dans le pays d'Israël, les habitants disaient : « Un jour, Dieu nous donnera un roi qui nous délivrera de nos malheurs ». Tout le pays attendait la venue de ce Sauveur. On l'appelait « le Messie », l'Envoyé de Dieu. (Isaïe 25,9 ; Jérémie  23,5-6…) Oui, Jésus vient à la rencontre de son peuple ! Oui, Jésus vient à notre rencontre !  "

""La page d'Évangile que nous lisons aujourd'hui (Lc 4, 1-13) est une véritable catéchèse, non seulement pour les catéchumènes qui se préparent au baptême mais pour nous tous, baptisés. En effet, si nous avons été attentifs à l'Évangile, nous avons entendu que le récit qui nous est rapporté, l'évènement qui nous est décrit, se situe juste après le baptême de Jésus. Jésus a été tenté et les baptisés passés, présents et avenir, les catéchumènes, le seront aussi. Cette catéchèse, admirablement construite, nous donne la synthèse des combats et des choix dans lesquels le peuple d'Israël a échoué dans le désert, les combats et les choix dans lesquels Jésus a été victorieux, les combats et les choix où chacun d'entre nous est attendu et doit se battre sans cesse. Le carême est un temps privilégié pour ce combat spirituel. Essayons de voir toute l'actualité de ces tentations permanentes. Dans l'Évangile, il est dit qu'elles résument toutes les tentations qui peuvent exister. Ce sont les derniers mots de cet Évangile : « Ayant ainsi épuisé toutes les formes de tentations, le diable s'éloigna de Jésus jusqu'au moment fixé. »"

"En ce Vendredi Saint, nous vous proposons ce film en dessin animé sur la Passion et Mort de Notre Seigneur Jésus Christ, à voir avec vos enfants. Aidons les enfants à regarder au delà des souffrances que Jésus a endurées, à nous fixer surtout dans la grandeur de son amour pour nous.  C'est par amour que Jésus se donne, qu'il accepte de mourir pour que nous ayons en lui la vie éternelle !"

"De l'Ascension à la Pentecôte, un temps de rencontre et de formation quotidien en vidéo sur angouleme.catholique.fr et sur RCF. Après l'ascension et le départ de Jésus, les disciples se sont retrouvés seuls, enfermés au Cénacle, confinés, dans la peur et l'inquiétude : est-ce que tout était fini ? Et puis est venu le jour de la Pentecôte, ils ont reçu l'Esprit saint et ont retrouvé confiance, espérance, force et courage pour aller proclamer la bonne nouvelle de Jésus-Christ ressuscité. Et nous, disciples du Christ qui sommes confinés depuis plusieurs semaines, qui avons vécu Pâques enfermés chez nous, comment allons-nous sortir du confinement ? 2ème épisode : La vie de Jésus dans l'Esprit. Avec le Père Emmanuel Granger et Jean-Marie Paquet."

" La vie est une marche pour rencontrer Jésus » et personne n'en est exclu, même les pécheurs, car « le plus beau des cadeaux c'est la rencontre avec Jésus », souligne le pape François."