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"Dans la plupart des États membres de l'Union européenne, les changements démographiques et le déclin des populations rurales constituent un problème important, qui influence grandement les performances économiques de bon nombre de zones rurales. L'Union européenne doit donc veiller à ce que le maintien de la présence des jeunes dans ces régions occupe une place privilégiée dans sa politique de développement rural. Consultez la base de données des projets PDR pour identifier, parmi les projets financés par le Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER), ceux qui sont liés aux jeunes en zone rurale et aux jeunes agriculteurs."

"Dans la plupart des États membres de l'Union européenne, les changements démographiques et le déclin des populations rurales constituent un problème important, qui influence grandement les performances économiques de bon nombre de zones rurales. L'Union européenne doit donc veiller à ce que le maintien de la présence des jeunes dans ces régions occupe une place privilégiée dans sa politique de développement rural. Consultez la base de données des projets PDR pour identifier, parmi les projets financés par le Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER), ceux qui sont liés aux jeunes en zone rurale et aux jeunes agriculteurs."

"Le Comité national des pêches demande des mesures pour favoriser l'installation des jeunes pêcheurs, afin qu'ils puissent notamment financer l'achat de nouveaux bateaux. "On a des jeunes sur chaque façade (maritime) qui veulent s'installer sur des bateaux neufs", mais "il faut qu'on puisse rentabiliser un bateau en vingt ans, on ne peut plus aujourd'hui rentabiliser un bateau sur dix ans", a expliqué mardi à l'AFP le président du Comité, Gérard Romiti, en visite au salon de l'Agriculture à Paris. "On demande, sur la passation d'entreprise, qu'il y ait un lissage du départ à la retraite", afin que les jeunes qui reprennent une activité bénéficient d'un régime fiscal plus favorable, a-t-il précisé. "2014 a été une année avec des quotas de pêche corrects, une météo clémente, on a de l'espoir et on veut installer des jeunes", a-t-il insisté. La question du renouvellement de la flotte est cruciale pour la pêche française, aux navires vieillissants. Leur nombre a diminué de moitié en 20 ans avec désormais 5.000 unités dans les ports métropolitains, correspondant à quelque 20.000 marins pêcheurs, selon l'Ifremer. D'après la DAMGM (Direction des affaires maritimes et des gens de mer), la profession a perdu le quart de ses effectifs en moins de 15 ans. Partager cet article : Submit to Delicious Submit to Digg Submit to Facebook Submit to Google Bookmarks Submit to Stumbleupon Submit to Technorati Submit to Twitter Submit to LinkedIn Retour Abonnez-vous à Marine&Océans À lire aussi dans cette rubrique A Lorient, derrière la langoustine se cachent les ingrédients du port du futur Bruxelle espère signer bientôt la paix du maquereau avec l'Islande Italie: 3.000 migrants secourus en 24 heures en Méditerranée SNCM: le ton monte entre syndicats et gouvernement avec l'hypothèse du redressement judiciaire L'Iran affirme avoir testé deux nouveaux missiles La Somalie demande à la CIJ de délimiter sa fronti

"Dakar,19 fév (APS) - Quelque 250 emplois directs destinés aux jeunes seront créés grâce à un projet sous régional sur l'aquaculture, d'un montant de 250 millions de francs CFA, lequel va aussi permettre à 250 jeunes de bénéficier d'un renforcement de capacité a indiqué, jeudi, le secrétaire général du ministère de la Jeunesse, de l'Emploi et de la Construction citoyenne, Cheikh Diaw. Le projet en question, initié par la l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), vise la promotion de l'emploi des jeunes à travers l'exploitation d'opportunités d'autonomisation économique dans les deux prochaines années. ''Le projet prévoit la création de 250 emplois directs pour les jeunes, sans compter les nombreux emplois indirects générés. 250 autres jeunes bénéficieront d'un renforcement de capacités et 50 encadreurs institutionnels seront incubés aux métiers de l'aquaculture'', a précisé Cheikh Diaw. "

LONDRES, 26 November 2014 (IRIN) - Nous avons accepté le concept de « pic pétrolier » - l'instant à partir duquel la production de pétrole amorcera un déclin irréversible. Aujourd'hui, il nous est également demandé de réfléchir au fait que nous nous approchons rapidement du « pic de jeunes », l'instant à partir duquel le nombre de jeunes sera plus important que jamais auparavant dans l'histoire de l'humanité, et l'instant à partir duquel la proportion de jeunes dans la population amorcera un déclin.

"Business International et la Fondation Citi ont annoncé le lancement d'un programme visant à aider les jeunes à devenir entrepreneurs. Intitulé "Accroître les possibilités économiques grâce à l'entrepreneuriat des jeunes", le programme sera mis en place dans six pays en Europe (Allemagne, Pays-Bas, Suède, Espagne, Italie et France) et permettra à 5 500 jeunes de bénéficier de formations dédiées à l'entrepreneuriat pour les aider à créer ou développer près de 1 700 entreprises au cours des deux prochaines années. Planet Adam, membre du réseau YBI, assurera son déploiement en France. http://www.gpomag.fr/web/actu-dirigeant/lancement-d-un-programme-pour-favoriser-l-entre... Source : GPO Mag.fr - 08/12/2015"

"A l'occasion du congrès de Jeunes Agriculteurs, Stéphane LE FOLL a présenté ses orientations pour une politique rénovée et renforcée de l'installation des jeunes en agriculture. Le renouvellement des générations en agriculture est en effet une de ses priorités afin d'assurer sur le long terme la pérennité de toutes les agricultures. Dans le cadre de la mise en œuvre de la nouvelle PAC, Stéphane LE FOLL propose d'augmenter le montant total des aides apportées à l'installation des jeunes. Les modalités de ces dispositions seront définies à l'issue des négociations communautaires. Le Ministre a également annoncé la régionalisation de la politique d'installation tout en maintenant un cadre national permettant d'assurer une politique de l'installation cohérente sur l'ensemble du territoire. Seront mis en place, outre le cadre national permettant de définir les grands objectifs, des comités régionaux installation/transmission copilotés par l'Etat et les Régions pour décliner et animer une politique cohérente avec l'ensemble des financeurs. Enfin et afin d'assurer un accompagnement de proximité le dispositif prévoit également un point d'accueil installation au niveau départemental chargé d'accueillir toutes celles et ceux qui souhaitent s'installer et de les mettre en contact avec les structures pertinentes pour mûrir ou finaliser leur projet."

"Dans un contexte actuel d'intégration professionnelle difficile pour les jeunes, la Région accompagne les demandeurs d'emploi de 18/25 ans notamment via le financement de la Channel Marine Academy. jeudi 27 juin 2013 Jeunes en formation dans le domaine des métiers de la mer © Emmanuel Pain 38 400€ : c'est le montant de l'aide financière allouée par la Région à la Channel Marine Academy, un programme de coopération transfrontalière (transmanche) destiné à sensibiliser les jeunes (en difficulté, sans emploi ou sans formation), aux possibilités de formation et aux carrières professionnelles existant dans le domaine maritime. Cette somme représente la moitié du coût de formation et prend en charge la rémunération des 15 stagiaires, des demandeurs d'emploi âgés de 18 à 25 ans, qui suivront cette formation en vue d'une insertion durable dans un emploi lié aux métiers de la mer. "

"Le Ceser Bretagne dans sa dernière étude intitulée "Quelles solutions en Bretagne pour les jeunes sortis de formation initiale sans diplôme ?" évalue à 3 000 le nombre de décrocheurs en Bretagne. Il préconise 30 mesures pour lutter contre le phénomène : dépistage, changement de formation, un référent unique pour chaque jeune en décrochage... Selon la dernière campagne de repérage organisée dans l'académie de Rennes, 6 152 jeunes bretons de 16 à 20 ans avaient été présumés décrocheurs. 3 084 ont été retirés de cette liste car finalement en formation ou en emploi. Par contre, phénomène inquiétant, on ne sait pas ce qu'il advient de 1 200 de ces "décrocheurs". Profil type du jeune décrocheur : plutôt un garçon, anciennement scolarisé dans un lycée professionnel (41 %) ou dans un collège (20 %). En Bretagne, "les sortants précoces" âgés de 18 à 24 ans sont 8 % alors qu'au national, ce taux grimpe à 13 %. "

"Dans le rapport "l'emploi des jeunes en Afrique subsaharienne", publié le 27 janvier, la Banque mondiale souligne la nécessité pour l'Afrique subsaharienne de créer des emplois productifs et bien rémunérés pour ses jeunes. En effet, les petites exploitations agricoles et les entreprises familiales devraient encore absorber plus de 80% de la main d'œuvre du sous-continent dans un avenir proche."

Une meilleure adéquation entre les formations existantes et les besoins des entreprises est nécessaire si le Maroc veut réduire significativement le taux de chômage, notamment des jeunes. Le « Printemps arabe » a placé cette problématique de l'emploi des jeunes au cœur des préoccupations des autorités marocaines. Le Ministère de l'Emploi et de la Formation Professionnelle (MEFP) a élaboré deux documents cadre stratégiques afin d'appuyer les réformes en cours : une stratégie de la formation professionnelle et un plan sectoriel pour l'emploi 2012-2016 visant à renforcer l'employabilité, en particulier celle des jeunes.

"Le Pôle de qualité de l'Association pour le développement de l'éducation en Afrique (ADEA) sur le développement des compétences techniques et professionnelles (PQIP/ DCTP) a tenu à Abidjan, du 31 mars au 1er avril 2014, un « Séminaire inter-pays sur l'emploi des jeunes en Afrique». Ce séminaire, qui a réuni des experts du PQIP/DCTP, avait pour objectif de préparer la Conférence ministérielle sur l'emploi des jeunes en Afrique qui se tiendra les 21, 22 et 23 juillet prochain à Abidjan, en Côte d'Ivoire. "

Ce rapport en anglais, produit par des experts d'Europe et d'Afrique pour l'Université des Nations Unies, examine l'intérêt porté actuellement vers l'agriculture en tant que solution au problème du chômage des jeunes en Afrique. Un regard critique est porté sur les programmes cherchant à attirer les jeunes vers l'agriculture, considérés irréalistes et en décalage avec les environnements économiques et sociaux locaux. Cette approche fait appel aux concepts de transition et mobilité sociales, en mettant en évidence la diversité au sein du monde rural. Voir en ligne : http://www.future-agricultures.org/...

"Le Pôle de qualité de l'ADEA sur le développement des compétences techniques et professionnelles (PQIP/ DCTP) a organisé à Abidjan, du 31 mars au 1er avril 2014, un «Séminaire inter-pays sur l'emploi des jeunes en Afrique», dont l'objectif était de préparer la Conférence ministérielle sur l'emploi des jeunes qui se tiendra du 21 au 23 juillet 2014 à Abidjan, en Côte d'Ivoire."

"L'espace méditerranéen est en pleine mutation et le chômage des jeunes est un défi majeur. Depuis une dizaine d'années, la Fondation de France soutient le renforcement d'associations et le développement de partenariats entre des organisations de la rive Sud de la Méditerranée et/ou avec des organisations de la rive Nord, qui agissent ensemble pour relever le défi de l'insertion économique des jeunes."

"Afin de contribuer à la lutte contre le chômage des jeunes dans le monde arabe, la Fondation européenne pour la formation (ETF) a procédé à l'analyse des programmes actifs en faveur de l'emploi de huit pays - l'Algérie, l'Égypte, la Jordanie, le Liban, la Libye, le Maroc, la Palestine et la Tunisie. Les jeunes de la région sont réellement défavorisés sur les marchés de l'emploi - ils sont sous-représentés dans la population active, sont confrontés à des taux de chômage élevés et occupent des emplois de moindre qualité - d'autant plus que les nouvelles initiatives publiques en faveur de l'emploi privilégient les programmes d'activation. L'ETF a rédigé des rapports pays qui détaillent les politiques et les interventions dans chacun des pays analysés. En outre, un rapport multipays fournit un aperçu de la situation dans les huit pays. "

« Accompagner l'insertion des jeunes dans les agricultures familiales du Sud », tel était le thème du colloque organisé par Montpellier Supagro et ses partenaires du 4 au 6 juin dernier à Montpellier. Une délégation de Madagascar, composée de Misaina Randriamampianina (Coordinateur de la Fédération Collèges Agricoles de Madagascar), Mamy Emilson Randriamasinjaka (Animateur Jeunes Paysans) et Christophe Bouland (Conseiller technique Fert sur la thématique formation) ont ainsi présenté l'expérience des Collèges Agricoles de Madagascar en matière de formation et insertion de jeunes agriculteurs. Les différents échanges durant les 3 jours d'ateliers ont fait ressortir qu'il y a encore très peu d'action et de recherche sur cette thématique et que les réflexions et les partages devaient continuer.

"Les jeunes ont, en général, une très mauvaise image de l'agriculture, souvent synonyme de faibles revenus et pénibilité du travail. Elle ne correspond guère à leurs aspirations et n'offre pas de perspectives attractives. D'où la nécessité de changer l'image de l'agriculture. Les initiatives dans ce sens se multiplient. Elles empruntent des voies très diverses : le Caribbean Farmers Network (CaFAN) a, par exemple, lancé l'exposition Agrofest à la Barbade qui met en exergue la diversité des opportunités, tout comme la foire agricole de Denbigh en Jamaïque, ou encore Festicoffee et Festicacao au Cameroun. À Sainte Lucie, le lien entre agriculture et tourisme permet non seulement de stimuler la production mais aussi de changer l'image de l'agriculture et d'attirer plus de jeunes."

"La problématique de l'insertion des jeunes dans le secteur agricole était au cœur des échanges lors du deuxième séminaire « Fenêtre sur l'agriculture » organisé, vendredi, par la Fao et l'Ipar. Pour les panélistes, l'insertion économique des jeunes demandeurs d'emploi passe par une bonne articulation entre la politique agricole et celle de l'emploi. Quels sont les liens entre la politique agricole du Sénégal et la politique de l'emploi ? Cette question a fait l'objet de riches échanges entre les participants au deuxième séminaire-débat « Fenêtre sur l'agriculture » qu'organise périodiquement l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (Fao), en partenariat avec l'Initiative prospective agricole et rurale (Ipar)."

"L'Observatoire National de l'ESS dresse un premier bilan de la place et du poids des salariés de moins de 30 ans dans les structures de l'Economie Sociale et Solidaire en France. Secteurs d'activité, contrats de travail, types de poste... découvrez les conditions d'emploi des 435 490 jeunes de l'ESS. L'étude statistique à partir de données INSEE est complétée par une enquête en ligne menée auprès de plus de 1000 employeurs, visant à mieux comprendre leur stratégie de recrutement, et identifier des pistes d'amélioration. Certains sujets comme la formation, les Emplois d'Avenir, les possibilités de carrière offertes aux jeunes ont pu ainsi être approfondis."

L'appel à candidatures pour les postes de Jeunes experts associés (JEA/JPO) au sein des Nations unies pour l'année 2015 est ouvert jusqu'au jeudi 12 février 2015 à 15 heures (heure de Paris).