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Home/ Groups/ Moulins à paroles (M@P)
Christian Jacomino

Ulysses, by Alfred Tennyson - 0 views

  • Come, my friends, ‘Tis not too late to seek a newer world. Push off, and sitting well in order smite The sounding furrows; for my purpose holds To sail beyond the sunset, and the baths Of all the western stars, until I die. It may be that the gulfs will wash us down: It may be we shall touch the Happy Isles, And see the great Achilles, whom we knew. Tho’ much is taken, much abides; and tho’ We are not now that strength which in old days Moved earth and heaven; that which we are, we are; One equal temper of heroic hearts, Made weak by time and fate, but strong in will To strive, to seek, to find, and not to yield.
Christian Jacomino

L'allée, de Jules Supervielle - 1 views

  • Ne touchez pas l’épaule Du cavalier qui passe, Il se retournerait Et ce serait la nuit, Une nuit sans étoiles, Sans courbe ni nuages. – Alors que deviendrait Tout ce qui fait le ciel, La lune et son passage, Et le bruit du soleil? – Il vous faudrait attendre Qu’un second cavalier Aussi puissant que l’autre Consentît à passer. Les amis inconnus (1934)
Christian Jacomino

Les Malheurs de Sophie (2), de la Comtesse de Ségur - 0 views

  • Quand la procession arriva au petit jardin de Sophie, on posa par terre le brancard avec la boîte qui contenait les restes de la malheureuse poupée. Les enfants se mirent à creuser la fosse ; ils y descendirent la boîte, jetèrent dessus des fleurs et des feuilles, puis la terre qu’ils avaient retirée ; ils ratissèrent promptement tout autour et y plantèrent deux lilas. Pour terminer la fête, ils coururent au bassin du potager et y remplirent leurs petits arrosoirs pour arroser les lilas; ce fut l’occasion de nouveaux jeux et de nouveaux rires, parce qu’on s’arrosait les jambes, qu’on se poursuivait et se sauvait en riant et en criant. On n’avait jamais vu un enterrement plus gai. Les Malheurs de Sophie (1858) Chapitre 2
Christian Jacomino

Les Malheurs de Sophie (1), de la Comtesse de Ségur - 1 views

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    Un jour, Sophie pensa qu'il était bon de laver les poupées, puisqu'on lavait les enfants ; elle prit de l'eau, une éponge, du savon, et se mit à débarbouiller sa poupée ; elle la débarbouilla si bien, qu'elle lui enleva toutes ses couleurs : les joues et les lèvres devinrent pâles comme si elle était malade, et restèrent toujours sans couleur. Sophie pleura, mais la poupée resta pâle. Les Malheurs de Sophie (1858) Chapitre 1
Christian Jacomino

La Méduse, de Guillaume Apollinaire - 1 views

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    Méduses, malheureuses têtes Aux chevelures violettes Vous vous plaisez dans les tempêtes, Et je m'y plais comme vous faites. Le bestiaire ou Cortège d'Orphée (1911)
Christian Jacomino

La Chenille, de Guillaume Apollinaire - 0 views

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    Le travail mène à la richesse. Pauvres poètes, travaillons ! La chenille en peinant sans cesse Devient le riche papillon. Le bestiaire ou Cortège d'Orphée (1911)
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