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"La réalisation en 2002 et 2010 de deux enquêtes assez proches, la première conduite par l'Insee, la seconde par l'institut BVA pour le compte de la Drees, offre l'opportunité d'étudier la participation associative et sa dynamique en ce début de XXIe siècle. À la lumière des données ainsi réunies, les taux d'adhésion apparaissent globalement stables en France, confirmant les constats réalisés au cours des décennies précédentes. 45 % des 18 ans et plus sont membres d'au moins une association. La participation associative reste un comportement sélectif qui s'accroît avec l'âge, les niveaux de diplôme et de revenu. Cette permanence n'exclut toutefois pas quelques évolutions. Celles-ci concernent d'abord les domaines d'adhésion. Le sport ainsi que l'action sociale, sanitaire, caritative et humanitaire attirent plus d'adhérents en 2010, tandis que les associations de loisirs paraissent subir une désaffection relative. Ces évolutions se traduisent également par une tendance plus marquée des adhérents à s'impliquer dans les tâches bénévoles inhérentes à la vie associative. Cet engagement croissant est un facteur de développement du bénévolat qui procède tout à la fois des évolutions sociodémographiques de la population et de modifications des comportements. Ces bénévoles sont confrontés à une demande accrue de compétences à leur égard et sont plus nombreux à suivre des formations dans le cadre de leur engagement. Les contributions volontaires reçues par les associations ne se limitent pas au temps donné, elles peuvent être également en nature ou financières. La dynamique de ces contributions est inégale sur la période considérée. Si le taux de participation aux dons financiers connaît une nette augmentation, celui relatif aux dons de jouets et de vêtements fléchit."

"L'Église de France, par la voix de ses prêtres, doit rappeler dans ses homélies que ces engagements font partie des plus beaux témoignages de foi que l'on puisse offrir. À Maumusson, commune déléguée de Vallons-de-l'Erdre en Loire-Atlantique, le clocher de l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul ne s'est pas effondré. Et ce n'est pas le fruit du hasard, mais celui d'un engagement local résolu. Face à la dégradation inquiétante de l'édifice, les habitants se sont mobilisés dès 2021, avec la volonté de rendre à leur église toute sa place dans la vie du village. "

Vous le verrez au travers des chiffres que nous vous dévoilons, l'enthousiasme des directeurs et directrices d'association vis-à-vis de leur métier est exceptionnel, mais les conditions de travail et la rémunération ne sont pas toujours à la hauteur de cet engagement. Si leur moral est globalement positif, des nuages planent dès que nous abordons l'aspect financier qui représente, de loin, le premier sujet d'inquiétude des dirigeants associatifs. Consolider l'existant, miser sur la diversification ou l'accroissement de l'activité, l'équation est d'autant plus difficile à résoudre quand les marges de manœuvre sont limitées. Bien qu'instructifs sur la réalité du monde associatif actuel, nous ne souhaitons pas nous arrêter à ces quelques constats.

"À l'occasion de la sortie du nouveau numéro de la revue Visions solidaires pour demain, et après une année où l'économie sociale s'est retrouvée en première ligne pour faire face à la pandémie de Covid-19, nous nous sommes entretenus avec Giorgia Ceriani Sebregondi, la directrice de la communication et de l'innovation solidaire de la Fondation Cognacq-Jay, reconnue d'utilité publique depuis 1916 et qui a pour vocation de créer, maintenir et développer des œuvres de solidarité sociale."

"Léguer à l'Association Diocésaine de Belley-Ars, un engagement au nom de votre foi, un geste d'espérance !" Message de Mgr Roland et vidéo CEF

"Léguer à l'Église, un engagement au nom de votre foi L'Église doit transmettre les trésors de la foi chrétienne aux nouvelles générations. Comment cela se fera-t-il demain ? Nul ne le sait et ne peut le dire aujourd'hui."

"Vous êtes paroissien sur le secteur de Dompierre, peut-être allez-vous être interpellé dans ce mois de mai par l'exposition itinérante sur ...le legs! Si le denier reste souvent le moyen principal de faire un don à l'Église diocésaine, le legs est également une façon de poursuivre votre engagement au coeur de la vie catholique durant de nombreuses années."

"Léguer ou donner à l'Eglise, un engagement au nom de notre foi L'église doit transmettre les trésors de la foi chrétienne aux nouvelles générations. Comment cela se fera-t-il ? Nul ne le sait et ne peut le dire aujourd'hui. Mais ce que nous savons parce que nous le voyons, c'est que des hommes et des femmes sont prêts à rentrer dans cette mission. Cela suppose des moyens de formation et des moyens d'action. Les prêtres et les diacres comme les laïcs associés dans la mission, doivent pouvoir compter sur le soutien de leur Eglise pour leur assurer une vie décente et leur fournir les moyens nécessaires. Le denier de l'Eglise et les quêtes pourvoient pour une part à ces charges fnancières, mais pour une part seulement. Le reste nous vient soit par des legs, soit par des dons. Les dons, même minimes, peuvent être faits par chacun d'entre nous, à tout moment, et selon nos possibilités actuelles. Les legs, quant à eux, permettent, en agissant aujourd'hui, sans se créer de contraintes, de faire une bonne action pour plus tard. + Guy Thomazeau Administrateur apostolique du diocèse de Nice"

"Comme annoncé, l'IOR (Institut pour les oeuvres religieuses), publie pour la première fois un bilan sur son site www.ior.va . C'était un engagement à la transparence pris par le nouveau Directeur général Ernst von Freyberg. S'exprimant sur Radio Vatican, soulignant que c'est le premier bilan de l'institut rendu public en 125 ans, il explique le fonctionnement en 2012 et durant les huit premiers mois de 2013"

"Acte de générosité, donner, transmettre… Que dites-vous à ceux qui se posent encore des questions sur l'impérieuse nécessité de participer à la mission de l'Eglise qui est dans les Côtes d'Armor. Le denier de l'Église est certes un acte de générosité. Il l'est d'autant plus pour ceux qui ont des revenus modestes ou fragilisés et qui maintiennent leur don. Le denier est aussi un acte de justice à l'égard de ceux qui ont tout donné de leur vie pour le service de leurs frères quand le Seigneur et l'Eglise les ont appelés au ministère. Cet appel et leurs réponses nous rendent responsables d'eux. Enfin le denier est un engagement pour l'Evangile, donner à l'Eglise les moyens de la mission que le Christ lui a confiée."

"Objectif * Sensibiliser toute personne engagée dans la vie des paroisses aux questions économiques et répondre aux questions qu'elles se posent. * Expliquer le fonctionnement des paroisses et du diocèse, les interactions, les rôles et responsabilités de chacun. * Proposer des actions à engager pour améliorer le fonctionnement des paroisses."

"Pour sortir du lot et s'assurer un maximum de visibilité sur les réseaux sociaux, les diocèses ont bien compris qu'aujourd'hui, il fallait jouer la carte de l'humour. Voici donc Mgr le Saux, évêque du Mans, reconverti en PDG d'une filiale de la plus vieille start-up du monde (l'Église). Il appelle au « financement participatif » de ses locaux - sa maison diocésaine. Un clip qui fait mouche."

"Tous ces projets veulent porter haut et loin la Parole du Christ. Tous ces projets ont besoin de vous pour éclore et se réaliser. Du fond du cœur, soyez remerciés pour votre engagement à nos côtés. L'Église se construit du don de chacun."

"Le crowfunding est une façon originale pour l'Église de diversifier les méthodes de collecte de fonds, même si le volume financier est aujourd'hui une goutte d'eau face aux besoins d'un diocèse (le budget moyen d'un diocèse rural est de 8 millions lorsque celui d'un gros diocèse urbain peut être de plus de 15 millions d'euros). Néanmoins la présentation des premiers résultats d'un des sites les plus populaires, Credo Funding, laisse entrevoir le potentiel d'une recherche de donateurs autour d'un projet fédérateur et plus simplement d'un contenant. L'enjeu est absolument essentiel : l'évolution de l'Eglise de France ne va pas d'abord se faire sur des enjeux doctrinaux, des positions éthiques ou morales, qui clivent temporairement mais ne modifient pas en profondeur les engagements des catholiques. Alors que de nombreux diocèses connaissent d'importantes difficultés financières, l'enjeu est de pouvoir aujourd'hui garantir le financement des ambitions ecclésiales. Les idées et la bonne volonté ne manquent pas, mais il faut renouveler les ressources."

"La Corse sait être généreuse et répondre à l'appel de son Eglise. En moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire, les paroissiens de l'Abbé Carlotti ont monté en Casinca une soirée du Denier de l'Eglise à Saint-Pancrace. Une météo favorable mais surtout un engagement sans faille ont fait de cette soirée un événement généreux et festif De quoi bien augurer de la soirée d'Ajaccio à Saint Roch le samedi 19 septembre. "

"Les chiffres de la collecte du denier de l'Eglise en 2014 sont légèrement inférieurs à ceux de 2013. Avec les travaux engagés pour la nécessaire rénovation de la maison diocésaine, l'équilibre des finances du diocèse reste fragile. De plus, la crise économique frappe durablement nombre de personnes dont certaines (environ 300) n'ont pas renouveler leur don à l'Eglise cette année. C'est pourquoi Jean-François DELABY, économe diocésain, rappelle que chaque baptisé est appelé à participer à la vie de l'Eglise en prenant des engagements, en donnant de son temps mais aussi de l'argent : "Donner au denier, c'est participer à l'Evangélisation. C'est permettre à l'Eglise de réaliser sa mission aujourd'hui et demain en Mayenne," affirme-t-il."

"C'est ainsi que l'on peut résumer brièvement l'année qui vient de s'écouler, enthousiasmante au niveau de la foi, interrogative quant aux engagements. La solennité de la Pentecôte 2013 rassemblait à Alpexpo plus de 10 000 membres de notre communauté catholique qui communiaient profondément à l'exhortation de notre évêque : « Au nom du Christ : Allez ! », et démontraient ainsi sa vitalité, et, dans le même temps, la même communauté était rappelée au simple devoir de partage : « Seulement 1 famille pratiquante sur 3 donne au denier ! et vous ? ». Cet écartèlement permanent entre une foi simple et joyeuse et notre responsabilité de catholique à s'engager doit nous interroger dans la poursuite de nos efforts de soutien de notre paroisse, des mouvements caritatifs et des services diocésains au moment où notre église s'appauvrit en nombre de prêtres, mais aussi malheureusement en laïcs en mission ecclésiale que nous avons de plus en plus de mal à financer. "

"Depuis le jour de notre baptême, par notre vie et notre engagement quotidien, nous sommes les membres de ce peuple de témoins. Ensemble, donnons à l'Église les moyens de remplir sa mission et d'être un signe d'espérance pour le monde de ce temps"

"Aujourd'hui, pour une église en mission, nous devons tous nous engager. #Denier #Landes"

Dons, legs, financements participatifs… Les Français ont de multiples possibilités pour exprimer leur générosité. Et ils s'en saisissent : le montant total de leur engagement annuel est de 7,5 milliards d'euros. Les sollicitations plus structurées et professionnalisées des organisations qui collectent et le cadre fiscal incitatif font partie des facteurs stimulants. Que ce soit les particuliers - dons financiers ou matériels, legs, crowdfunding, quêtes sur la voie publique… - ou les entreprises via le mécénat, la générosité privée est estimée à 7,5 milliards d'euros en 2015. Cette mobilisation est en croissance : les Français sont, depuis dix ans, de plus en plus nombreux à déclarer leur générosité, dont les montants sont en hausse, et de nouvelles formes d'engagement se développent. « Le chiffrage global de la générosité des Français était un objectif ambitieux et novateur. C'est la première fois que tous les acteurs du secteur se réunissent pour mieux comprendre la réalité de ce phénomène aux multiples visages », indique Daniel Bruneau, ancien président de France générosités et auteur de l'étude. « Les donateurs prennent conscience qu'ils peuvent jouer un rôle aux côtés de la puissance publique dans la prise en charge de l'intérêt général », souligne Laurence de Nervaux, responsable de l'Observatoire de la philanthropie - Fondation de France. Non seulement les besoins sont importants - aide aux populations vulnérables, soutien à la recherche médicale ou encore préservation de l'environnement - mais surtout la philanthropie a le pouvoir d'agir différemment, en étant plus agile pour lancer des expérimentations et apporter de nouvelles réponses. Une action complémentaire à celle de l'Etat, encouragée par les possibilités de déductions fiscales.