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"L'Assemblée nationale a voté le projet de loi contre le séparatisme religieux. Il doit être débattu au Sénat fin mars. Dans le débat public, le concordat en Alsace-Moselle est pointé du doigt. En raison de ce statut particulier, les ministres des cultes actifs et retraités de trois religions sont rémunérés par l'État. Une enveloppe annuelle qui s'élève à 54,7 millions d'euros. "

"Le soutien aux cultes d'Alsace et de Moselle pourrait passer, en 2014, à 1,98 million d'euros, contre 2,29 millions d'euros en 2013, selon le rapporteur général du projet de loi de finances pour 2014. Il évoque cette baisse dans l'une des annexes de son rapport, publié sur le site de l'Assemblée nationale."

"Redonner des jambes à une jeune fille, distribuer des repas aux sans-abri, financer des projets en Alsace, sauver la Société nationale de sauvetage en mer, récolter des fonds pour la lutte contre le cancer, offrir des nuits d'hôtel à des migrants, ou encore constituer une cagnotte pour une famille de migrants, des donateurs expliquent leur geste."

"Il n'y a pas qu'en Alsace-Moselle que le culte catholique est financé sur fonds publics. La Collectivité territoriale de Guyane doit aussi rémunérer son évêque et ses curés comme des fonctionnaires. Et cet héritage colonial vient d'être jugé conforme par le Conseil constitutionnel."

Blogs Fait religieux L'Etat va-t-il oublier la veuve du curé ? ACY- vu le 22/10/2012

"Pour accomplir sa mission, l'archevêque peut compter sur environ 600 prêtres (dont 220 retraités !), 90 diacres ainsi que sur environ 220 coopérateurs de la pastorale."

"L'ecclésiastique alsacien est soupçonné d'avoir dépouillé de leurs biens une femme de 70 ans et sa soeur. Il aurait même réussi à devenir le propriétaire de la maison d'une de ses victimes. "

"Le diocèse est en train de mettre au point un système intégré de comptabilité pour toutes les fabriques d'Alsace (et leurs annexes éventuelles), ainsi que pour les menses curiales."

"Le diocèse est en train de mettre au point un système intégré de comptabilité pour toutes les fabriques d'Alsace (et leurs annexes éventuelles), ainsi que pour les menses curiales."

"La crise du coronavirus et le confinement ont des répercussions importantes sur le fonctionnement de nos paroisses. En l'absence de quête dominicale, elles ne disposent plus de recettes nécessaires à l'exercice de leur mission, voire à la rémunération de certains salariés. A l'initiative de la conférence des évêques de France (CEF), un site web sécurisé a été crée pour permettre à tout fidèle qui le désire de continuer à verser son offrande chaque dimanche. D'utilisation simple et rapide, il permet de donner à la quête avec sa carte de crédit, après avoir sélectionné son diocèse, sa paroisse et le montant que vous souhaitez verser. La CEF reverse ensuite au diocèse de Strasbourg le montant recueilli et enfin, le diocèse redistribue l'argent à la paroisse que vous avez choisi de soutenir. Merci de tout cœur à ceux qui continuent de soutenir leur communauté !"

"C'est une particularité de taille : les quelque 1 200 ministres du culte d'Alsace et de Moselle ne cotisent pas pour leur retraite. Cet héritage bismarckien pourrait faire les frais de la réforme en cours." RDP du 15/01/2020

"Soutenez les mouvements d'Église, la catéchèse et les associations de fidèles"

"Trois certitudes nous habitent et guident notre démarche actuelle de réflexion pour pérenniser le Mont Sainte-Odile dans sa mission spirituelle, son ouverture à tous et sa beauté remarquable."

"C'est un rendez-vous crucial pour les finances du diocèse de Strasbourg ! Les recettes de la grande quête sont indispensables pour le fonctionnement de l'église d'Alsace. Pour faire vivre les mouvements et les services, pour soutenir les personnes blessées par la vie, pour la formation des prêtres et des laïcs, pour gérer le patrimoine immobilier, et bien sûr pour la vie sacramentelle, le diocèse fait appel à votre générosité. En cette année si particulière qui a vu les recettes des paroisses et des sanctuaires chuter avec l'interdiction des messes en public ou l'annulation des pèlerinages, nous avons, plus que jamais, besoin de vous !   Nouveauté 2021 : La quête numérique Cette année, le diocèse innove dans certaines paroisses ou sanctuaires en lançant la quête numérique qui a déjà fait ses preuves dans de nombreux diocèses en France. Vous pourrez payer votre offrande avec une carte bleue et sans contact. Un panier de quête électronique ou une borne numérique située à l'entrée de l'église vous permettront d'accomplir ce geste d'offrande."

"La crise de la pandémie a mis à mal entreprises et institutions. Outre les souffrances humaines, elle a aussi gravement affecté l'équilibre financier des organismes les plus fragiles, ceux dont la vocation n'est pas à but lucratif. Les diocèses de France, dont celui d'Alsace, n'ont pas échappé aux conséquences du confinement : l'interruption de la pratique cultuelle et donc des quêtes, la chute des produits financiers de nos placements, les dépenses nouvelles de fournitures, la fermeture du Mont Sainte-Odile et du Centre Saint Thomas… Malgré nos efforts de simplification et de maîtrise, en dépit de la baisse de certaines dépenses de fonctionnement et de nos efforts de communication, nos ressources ordinaires ont chuté, dont celles de la Grande Quête freinée par l'arrêt des flux de courrier. Si vous le pouvez, merci de bien vouloir aider encore l'Église Catholique d'Alsace. Si vous souhaitez nous faire un don en ligne, passez par le site via la rubrique « dons en ligne » ou par le site national donnons.catholique.fr Quelle que soit votre réponse, je vous exprime d'avance notre reconnaissance pour les nombreuses formes de votre attachement à notre Église."

"C'est un rendez-vous incontournable pour le diocèse de Strasbourg. Les 12 et 13 février, les catholiques d'Alsace sont sollicités pour soutenir financièrement le diocèse. La grande quête a rapporté en 2021 un peu plus d'1 million d'euros, ce qui réjouit Jacques Bourrier, l'économe diocésain : « C'est une bonne année malgré la crise sanitaire. Les catholiques nous soutiennent plus que jamais dans les tempêtes que nous traversons. » L'économe fait ici allusion aux affaires d'abus sexuels qui affectent profondément l'institution."

"Le Diocèse de Strasbourg compte 767 paroisses servies par 400 prêtres actifs ou étudiants, 260 agents pastoraux rémunérés par l'Etat, une centaine d'agents salariés par l'archevêché et ses annexes et des bénévoles. Le service des affaires temporelles de l'archevêché est une équipe pluridisciplinaire qui ne gère directement qu'une partie des ressources humaines et financières du diocèse en raison des particularités du régime concordataire d'Alsace-Moselle. Pour gérer les affaires du diocèse et conduire les projets nécessaires pour préparer l'avenir, le Diocèse cherche son délégué épiscopal aux affaires temporelles, économe diocésain et directeur des ressources humaines."