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Don Doehla

How To Use Google Forms To Create Your Own Self-Grading Quiz - 0 views

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    "Are you a teacher or trainer? Someone involved in a hiring process? Do you need to check somehow that other people have the skills or knowledge that you expect them to? Well, you're going to love what you can do using Google Forms. You can create a self-grading test for whatever your purposes are. That's powerful! Google Forms are amazing tools, allowing you to do some really advanced tricks with forms as the front-end and spreadsheets at the heart. Once you get started you'll be amazed at just how much you can achieve with this basic premise. Today we'll look at how to create a self-grading quiz using Google Forms. From there, you'll no doubt find a lot more ways to use forms and spreadsheets."
sylviere doc

Heuristiquement - Actualité : MindMeister s'intègre à Biggerplate - 1 views

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    Si vous disposez d'un compte sur le logiciel en ligne MindMeister et à la fois un compte sur la plate-forme de partage de cartes Biggerplate, vous allez pouvoir publier facilement sur cette plate-forme.
sylviere doc

Le documentaliste : un designer de l'information ! | Veille documentaire - 1 views

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    "A l'heure de l'infobésité, de la primauté des images sur l'écrit, du développement de la data visualisation et des orientations axées « service au public », il est urgent de présenter l'information sous une forme plus esthétique et interactive ! Mais comment rendre nos contenus plus « sexy » afin de « sortir du lot » et susciter l'intérêt des usagers de l'information ? "
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    "A l'heure de l'infobésité, de la primauté des images sur l'écrit, du développement de la data visualisation et des orientations axées « service au public », il est urgent de présenter l'information sous une forme plus esthétique et interactive ! Mais comment rendre nos contenus plus « sexy » afin de « sortir du lot » et susciter l'intérêt des usagers de l'information ? "
Laurence Aucordier

Plates-formes de e-learning et e-formation - 2010 - 0 views

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    Répertoire Plates-formes de e-learning et e-formation - 2010
peir ric

Mémoires et apprentissages* | Formation et culture numérique - Thot Cursus - 0 views

  • 'il existe une hiérarchie de plusieurs mémoires spécifiques ou plusieurs niveaux de traitement de la mémoire.
  • Alain Lieury dresse une "géographie de la mémoire" dans laquelle on distingue les éléments suivants : Les mémoires sensorielles (iconique, auditive, tactile, kinesthésique) La mémoire lexicale La mémoire sémantique
  • importance de la subvocalisation (= prononcer metalement les mots lus lors d'une lecture silencieuse) qui permet de "réinjecter" les mots dans notre mémoire lexicale lorsque nous lisons ou entendons des informations.
  • ...3 more annotations...
  • Les capacités réduites de cette mémoire ( limitée à 7 éléments; on parle alors d'empan mnésique) semblent militer pour une revalorisation de la répétition et de l'apprentissage par coeur. 
  • l'apprentissage par coeur ne fait que renforcer la mémoire lexicale au détriment du sens.
  • la théorie d'Endel Tulving consacrée à la "mémoire épisodique". Il préconise de multiplier les épisodes qui peuvent prendre la forme d' exercices, de travaux pratiques, de recherche documentaire, par exemple, créant ainsi un "emboîtement d'épisodes" essentiel pour la construction de la mémoire sémantique. 
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    " Alain Lieury dresse une "géographie de la mémoire" dans laquelle on distingue les éléments suivants : Les mémoires sensorielles (iconique, auditive, tactile, kinesthésique) ; La mémoire lexicale ; La mémoire sémantique... "Les capacités réduites de cette mémoire [de travail] ( limitée à 7 éléments; on parle alors d'empan mnésique) semblent militer pour une revalorisation de la répétition et de l'apprentissage par coeur... la théorie d'Endel Tulving consacrée à la "mémoire épisodique". Il préconise de multiplier les épisodes qui peuvent prendre la forme d' exercices, de travaux pratiques, de recherche documentaire, par exemple, créant ainsi un "emboîtement d'épisodes" essentiel pour la construction de la mémoire sémantique."
Nicolas Casel

Framavectoriel - créer des images vectorielles au format SVG - 0 views

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    "Qu'est ce que Framavectoriel ? Framavectoriel permet de créer rapidement des images vectorielles au format SVG. Pourquoi l'utiliser ? Utilisable en ligne, sans installation Pas d'inscription requise Possibilité d'exporter votre document sous forme d'image bitmap ou vectorielle Logiciel libre et gratuit, ouvert à tous Éthique : aucune conservation de vos données"
Don Doehla

How To Use Google Docs As A Slick Survey Tool - 0 views

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    "Google Docs, in addition to being a stellar way to write, store and manage your documents and slideshows, is also a fantastically useful way to collect survey data. Basically, you send out a form, people fill it in, and Google reports the documents back to you in an incredibly simple and easy-to-understand fashion."
Laurence Aucordier

Prezi - The zooming presentation editor - 0 views

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    Plate-forme permettant de créer des interfaces sympa
Gentit André

Le cours magistral est mort, vive la techno | Le Devoir - 0 views

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    Cet après-midi-là, 14 élèves du petit groupe de mathématiques de 4e secondaire s'affrontent en classe dans une joute complexe portant sur x2 et xy9. Le match est projeté sur écran géant. Grâce à des télécommandes en forme d'oeufs, placées sur chaque pupitre, les jeunes peuvent répondre en direct au jeu-questionnaire à choix multiples. Tic tac, tic tac...
peir ric

Le web, plus qu'un bavardage, un vrai lieu «d'interaction politique» » OWNI, ... - 0 views

  • les internautes apportent une information soit locale, soit experte, qui n’est pas relayée par les médias traditionnels parce qu’elle est jugée sans importance ou trop compliquée ; en cela, ils enrichissent l’espace public.
  • L’innovation créative y est d’abord comprise comme un effet émergeant de la mise en commun d’idées qui se reprennent, se mêlent, se déforment et se recombinent les unes les autres.
  • En multipliant les points de vue, on contribue à socialiser et à politiser la conversation publique. Ce n’est pas grand-chose, mais cela modifie les perceptions que l’on peut avoir de l’actualité.
  • ...21 more annotations...
  • Internet produit surtout un enchevêtrement d’interprétations.
  • Soit le Web est un support de mobilisation des électeurs et des prescripteurs d’opinion, comme dans le cas de BarackObama.com.
  • C’est cette incorporation des points de vue des autres dans l’appréhension de l’information qui contribue à transformer la relation descendante et silencieuse de l’information des professionnels vers le public.
  • Comme l’a récemment très bien mis en valeur Yves Citton, une interprétation – à la différence d’une connaissance – ne peut se déployer que si elle rencontre l’assentiment d’une communauté d’interprètes – et la production de cet assentiment/dissentiment est la raison pour laquelle nous conversons tant.
  • travail pour accrocher le débat intellectuel au débat public.
  • Soit on demande aux militants et aux électeurs de coproduire le programme du candidat en mettant la société en conversation, comme dans l’expérience de Désirs d’avenir de Ségolène Royal.
  • la seconde voie, la plus exigeante et la plus conforme à la culture d’expressivité individuelle de l’Internet, est très compliquée à mettre en œuvre.
  • Il est frappant de voir que les études sur la viralité sur Internet ont remis au goût du jour, The People’s Choice, le livre de 1955 de Katz et Lazarsfeld sur les deux étages de la communication qui insistait sur les médiations sociales de proximité dans la diffusion des messages venus de l’espace public.
  • D’une certaine manière, l’Internet des réseaux sociaux ne fait que rendre visible ce qui a toujours constitué le quotidien des individus. On expose un babil qui a toujours existé ; mais désormais celui-ci accède a plus de visibilité, rencontre des interlocuteurs nouveaux en périphérie du réseau social de chacun et peut, rarement, mais cela arrive, accéder à une large publicité virale.
  • Les tweets ne font bien souvent que relayer un lien vers un site en ajoutant quelques mots de préface qui donnent un point de vue possible sur le lien en question. Or quand vous allez lire l’article, vous le ferez avec en tête le point de vue de celui qui vous l’a recommandé, en vous demandant s’il a raison ou tort d’avoir perçu les choses ainsi.
  • Internet a contribué à rendre beaucoup plus visible et accessible le travail d’expertise mené par des chercheurs, des passionnés, des militants et des petits collectifs qui étaient souvent extrêmement marginalisés dans le débat public.
  • Mais la question est de savoir si cela peut désenclaver l’agenda médiatique en favorisant une meilleure articulation du débat public avec les savoirs en marge ou en périphérie de l’espace médiatique traditionnel.
  • Le mode de prise de décision de l’Internet est le consensus entre les plus agissants. Il y a une différence majeure entre les techniques électorales de la démocratie représentative où l’on cherche à faire voter l’ensemble d’une population définie et connue à l’avance en donnant le même poids à chaque voix et le processus de prise de décision dans les mondes en réseaux où l’on cherche à obtenir le consensus de ceux qui sont les plus mobilisés et donc les plus enclins à débattre, argumenter et accepter la décision collective.
  • c’est la forme du “consensus apparent”, comme l’appelle Philippe Urfalino , qui domine. On est d’accord jusqu’à ce que quelqu’un de la communauté exprime publiquement un désaccord.
  • Dans ce système, ce sont les plus convaincus et les plus actifs qui créent la tendance dominante ; par une sorte de division du travail interne aux communautés de l’Internet, ceux qui s’intéressent moins à la question ou sont moins convaincus délèguent leur voix aux plus actifs en se taisant, jusqu’au point de rupture.
  • La manière dont Internet agit sur l’espace public est beaucoup plus proche des techniques de mobilisation collective, comme la manifestation ou la pétition, que du choix électoral.
  • Plutôt que de limiter ces interprétations à un cercle d’herméneutes spécialisés qui proposeront une lecture particulière des données en les agrégeant selon certaines catégories statistiques, les tenants des données ouvertes pensent qu’une ouverture plus large des données publiques permettra à de nouvelles communautés interprétatives de révéler des significations non-anticipées ou non vues.
  • D’une part, on assiste à un renforcement des techniques de captation de l’attention de l’électeur qui fonctionnent sur l’hyperpersonnalisation du candidat, la peoplisation du milieu, le storytelling et les “éléments de langage”. Ce formatage communicationnel et narratif du discours politique se représente un électeur qui réfléchit peu et attend de belles histoires.
  • Ce qui change alors, dans l’esprit des professionnels de la communication politique, c’est que l’électeur n’est plus un spectateur inerte mais un internaute mimétique et qu’il faut lui servir des narrations virales pour faire l’opinion.
  • Mais d’autre part, et cette ambivalence caractérise très bien notre situation actuelle, on observe sur Internet des attentes à l’égard de l’espace public qui sont toutes différentes : une forme de distanciation critique, une reprise d’autonomie à l’égard des messages médiatiques, une volonté de participation à la définition des enjeux publics,
  • Le développement d’une “société d’interprètes” augmente la diversité des points de saisie de l’événement, tout en accroissant les contraintes de vérification et de certification des faits qui le sous-tendent. Dans une époque où le décalage entre les discours et les actes est devenu si important, l’invocation d’un accès plus large, et non déformé, à l’information est devenue essentielle, non seulement pour les citoyens, mais aussi pour les journalistes qui honorent le mieux la déontologie de leur profession, comme l’a montré le travail commun de grandes rédactions de journaux et de Wikileaks.
sylviere doc

Wikipédia : « 80% des enseignants ne sont pas outillés pour rechercher des sa... - 0 views

  • Depuis sa fon­da­tion en 2001, Wikipédia s'est impo­sée comme une réfé­rence pour les élèves du secon­daire et les étudiants. Mais sa fia­bi­lité est régu­liè­re­ment poin­tée du doigt.
  • Bruno Devauchelle, spé­cia­liste des nou­velles tech­no­lo­gies de l'information.
  • Wikipédia est constam­ment remis à jour.
  • ...10 more annotations...
  • N'importe qui peut appor­ter sa contri­bu­tion, ce qui en fait a priori un outil sus­pect.
  • La vraie ques­tion est de savoir com­ment faire accé­der un amas de connais­sances au rang de savoirs.
  • A la dif­fé­rence des ency­clo­pé­dies « clas­siques » comme Universalis, qui par­ve­naient sous une forme ache­vée et véri­fiée par les pairs,
  • 80% des ensei­gnants ne sont pas bien outillés pour recher­cher des savoirs attes­tés sur inter­net et ils n'en sont pas conscients.
  • l'intérêt de Wikipédia est aussi de consul­ter les hyper­liens, les réfé­rences, ce que la majo­rité des uti­li­sa­teurs, ensei­gnants com­pris, ne fait pas.
  •  La vraie révo­lu­tion, qui peine encore à être accep­tée par tout le monde, c'est qu'il faut apprendre non seule­ment à lire mais sur­tout à écrire Wikipédia.
  • Loys Bonod, cet ensei­gnant qui avait « piégé » ses élèves par le biais de Wikipédia estime qu'il s'agit d'une source d'informations « médiocre » et for­mule plu­sieurs pro­po­si­tions. Qu'en pensez-vous ?
  • Que toute infor­ma­tion est sus­pecte !
  • un ensei­gnant devrait exi­ger de ses élèves, d'une part qu'ils citent leurs sources d'informations, de la mater­nelle jusqu'à l'enseignement supé­rieur. D'autre part, dès lors qu'il existe plu­sieurs sources, il faut les com­pa­rer. C'est une garan­tie par rap­port à tous les savoirs livresques qui ne sont pas exempts d'erreurs.
  • r en sciences de l'éducation, Bruno Devauchelle est pro­fes­seur asso­cié en ingé­nie­rie des médias à l'université de Poitiers, chargé de mis­sion TICE à l'université catho­lique de Lyon et auteur de Comment le numé­rique trans­forme les lieux de savoirs (éditions FYP, janvier 2012). Les ensei­gnants et les élèves sont-ils bien for­més aux nou­veaux outils numé­riques et à la métho­do­
gallypette

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    Sur la forme : - Introduction lourdingue - Expérience utilisateur lourdingue - Musique lourdingue - L'étape 2 en mieux foutue Sur le fond: - Ici, la fuite d'information vient de quelqu'un qui nous veut du mal, c'est con; sur Facebook le danger est bien plus pernicieux. On a pas besoin d'ennmi pour être en danger.
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