propriétés maintenant bien connues des réseaux distribués à grande échelle,
les chercheurs en sciences des réseaux testent leurs hypothèses : mobilité et interactions entre agents sociaux, produits ou entreprises dans un marché ou encore vie des blogs et diffusion tweets sur Internet.
C’est l’interdépendance des espèces qu’il s’agit donc de mesurer dans une représentation unifiée pour affiner les données sur les dimensions de co-évolution des espèces, d’extinction de masse ou pour mesurer les influences « anthropogenic » sur un biotope.
Et, comme en économie ou en sciences du web, les premières conclusions montrent que les réseaux d’interactions dans le vivant révèlent à grande échelle un monde organisé et très connecté (comme pour le web, il s’agit d’un « giant cluster ») qui n’est ni « random organized » ni constitué d’éléments ou de groupes séparés.
L’observation de la vie sociale apparaît maintenant comme un objectif central des Network Sciences
le déploiement de systèmes de monitoring en temps réel
Quatre directions de recherche et d’expérimentation pour les dix années à venir sont identifiées
l’exploration des données sociétales et l’avènement des « hard social sciences »
constituer de “large scale datasets” pour mesurer les interactions humaines à différentes échelles de granularité, produire des modèles de comportement, voire de prévisibilité, à partir de l’analyse des données (et non de modèles préconçus).
produire de nouveaux modèles
des réseaux à grande échelle et être en capacité de les décrire à partir de leur dimension dynamique