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Emilie Bouvrand

iTALC - 0 views

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    "iTalc permet d'installer un système de surveillance / pilotage dans toute salle informatique classique installée en réseau. L'installation pourra être aisément faite par toute personne ressource initiée réseau, grâce à une documentation complète. La cellule tice de votre académie pourra aussi peut-être vous guider ou vous proposer une aide technique pour la mise en place du système, voire vous permettre de le tester. N'hésitez pas à vous rapprocher de la cellule tice de votre académie si un tel projet intéresse votre établissement."
tangi bertin bertin

Embrasser la complexité « InternetActu.net - 1 views

  • Sous cette bannière se regroupe l’ensemble des phénomènes capables de s’organiser spontanément de manière très élaborée, sans intervention d’une intelligence extérieure.
  • Les 17e, 18e et 19e siècles, époque du triomphe de la mécanique newtonienne furent essentiellement consacrés à l’analyse de la simplicité. Les sciences et les mathématiques de l’époque se chargeaient de comprendre les choses prévisibles, constantes, comme les mouvements des objets sous l’influence des forces physiques.
  • Le 20e siècle s’est intéressé à la complexité désorganisée : le hasard, les statistiques…
  • ...18 more annotations...
  • Le 21e siècle, lui, se heurte à la complexité organisée. Celle justement qui se caractérise par la constitution des réseaux.
  • la théorie des réseaux, notamment l’idée des “petits mondes” qui montre comment un certain type de connectivité peut très facilement permettre une mise en relation globale de tous ces éléments (la fameuse notion des “six degrés de séparation”)
  • “Le cerveau est un réseau constitué de neurones reliés par des axones ; la cellule est un réseau de molécules reliées par des produits chimiques ; les sociétés humaines sont constituées d’individus reliés par des relations amicales, familiales, professionnelles ; les écosystèmes entiers sont des réseaux d’espèces connectées par diverses interactions comme la chaine alimentaire
  • la conviction qu’il existe un “Monde des Idées” donnant forme à l’ensemble des phénomènes
  • Cette croyance selon laquelle la productivité et l’isolement sont importants dans le travail ne remonte pourtant qu’à la révolution industrielle avec l’invention des lieux de production spécialisée, “quand nous sommes passés du moment où les gens étaient payés pour le produit qu’il fabriquait au temps passé à le fabriquer”. “Cette transformation a introduit le problème de l’attention au travail”, explique Stefana Broadbent. “C’est à partir de là qu’on a inventé des systèmes de contrôle de l’attention des gens, en transformant les environnements de travail, en introduisant des superviseurs, des agents de maîtrise chargés de contrôler le travail des autres.”
  • On a la même chose dans le système éducatif : on apprend aux enfants à se concentrer , ce sur quoi se concentrer, ce qui vaut la peine de se concentrer. Il y a beaucoup de discussions et de confusions sur la question de l’attention, estime la chercheuse. “La façon de gérer la complexité et l’attention s’appuie sur l’idée que les gens peuvent la gérer de façon individuelle, que c’est un processus individuel qui s’appuie sur la volonté de chacun. Or, j’aimerais vous montrer que l’attention est un processus social plus qu’individuel.”
  • A l’opposé, l’encyclopédie Wikipédia, ou encore le Couchsurfing (ce site par lequel des gens prêtent leurs canapés à des voyageurs du monde entier), montre à quel point les gens ont envie de partager, et besoin de s’entraider.
  • on ne surveille pas comment ils gèrent leur temps. Il y a une rupture sociale considérable dans la gestion de l’attention, liée à la confiance.
  • Le contrôle de l’attention des gens est pourtant voué à l’échec, même si beaucoup d’entreprises continuent à le faire
  • L’environnement de travail réduit le niveau d’implication des gens. L’automatisation implique des travaux de plus en plus dénués de sens avec des fonctions limitées. On demande à bien des employés de concentrer leur attention sur des tâches sans sens et répétitives et on sait qu’on a du mal à concentrer son attention quand on s’ennuie…
  • “on peut se demander si la division arbitraire entre le monde privé et professionnel est une si bonne chose. Chacun sait qu’il est important d’avoir des moments de contacts avec les siens dans la journée. Ce n’est pas un choix indivuel, mais bien souvent un choix social imposé par nos représentations
  • “La multiplication des caméras de surveillance et des politiques de surveillance augmente plutôt qu’elle ne diminue le problème. Or, les gens trouveront toujours une colonne pour se cacher et faire ce qui est interdit. Le problème n’est pas tant d’utiliser un dispositif électronique pour se distraire, mais de concevoir des environnements qui évitent un ennui massif et qui limitent les distractions. Les mobiles, comme l’internet, ou la nicotine peuvent être un bouc-émissaire facile. mais au final, le véritable défi est de savoir comment concevoir des environnements de travail plus chargé de sens
  • “la collaboration de masse va bouleverser l’organisation des gouvernements”. Aujourd’hui, il continue à tracer cette voie mêlant entraide mutuelle, socialisation et participation à la vie de la communauté.
  • Les supermarchés ne sont pas aussi sociaux que les marchés, et les écrans de télévision, les lotissements, les immeubles, ont souvent tendance à isoler les gens, à les anonymiser, à casser les mécanismes d’entraide, d’apprentissage et d’échanges d’antan.
  • Ceux qui ont un statut plus élevé s’attendent à recevoir l’attention des autres et ceux qui ont un statut plus bas doivent porter de l’attention. Mon expérience d’observation des gens sur leurs lieux de travail montre qu’on contrôle la gestion de l’attention des employés de bas niveau, alors qu’on fait confiance aux cadres et dirigeant
  • L’internet est un formidable vecteur de socialisation, estime Ivo Gormley, pour qui “nous avons besoin de nouveaux formats d’entraide mutuelle, et de faire revivre les anciens, nous devons remettre ça dans le courant mainstream” :
  • Lorsqu’un système donne aux gens la possibilité d’agir de manière positive, ils le font avec plaisir, s’y connectent sur la base de similitudes importantes, pas seulement pour faire le bien, mais aussi de manière très individualiste, parce qu’ils ont besoin d’aide, de trouver des gens dans la même situation.
  • Pour Ivo Gormley, si le 20e siècle semble avoir donné raison à Thomas Hobbes, les nouvelles formes de sociabilité et d’entraide mutuelle que l’on voit poindre, notamment via le Net, nous renvoient plutôt à Kropotkine. Et nous aurions probablement beaucoup à gagner à tenter de reconcevoir nos relations, et nos actions, afin de remettre l’entraide mutuelle au coeur des processus.
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"J'ai planté !" : le stress informatique fait des ravages | Rue89 - 0 views

  • 64% des sondés « anxieux » à cause de leur ordinateur Les principales causes de ce syndrome, répertoriées par l'étude, sont : le ralentissement du système (51%) la lenteur au démarrage (36%) les virus (16%) l'accès à internet indisponible (15%) l'échec à une connexion sans fil (14%) les logiciels espions (14%)
  • l'ordinateur qui plante souvent (9%)
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    "64% des sondés « anxieux » à cause de leur ordinateur Les principales causes de ce syndrome, répertoriées par l'étude, sont : * le ralentissement du système (51%) * la lenteur au démarrage (36%) * les virus (16%) * l'accès à internet indisponible (15%) * l'échec à une connexion sans fil (14%) * les logiciels espions (14%) * l'ordinateur qui plante souvent (9%)"
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Comment accéder à Internet (un guide de 2025) - PC INpact - 0 views

  • Travailler comme Re-rédacteur Contenus. Chaque jour, de nouveaux articles, images, nouvelles non localisées font leur apparition sur Internet. Avant qu'ils ne puissent être distribués sur les versions localisées du réseau, ils doivent être réécrits pour correspondre localement aux nécessités culturelles et légales. En tant que Re-rédacteur Contenus, votre travail consiste à connaître ces nécessités et d'adapter le contenu en conséquence, en retirant les parties dérangeantes et en réécrivant les faits et parties qui peuvent entraîner une dissonance cognitive pour les consommateurs.
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    De l'ordre du possible, cette vision d'internet semble rêvé par de nombreuses personnes aujourd'hui. Peoples, hommeq politiques, certains journalistes .... apple (apple store) et facebook, avec leur système de web fermé / minitel 2.O
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Entre réel et virtuel, les limites de la vie… à l'école » Article » OWNI, Dig... - 0 views

  • Le développement actuel des univers virtuels interactifs est le prolongement de travaux de recherche menés dès l’apparition de l’ordinateur autour d’un mythe célèbre : « l’ordinateur c’est l’homme ». Ce mythe apparu aussi bien avec Türing qu’avec la cybernétique ou encore les théories de l’apprentissage de Skinner (enseignement programmé). C’est donc dire qu’il est ancré dans l’esprit humain à l’égal des grands mythes qui traversent l’humanité et déclinés de manière proche au travers des cultures
  • Si l’ordinateur c’est l’homme, alors l’homme est-il une machine ?
  • En d’autres termes, en libérant le cerveau des tâches répétitives ou consommatrices d’énergie mentale, il suppose qu’il est alors possible de développer les capacités du cerveau qui vont vers le « plus de complexité »
  • ...11 more annotations...
  • Le cerveau humain, complexe en lui même aurait commencé à projeter cette complexité dans les techniques (et pas seulement les machines) qu’il développ
  • Regardons des usagers en activité au long d’une journée, d’une semaine voire davantage et nous pouvons nous apercevoir que l’objet lui même s’est installé dans le prolongement direct de l’activité mentale, qu’elle soit sociale, professionnelle ou affective…
  • L’homme en externalisant certaines de ses fonctions humaines serait obligé de se « machiniser », en d’autres termes d’utiliser de plus en plus de prothèses pour faire face à la complexité.
  • En développant les univers virtuels et en les fusionnant de plus en plus avec le réel (de la simulation à la réalité augmentée), nous allons nous retrouver avec un problème éducatif nouveau : situer la part de l’humain dans notre environnement !
  • L’espace classe est en train lentement d’éclater comme espace-temps d’apprentissage.
  • Certes le TBI (tableau blanc interactif, ndlr) donne encore du fil à retordre car il est bien centralisateur (de par sa forme même : un écran pour plusieurs). Mais le portable (ordinateur ou smartphone) dans la classe relié au reste du monde va inévitablement questionner la forme scolaire.
  • Comme de plus ces techniques permettent de plus en plus le lien individuel « homme machine » elles posent aussi au système scolaire la question de sa forme collective.
  • L’élève est-il une machine ? Va-t-il le devenir dans nos classes ? L’expérience des Landes (rappelons nous l’enquête de l’an passé après huit années de pratique) nous montre que les choses vont lentement, que la technicisation de l’enseignement est un phénomène lent.
  • Le système scolaire est fortement confronté à la demande de la société au service de laquelle il a été créé
  • Le pessimiste pourra opter pour la première hypothèse et tenter de freiner, l’optimiste pourra opter pour la deuxième en pensant qu’il peut créer du sens
  • Or mettre en route ce rôle de questionneur c’est inviter chacun à se mettre en réflexion sur ces évolutions, à accepter la confrontation, la discussion, la co-construction.
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    l'"homme" devient il un "homme machine" ? Laine, Breton,asimov et deusX inside
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Le diplôme est un facteur de rigidité sociale - 0 views

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    Le Café de pédagogie vivante recevait mercredi 29 septembre, au Café du Lucernaire à Paris, la sociologue Marie Duru-Bellat, pour son dernier ouvrage écrit en collaboration avec François Dubet et Antoine Vérétout. L'occasion pour la sociologue d'évoquer les éléments clés de cette étude comparative sur l'emprise du diplôme et la cohésion sociale : la rigidité d'un système crédentialiste et le revers injuste de la méritocratie.
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Ordinateurs et prise de note en cours magistral | Polit'bistro : des politiqu... - 0 views

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    Le New York Times se fait l'écho d'une enquête qui ne mesure presque aucun avantage à la possession d'un ordinateur lors des études primaires ; pire, la possession d'un ordinateurs semble creuser les inégalités, en faisant stagner les élèves déjà défavorisés dans le système éducatif.
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L'équilibre positif de la technologie - 0 views

  • est de proposer une théorie relative à la technologie, un cadre qui donne une logique et un contexte à ce défilé d’innovations
  • la technologie inclut des inventions anciennes, comme les montres ou les leviers, et du matériel qui fonctionne très bien, comme le béton et les briques
  • La grande majorité des technologies ont été inventées bien avant notre naissance
  • ...14 more annotations...
  • A ces choses matérielles, il faut ajouter ce qui est intangible : le calendrier, les principes de la comptabilité, les lois, les logiciels. Mais aussi l’organisation sociale, les villes. La technologie, c’est tout cela.
  • la somme de ces technologies forme un tout qui interagit un peu à la manière d’un écosystème
  • Ce super système d’inventions interdépendantes, je l’appelle “technium”.
  • e la même manière qu’il n’y a rien de la ruche dans une seule abeille, le comportement du technium n’est pas visible dans un iPhone, un couteau ou un réfrigérateur. C’est dans le système dans son ensemble que l’on peut ressentir la vraie influence de la technologie.
  • Et, aussi surprenant que cela puisse paraître, le technium suit les mêmes modèles que ceux que Darwin a identifiés pour la vie : à savoir “l’évolution”
  • Chaque nouvelle invention apporte autant de solutions qu’elle créé de problèmes. [...] De là on pourrait conclure que le technium est neutre
  • Quand nous avons inventé un nouvel outil, mettons le marteau, nous avons en même temps créé un nouveau choix : s’en servir pour détruire, ou pour créer, pour tuer quelqu’un, ou pour construire une maison. Cette décision était une option, une chance, une possibilité, que nous n’avions pas avant que cette invention n’existe.
  • Cette dose supplémentaire de libre arbitre [...] est bonne en elle-même [...]. Avoir le choix est en soi une bonne chose. Et cela fait pencher l’équilibre de la technologie du côté du bien, d’un degré. Mais ce degré est tout ce dont nous avons besoin [...].
  • quand nous créons une nouvelle technologie, il y a accroissement des choix, des possibilités et des différences
  • Mozart avait besoin des technologies du piano et du clavecin pour découvrir et développer son génie musical. Imaginez si Mozart était né 2 000 ans avant l’invention du piano et de la symphonie
  • Quand nous créons des technologies, nous participons en fait à quelque chose qui nous dépass
  • Nous déployons les mêmes forces que celles qui font la vie, nous accélérons l’évolution vers l’avenir et nous augmentons les possibilités pour nous, nos enfants, et le monde en général. C’est “ce que veut la technologie”.
  • l s’agit de la notion de libre accès à la technologie. En effet, l’inventeur du piano aurait interdit l’utilisation du piano, Mozart aurait été obligé de se mettre à la peinture.
  • La technologie en soi ne veut rien dire. C’est la capacité de la technologie à se diffuser dans les usages populaires qui est fondamentale.
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    Vision optimiste des technologies centrée sur la notion de technium, sorte d'écosystème des technologies qui est également sujet à la loi de l'évolution de Darwin. Quand on cré des technologie on augmente nos possibilités. "Mozart ne serait pas Mozart sans l'invention du piano...".
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Veille et recherche d'informations : quelles différences ? - CaddE-Réputation - 0 views

  • La veille, qui consiste globalement à mettre en surveillance des sources afin d’obtenir des informations nécessaires à la prise de décision, est un processus dont l’appellation est devenue générique, englobant un ensemble d’autres processus parfois distincts. Même si complémentaire, la recherche d’informations ne nécessite pas les mêmes approches (méthodologies, outils, processus) que la veille. Nous allons ici voir les différences entre ces deux concepts/processus.
  • Il est de plus en plus courant de lire et d’entendre parler de méthodologies de veille, qui souvent font allusions au fameux cycle du renseignement, à savoir la définition des besoins, la collecte, l’analyse et la diffusion de l’information
  • Stockage/mémorisation VS Flux
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  • l’un des objectifs d’une veille est la collecte (automatisée) d’informations
  • stocker de manière efficace les résultats afin de pouvoir ensuite s’y reporter en analyse, et/ou répondre à une question précise quelques temps après
  • Sources statiques VS Sources mouvantes
  • : dans une veille concurrentielle (par exemple) il est utile de repérer les sources intéressantes (sites des concurrents) pour les mettre en surveillance
  • le blog qui aura le lundi traité d’un sujet en rapport avec votre organisation ne sera peut-être pas le même que celui qui en parlera le mercredi
  • Chercher un signal dans les résultats VS Chercher des résultats à partir d'un signal
  • la veille permet donc de collecter et de stocker un certain volume d’informations. Sans revenir sur la définition même de la veille, l’objectif de cette collecte est de pouvoir ensuite rechercher des signaux pouvant bousculer la stratégie de l’organisation
  • A l’inverse, la recherche d’informations part souvent d’un signal précis (qui peut d’ailleurs être issu de la veille) et qui nécessite un approfondissement
  • Provoquer le questionnement VS Répondre à une question
  • lorsque l’on met en place un système de veille automatisée il est courant (et conseillé) de mettre en place un ensemble de filtres (sur les mots-clés, les sources, etc.)
  • Réduire avant d'analyser VS Analyser pour réduire
  • En recherche d’informations, au contraire, il faut tout d’abord analyser le résultat que l’on a trouvé (même rapidement) avant de le sélectionner pour une analyse plus poussée ou pour répondre à la question posée
  • Long terme VS  Court terme
  • Technologie de collecte et d'indexation VS Technologie de crawl/recherche
  • Pour la veille, il sera utile d’avoir un outil d’agrégation de flux RSS, qui permet d’affiner sa collecte (filtres), et qui surtout permet une indexation rapide et ergonomique (tags, filtres de recherches internes, etc.) des résultats
  • Pour la recherche d’informations, ce sera la capacité de recherche (de « crawl ») de l’outil, le volume et la diversité des sources qu’il peut scanner qui seront le plus important
  • Google, Twitter Search, etc.), tandis qu’il faut souvent aller chercher dans des plateformes payantes pour obtenir une technologie de collecte, de tri et d’indexation efficac
  • Méthodes documentaires VS Méthodes d'investigation
  • la veille nécessite plus de méthodes issues des sciences de la documentation que la recherche d’informations.
  • En e-réputation, la veille est nécessaire pour surveiller des mots-clés précis, ou des sources (sites, communautés, comptes, etc.) actives sur les thématiques liées à l’organisation. De même, la veille permet de repérer des signaux qui seront les déclencheurs d’actions de communication (ou autre).
  • La recherche d’informations est quant à elle nécessaire dans un processus de veille : avant la mise en surveillance pour repérer les sources sur lesquelles veiller (sourcing), ensuite lors de l’analyse pour approfondir certains résultats, intégrer de nouvelles sources, etc.
  •  des veilleurs qui cherchent on en trouve, mais des veilleurs qui trouvent on en cherche
tangi bertin bertin

Management intergénérationnel et Spirale dynamique | Generation Y 2.0 - 1 views

  • L’évolution de l’Humanité peut-être décomposé en plusieurs « niveaux d’existence ». Chaque niveau d’existence repose sur une valeur profonde adoptée par l’Homme pour s’adapter aux conditions de vie qu’il rencontre.
  • La transition d’un niveau d’existence à un autre se fait généralement lorsque la solution devient le problème, lorsque ce qui était du confort devient de l’inconfort (le problème, c’est l’excès de la solution précédente !)
  • L’évolution des niveaux d’existence se produit par un effet de balancier qui se fait sur deux axes : l’un est « centré sur soi », l’autre est « centré sur le collectif ».
  • ...10 more annotations...
  • Le niveau Bleu :
  • Apparu il y a environ 6.000 ans, ce niveau d’existence repose sur une vision qui est que « le monde est contrôlé par une vérité ultime qui punit et éventuellement récompense ».
  • Le niveau Orange :
  • Apparu il y a environ 600 ans, ce niveau d’existence repose sur une perception du monde comme étant « un endroit plein de ressources et d’occasions de se créer une vie plus prospère ».
  • Conscient des limites des périodes Bleu et Orange, l’être humain accepte donc de nouveau de se  « centrer sur le collectif», mais il veut en revanche en avoir le bénéfice tout de suite et il pense le trouver sous la forme de relations harmonieuses pour soi au sein d’une communauté… (Deviens mon ami Facebook, consulte un psy, protège la planète !…)
  • Le niveau Vert :
  • Apparu il y a environ 90 ans, ce niveau d’existence est basé sur une vision du monde comme étant « un habitat commun de l’humanité ».
  • La pertinence et l’originalité de ce modèle multiculturel et multidimensionnel peut s’appliquer à  Une nation, une organisation : une entreprise, une personne.
  • La connaissance de ce modèle offre de nouvelles perspectives d’analyse : les comportements attribués à une génération ne seraient  pas exclusivement liés à l’appartenance à une classe d’âge mais à un système de valeurs sociétales qui évolue en fonction de nouvelles conditions de vie.
  • Aussi, ce qui semble porté par la génération Y peut constituer un apprentissage pour les plus anciens qui doivent apprendre à désapprendre ou relativiser les croyances et valeurs ancrées lors des niveaux d’existence bleu et orange.
tangi bertin bertin

Une étude met en avant le "syndrome du stress informatique" - LeMonde.fr - 0 views

  • "Les ordinateurs sont devenus tellement importants qu'ils sont devenus une épée à double tranchant",
  • Quand ils fonctionnent bien, (les ordinateurs) sont formidables. Mais quand quelque chose ne va pas, nous paniquons tout de suite – c'est ce que j'appelle le syndrome du stress informatique."
  • 64 % affirment que leur "ordinateur a déjà été source d'angoisse ou d'anxiété"
  • ...3 more annotations...
  • Les causes principale sont les ralentissements du système (51 %), la lenteur au démarrage (36 %), les infections par des virus (16 %), l'impossibilité de se connecter à Internet (15 %), ou un Wi Fi instable (14 %).
  • 64 % des personnes interrogées se passent de professionnels
  • Seules 15 % en appellent à leur hotline (Internet ou fabricant de leur ordinateur)
Julien Morice

Formation à distance et en classe. Augmentation claire des apprentissages : A... - 0 views

  • Dans « Hybrid’ courses show promise» on constate que oui. En fait, dans l’expérimentation où la formule hybride est utilisée, on constate une augmentation de 10 % à 14 % du niveau des résultats des élèves, c’est à dire l’équivalent d’une lettre dans le système standard de graduation. Les «C» deviennent des «B» et les «B» des «A».L’explication est assez simple : le temps libéré du professeur à transmettre du contenu est transféré en interventions personnalisées auprès des élèves en classe. Même si le professeur passe plus de temps à préparer ses cours, les premières fois, ceux-ci ne cessent de s’améliorer, avec de moins en moins d’efforts.Quant aux élèves, l’attention véritablement accordée au contenu est radicalement augmentée en fréquence et en qualité quand c’est eux qui font l’effort d’aller le chercher plutôt que de le recevoir passivement. Ils sont plus souvent dans une position de réceptivité, peuvent choisir le meilleur moment pour étudier, développent leur discipline et peuvent avancer à leur rythme.Le degré de participation, d’échanges et d’animation est aussi augmenté par rapport à ce qui est possible dans un amphi ou dans un grand groupe.
  • Bref, on constate beaucoup plus d’effets positifs que négatifs.
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    Blended Learning et efficacité
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