Skip to main content

Home/ Antic ressources/ Group items tagged représentation

Rss Feed Group items tagged

tangi bertin bertin

Le jardin des savoirs de Rennes Métropole | Association BUG - 1 views

  • Plusieurs définitions de l’e-portfolio sont possibles :
  • Un e-portfolio est une collection d’éléments de preuve authentique et diverse, tirés d’une plus grande archive représentant ce qu’une personne de l’organisation a appris au fil du temps sur lequel la personne ou l’organisation a réfléchi, et conçu pour présentation d’un ou plusieurs publics, un but particulier rhétorique (NLII 2003).
  • Un e-portfolio personnel est une représentation numérique multidimensionnelle (identité) d’une réflexion individuelle donnant accès à des services personnalisés, par exemple l’apprentissage et le développement, l’évaluation, l’emploi et la planification du développement personnel
  • ...1 more annotation...
  • Un e-portfolio est donc une représentation des éléments de parcours, des savoirs et des compétences d’une personne qu’elle décrit elle-même. L’e-portfolio peut servir d’aide personnalisée comme l’aide à l’élaboration d’un CV, la recherche de formation, le stockage de documents, etc…
  •  
    Un rendu visuel fort agréable
  •  
    ils recherchent des beta testeurs , tu as testé ?
  •  
    j'ai presque fini de faire mon compte :)
tangi bertin bertin

Formation à distance en entreprises en France : hybridation en développement ... - 0 views

  • On apprend que dans 50 % des entreprises ayant participé à l'étude, le e-learning représente moins de 5 % dans les dispositifs de formation
  • dans 30 % de l'échantillon total, il représente plus de 15 %
  • Nous sommes donc loin de la généralisation du e-learning. En revanche, 93 % de ces entreprises estiment que le e-learning est appelé à se développer
  • ...7 more annotations...
  • réduire les coûts de formation (63 %), permet de former plus vite (43 %), de former plus de gens et de réduire la durée des formations (40 % pour les deux).
  • Parmi les freins au e-learning, sont cités l'organisation du temps des formés (43 %), les difficultés techniques (40 %), le manque de motivation et la solitude de l'apprenant (30 %).
  • Le "blended learning" ou dispositif hybride de formation associant présence et distance
  • Le tutorat est aussi largement utilisé, et depuis plus longtemps que le "blended learning" en tant que tel. Il répond au besoin massif des apprenants (89 %) d'être guidés et accompagnés tout au long de leur parcours de formation
  • Tuteurs internes (58 %) et externes (63 %) se partagent les tâches
  • la formation en entreprise a un fort potentiel d'hybridation, et doit impérativement conserver une dimension humaine
  • La formation professionnelle continue sera hybride et sociale, semble t-il, et personne ne s'en plaindra.
Emilie Bouvrand

CFC : Vous utilisez des copies : Enseignement - Autres usages dont diffusion ... - 0 views

  •  
    " Autres utilisations de publications, dont numérisation Conditions et limites des accords conclus avec le ministère de l'Éducation nationale Dans le cadre de l'Accord, les enseignants des établissements sous tutelle du MEN et du MESR peuvent utiliser, sous d'autres formes que la photocopie (numérisation, mise en ligne sur intranet, conférences, représentations…) et pour les besoins de leur activité pédagogique ou de recherche, les œuvres (extraits de livres, de presse et de partitions de musique) pour lesquelles les éditeurs ont apporté leurs droits au CFC."
tangi bertin bertin

Embrasser la complexité « InternetActu.net - 1 views

  • Sous cette bannière se regroupe l’ensemble des phénomènes capables de s’organiser spontanément de manière très élaborée, sans intervention d’une intelligence extérieure.
  • Les 17e, 18e et 19e siècles, époque du triomphe de la mécanique newtonienne furent essentiellement consacrés à l’analyse de la simplicité. Les sciences et les mathématiques de l’époque se chargeaient de comprendre les choses prévisibles, constantes, comme les mouvements des objets sous l’influence des forces physiques.
  • Le 20e siècle s’est intéressé à la complexité désorganisée : le hasard, les statistiques…
  • ...18 more annotations...
  • Le 21e siècle, lui, se heurte à la complexité organisée. Celle justement qui se caractérise par la constitution des réseaux.
  • la théorie des réseaux, notamment l’idée des “petits mondes” qui montre comment un certain type de connectivité peut très facilement permettre une mise en relation globale de tous ces éléments (la fameuse notion des “six degrés de séparation”)
  • “Le cerveau est un réseau constitué de neurones reliés par des axones ; la cellule est un réseau de molécules reliées par des produits chimiques ; les sociétés humaines sont constituées d’individus reliés par des relations amicales, familiales, professionnelles ; les écosystèmes entiers sont des réseaux d’espèces connectées par diverses interactions comme la chaine alimentaire
  • la conviction qu’il existe un “Monde des Idées” donnant forme à l’ensemble des phénomènes
  • Cette croyance selon laquelle la productivité et l’isolement sont importants dans le travail ne remonte pourtant qu’à la révolution industrielle avec l’invention des lieux de production spécialisée, “quand nous sommes passés du moment où les gens étaient payés pour le produit qu’il fabriquait au temps passé à le fabriquer”. “Cette transformation a introduit le problème de l’attention au travail”, explique Stefana Broadbent. “C’est à partir de là qu’on a inventé des systèmes de contrôle de l’attention des gens, en transformant les environnements de travail, en introduisant des superviseurs, des agents de maîtrise chargés de contrôler le travail des autres.”
  • On a la même chose dans le système éducatif : on apprend aux enfants à se concentrer , ce sur quoi se concentrer, ce qui vaut la peine de se concentrer. Il y a beaucoup de discussions et de confusions sur la question de l’attention, estime la chercheuse. “La façon de gérer la complexité et l’attention s’appuie sur l’idée que les gens peuvent la gérer de façon individuelle, que c’est un processus individuel qui s’appuie sur la volonté de chacun. Or, j’aimerais vous montrer que l’attention est un processus social plus qu’individuel.”
  • A l’opposé, l’encyclopédie Wikipédia, ou encore le Couchsurfing (ce site par lequel des gens prêtent leurs canapés à des voyageurs du monde entier), montre à quel point les gens ont envie de partager, et besoin de s’entraider.
  • on ne surveille pas comment ils gèrent leur temps. Il y a une rupture sociale considérable dans la gestion de l’attention, liée à la confiance.
  • Le contrôle de l’attention des gens est pourtant voué à l’échec, même si beaucoup d’entreprises continuent à le faire
  • L’environnement de travail réduit le niveau d’implication des gens. L’automatisation implique des travaux de plus en plus dénués de sens avec des fonctions limitées. On demande à bien des employés de concentrer leur attention sur des tâches sans sens et répétitives et on sait qu’on a du mal à concentrer son attention quand on s’ennuie…
  • “on peut se demander si la division arbitraire entre le monde privé et professionnel est une si bonne chose. Chacun sait qu’il est important d’avoir des moments de contacts avec les siens dans la journée. Ce n’est pas un choix indivuel, mais bien souvent un choix social imposé par nos représentations
  • “La multiplication des caméras de surveillance et des politiques de surveillance augmente plutôt qu’elle ne diminue le problème. Or, les gens trouveront toujours une colonne pour se cacher et faire ce qui est interdit. Le problème n’est pas tant d’utiliser un dispositif électronique pour se distraire, mais de concevoir des environnements qui évitent un ennui massif et qui limitent les distractions. Les mobiles, comme l’internet, ou la nicotine peuvent être un bouc-émissaire facile. mais au final, le véritable défi est de savoir comment concevoir des environnements de travail plus chargé de sens
  • “la collaboration de masse va bouleverser l’organisation des gouvernements”. Aujourd’hui, il continue à tracer cette voie mêlant entraide mutuelle, socialisation et participation à la vie de la communauté.
  • Les supermarchés ne sont pas aussi sociaux que les marchés, et les écrans de télévision, les lotissements, les immeubles, ont souvent tendance à isoler les gens, à les anonymiser, à casser les mécanismes d’entraide, d’apprentissage et d’échanges d’antan.
  • Ceux qui ont un statut plus élevé s’attendent à recevoir l’attention des autres et ceux qui ont un statut plus bas doivent porter de l’attention. Mon expérience d’observation des gens sur leurs lieux de travail montre qu’on contrôle la gestion de l’attention des employés de bas niveau, alors qu’on fait confiance aux cadres et dirigeant
  • L’internet est un formidable vecteur de socialisation, estime Ivo Gormley, pour qui “nous avons besoin de nouveaux formats d’entraide mutuelle, et de faire revivre les anciens, nous devons remettre ça dans le courant mainstream” :
  • Lorsqu’un système donne aux gens la possibilité d’agir de manière positive, ils le font avec plaisir, s’y connectent sur la base de similitudes importantes, pas seulement pour faire le bien, mais aussi de manière très individualiste, parce qu’ils ont besoin d’aide, de trouver des gens dans la même situation.
  • Pour Ivo Gormley, si le 20e siècle semble avoir donné raison à Thomas Hobbes, les nouvelles formes de sociabilité et d’entraide mutuelle que l’on voit poindre, notamment via le Net, nous renvoient plutôt à Kropotkine. Et nous aurions probablement beaucoup à gagner à tenter de reconcevoir nos relations, et nos actions, afin de remettre l’entraide mutuelle au coeur des processus.
tangi bertin bertin

Community Manager, un métier social et sociétal ? - 0 views

  • Et pour marcher, ce mouton a besoin de non pas 4 pattes mais 5, chaque patte représentant les métiers du Community manager comme le précise Matthieu Chéreau dans son livre.
  • Le Marketing pour promotionner la marque-entreprise et ses produits.
  • Les Relations Publiques car votre communauté est vot
  • ...4 more annotations...
  • re public.
  • Replacez votre communauté au centre en maximisant sa satisfaction
  • le développement commercial fait partie des compétences d’un community manager
  • Ne négligez pas la communication Interne
tangi bertin bertin

La démocratie électronique est-elle une illusion ? - 0 views

  • Très tôt dans son développement, Internet fut identifié comme le signal d’une nouvelle jeunesse pour la démocratie.
  • L’idée selon laquelle Internet allait provoquer un épanouissement démocratique s’est exprimée de plusieurs manières : e-gouvernement puis gouvernement 2.0, administration électronique, cyber-activisme, « empowerement » des groupes de représentation d’intérêts, théories de l’espace public en ligne, etc.
  • Deux ans après l’arrivée de Barrack Obama au pouvoir, le sommet Gov 2.0 qui s’est déroulé à Washington au début du mois de septembre a été l’occasion pour un certain nombre d’observateurs de revenir sur cette première période du mandat présidentiel. Le constat posé par Ellen Miller en particulier est finalement peu flatteur : malgré les promesses et les réalisations effectives, le bilan est un peu maigre et la révolution attendue n’a pas vraiment eu lieu [3].
  • ...9 more annotations...
  • Wikileaks s’est fait connaître du grand public pour avoir d’abord diffusé une vidéo filmant le mitraillage par un hélicoptère américain de civils irakiens pris à tort pour des insurgés et qui se sont révélés être par la suite des journalistes de l’agence Reuters
  • Wikileaks porte le flambeau de la transparence politique et de la démocratie à l’échelle mondiale. Mais quelle est la portée réelle de son action ? La question a été peu abordée. La plupart des commentateurs, en France en tout cas, parce que ce sont des journalistes, se sont concentrés sur les questions d’ordre professionnel que cette initiative leur pose
  • Autrement dit, croire qu’une initiative comme Wikileaks peut à elle seule changer la situation politique est sans doute faire preuve d’une certaine naïveté : pour que les informations que diffuse Wikileaks diffuse sur Internet aient un impact politique, il faut qu’elle entrent en résonance avec le cadrage opéré par les médias, et qu’à l’intérieur de ce cadrage leur exploitation serve les intérêts de forces politiques réelles.
  • C’est le sens en tout cas de l’article récemment publié par Sylvain Firer-Blaess à propos de Wikipédia où il considère les règles dont les « wikipédiens » se sont dotés comme un modèle de démocratie électronique [8].
  • Ceux qui pourraient penser que ces formes nouvelles d’auto-organisation horizontales typiques du réseau n’ont pas la capacité d’en sortir pour trouver leur champ d’application dans l’environnement physique liront avec profit l’article que Gregory Asmolov a récemment publié sur le portailGlobal Voices [9].
  • Dominique Cardon appelle la « démocratie Internet
  • le chercheur pense au final qu’Internet est porteur d’une vertu émancipatrice pour le public.
  • Tout le public ? Certainement pas, affirme Cyrille Franck. En dénonçant une « nouvelle classe de dominants » [14] qui établit les bases de son pouvoir sur la maîtrise des réseaux sociaux et plus largement des technologies numériques, le blogueur revient opportunément sur la réalité d’une fracture numérique persistante qui ne se manifeste pas seulement sous la forme d’un défaut d’équipement, mais aussi et le plus souvent d’un défaut de maîtrise de ces technologies.
  • C’est finalement sur la question de la participation [15] que se situe un des enjeux importants de sa capacité à transformer à la fois le jeu politique et les rapports sociaux
1 - 10 of 10
Showing 20 items per page