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Emilie Bouvrand

Article d'Annie Jézegou - 0 views

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    "L'auteure de cet article propose un modèle de la présence en e-learning. Ce modèle comporte quelques similitudes avec le modèle de community of inquiry en e-learning (Garrison et Anderson, 2003) mais également des différences importantes. "
tangi bertin bertin

Veille et recherche d'informations : quelles différences ? - CaddE-Réputation - 0 views

  • La veille, qui consiste globalement à mettre en surveillance des sources afin d’obtenir des informations nécessaires à la prise de décision, est un processus dont l’appellation est devenue générique, englobant un ensemble d’autres processus parfois distincts. Même si complémentaire, la recherche d’informations ne nécessite pas les mêmes approches (méthodologies, outils, processus) que la veille. Nous allons ici voir les différences entre ces deux concepts/processus.
  • Il est de plus en plus courant de lire et d’entendre parler de méthodologies de veille, qui souvent font allusions au fameux cycle du renseignement, à savoir la définition des besoins, la collecte, l’analyse et la diffusion de l’information
  • Stockage/mémorisation VS Flux
  • ...22 more annotations...
  • l’un des objectifs d’une veille est la collecte (automatisée) d’informations
  • stocker de manière efficace les résultats afin de pouvoir ensuite s’y reporter en analyse, et/ou répondre à une question précise quelques temps après
  • Sources statiques VS Sources mouvantes
  • : dans une veille concurrentielle (par exemple) il est utile de repérer les sources intéressantes (sites des concurrents) pour les mettre en surveillance
  • le blog qui aura le lundi traité d’un sujet en rapport avec votre organisation ne sera peut-être pas le même que celui qui en parlera le mercredi
  • Chercher un signal dans les résultats VS Chercher des résultats à partir d'un signal
  • la veille permet donc de collecter et de stocker un certain volume d’informations. Sans revenir sur la définition même de la veille, l’objectif de cette collecte est de pouvoir ensuite rechercher des signaux pouvant bousculer la stratégie de l’organisation
  • A l’inverse, la recherche d’informations part souvent d’un signal précis (qui peut d’ailleurs être issu de la veille) et qui nécessite un approfondissement
  • Provoquer le questionnement VS Répondre à une question
  • lorsque l’on met en place un système de veille automatisée il est courant (et conseillé) de mettre en place un ensemble de filtres (sur les mots-clés, les sources, etc.)
  • Réduire avant d'analyser VS Analyser pour réduire
  • En recherche d’informations, au contraire, il faut tout d’abord analyser le résultat que l’on a trouvé (même rapidement) avant de le sélectionner pour une analyse plus poussée ou pour répondre à la question posée
  • Long terme VS  Court terme
  • Technologie de collecte et d'indexation VS Technologie de crawl/recherche
  • Pour la veille, il sera utile d’avoir un outil d’agrégation de flux RSS, qui permet d’affiner sa collecte (filtres), et qui surtout permet une indexation rapide et ergonomique (tags, filtres de recherches internes, etc.) des résultats
  • Pour la recherche d’informations, ce sera la capacité de recherche (de « crawl ») de l’outil, le volume et la diversité des sources qu’il peut scanner qui seront le plus important
  • Google, Twitter Search, etc.), tandis qu’il faut souvent aller chercher dans des plateformes payantes pour obtenir une technologie de collecte, de tri et d’indexation efficac
  • Méthodes documentaires VS Méthodes d'investigation
  • la veille nécessite plus de méthodes issues des sciences de la documentation que la recherche d’informations.
  • En e-réputation, la veille est nécessaire pour surveiller des mots-clés précis, ou des sources (sites, communautés, comptes, etc.) actives sur les thématiques liées à l’organisation. De même, la veille permet de repérer des signaux qui seront les déclencheurs d’actions de communication (ou autre).
  • La recherche d’informations est quant à elle nécessaire dans un processus de veille : avant la mise en surveillance pour repérer les sources sur lesquelles veiller (sourcing), ensuite lors de l’analyse pour approfondir certains résultats, intégrer de nouvelles sources, etc.
  •  des veilleurs qui cherchent on en trouve, mais des veilleurs qui trouvent on en cherche
Julien Morice

Pour la Science - Actualité - Fille-garçon : un cerveau différent - 0 views

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    Différence entre le cerveau féminin et masculin. L'éducation et la culture ne ferait pas tout....
tangi bertin bertin

Lawrence Lessig : De l'économie de la Culture | ReadWriteWeb France - 0 views

  • ’internet nous a rap­pelé que nous ne vivons pas dans une seule écono­mie, mais dans deux, au moins
  • L’une est l’économie «com­mer­ciale» tra­di­tion­nelle, une écono­mie régu­lée par une règle simple : tout tra­vail mérite salaire. L’autre écono­mie revet bien des déno­mi­na­tions, l’économie des ama­teurs (a), l’économie du par­tage (b), l’économie de la col­la­bo­ra­tion ©, l’économie non com­mer­ciale (d) ou l’économie de pair à pair (e).
  • Comment conti­nuer à faire appel à la main d’œuvre créa­tive de la seconde écono­mie, tout en tirant par­tie de la créa­tion de valeur propre à l’économie com­mer­ciale
  • ...3 more annotations...
  • «Ces tra­vaux sont pro­té­gés par une licence Creative Commons Attribution-Non com­mer­ciale. L’attribution signi­fie que vous devez mettre un lien en dur sur ce billet, par­tout où cela est pos­sible. Une licence com­mer­ciale est égale­ment dis­po­nible auprès de l’auteur»
  • La seconde écono­mie pense cela dif­fé­rem­ment : cer­tains usages devraient être libres, d’autres sou­mis à autorisation.
  • Certaines pro­duc­tions cultu­relles peuvent se faire de façon col­la­bo­ra­tive dans un mode iden­tique à celui adopté par le logi­ciel libre – Wikipedia. Mais prou­ver que cela s’applique à tous les conte­nus est autre­ment plus dif­fi­cile. Reste a prou­ver qu’il existe véri­ta­ble­ment une dif­fé­rence, mais il est impor­tant d’avoir cette discussion.
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    Différence entre libre et non libre, entre open source et libre, ....
tangi bertin bertin

Comment la course à l'attention renforce la société de l'ego » Médiaculture - 0 views

  • A l’époque préhistorique, la survie du groupe se joue sur des critères de force et de résistance physique individuell
  • Autre critère déterminant en termes de survie : la cohésion, la solidarité du groupe qui permet de lutter contre les animaux sauvage
  • Dernier facteur sélectif primordial pour la survie du groupe et qui, selon la théorie darwinienne, entraîne l’évolution de l’espèce humaine : l’intelligence. Celle-ci permettant l’élaboration d’armes pour se protéger,
  • ...19 more annotations...
  • De nos jours les risques liés à la survie immédiate ont disparu mais d’autres enjeux sont apparus, notamment la nécessité d’émerger au sein de la multitude.
  • D’où ce besoin de différenciation plus fort qui passe par la maîtrise de l’intelligence communicationnelle.
  • Nos modes de vie de plus en plus urbanisés, la centralisation des activités humaines liée à l’industrialisation a rapproché géographiquement les individus
  • Par ailleurs la société moderne accentue la standardisation des modes de vie qui se calque d’une part sur l’homogénéité des activités professionnelle
  • Société de consommation standardisée qui s’auto-alimente par les mécanismes de différenciation sociale comme l’ont bien montré Jean Baudrillard (“La société de consommation”) ou Pierre Bourdieu (“La distinction”).
  • Les bons mots échangés sur Facebook, les articles de blog comme celui-ci sont autant de moyens de faire connaître sa différence, sa singularité, sa valeur en tant qu’objet de consommation social et culturel.
  • Avoir une conversation en société, être “intéressant”, drôle, original est devenu un impératif social pour exister. Alors pour se faire, il faut alimenter la machine : on se tient de plus en plus au courant pour avoir des choses à raconter, on visite des expos, on va au ciné, on fait du bricolage, de la déco pour témoigner de sa créativité… En réalité la  motivation et la finalité sont très souvent sociales : il faut capter l’attention des autres, denrée de plus en plus rare.
  • Il faut toujours faire quelque chose : travailler, lire, regarder la TV, manger, dormir. La non-action, la contemplation est disqualifiée
  • Il faut rationaliser ses investissements affectifs, son temps de socialisation, ses marques d’attention à nos proches, nos amis, nos collègues. On entre ainsi dans un cercle vicieux : plus l’on s’active en vue d’une socialisation ultérieure, plus on raréfie l’attention globale disponible et donc moins l’on a de chance de se socialiser réellement.
  • Finalement les collègues sont les mieux lotis car ils bénéficient d’une attention “forcée”
  • Autant de nouvelles activités consommatrices de temps qui réduisent l’attention disponible aux autres. “Tu vas pas lâcher un peu ta console ?”, “Oh non ne m’appelle pas jeudi, c’est le jour de mon émission préférée”…
  • Les blogs, les réseaux sociaux, les plate-formes communautaires diverses (Flick’r, Youtube, WAT), les sites participatifs (Rue89, 20 minutes, Le Post)… Sans parler de l’ouverture des commentaires sur la plupart des sites d’information. Le robinet d’expression et d’égo est désormais ouvert
  • En entreprise le nouveau credo n’est plus tant le  “savoir faire” que le “faire savoir”. Les valeurs chrétiennes d’humilité ne sont plus opérantes de notre société en termes d’efficacité sociale.
  • D’ailleurs Internet s’il a échoué comme les autres technologies de l’information à démocratiser véritablement la culture et le savoir, est néanmoins un formidable propulseur de talents.
  • Enfin, cette course à la sociabilité, à l’attention génère une façade de sentiments et d’émotions fausses destinées à répondre à la demande supposée de la communauté.
  • - C’est la bonne humeur permanente, “la pêche” - C’est l’exagération des sentiments positifs “j’ai passé un suuuperrr week-end” - C’est la gentillesse mielleuse “vous êtes des amours, vous êtes vraiment formidables” - C’est l’humour, la dérision systématique, le LOL tellement plus tendance et jeune que le propos sérieux et rébarbatif.
  • Ceux qui n’ont pas été voir des films intelligents, des musées d’art modernes… qui héritent d’une conversation pauvre, sans valeur aux yeux de la classe moyenne/supérieure.
  • Ce sont les jeunes de banlieue qui se rassemblent au pied des immeubles, parlent leur langage, suivent un rituel d’appartenance bien précis. Qui les rassure et les enferme aussi
  • J’émerge donc je suis…
tangi bertin bertin

L'équilibre positif de la technologie - 0 views

  • est de proposer une théorie relative à la technologie, un cadre qui donne une logique et un contexte à ce défilé d’innovations
  • la technologie inclut des inventions anciennes, comme les montres ou les leviers, et du matériel qui fonctionne très bien, comme le béton et les briques
  • La grande majorité des technologies ont été inventées bien avant notre naissance
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  • A ces choses matérielles, il faut ajouter ce qui est intangible : le calendrier, les principes de la comptabilité, les lois, les logiciels. Mais aussi l’organisation sociale, les villes. La technologie, c’est tout cela.
  • la somme de ces technologies forme un tout qui interagit un peu à la manière d’un écosystème
  • Ce super système d’inventions interdépendantes, je l’appelle “technium”.
  • e la même manière qu’il n’y a rien de la ruche dans une seule abeille, le comportement du technium n’est pas visible dans un iPhone, un couteau ou un réfrigérateur. C’est dans le système dans son ensemble que l’on peut ressentir la vraie influence de la technologie.
  • Et, aussi surprenant que cela puisse paraître, le technium suit les mêmes modèles que ceux que Darwin a identifiés pour la vie : à savoir “l’évolution”
  • Chaque nouvelle invention apporte autant de solutions qu’elle créé de problèmes. [...] De là on pourrait conclure que le technium est neutre
  • Quand nous avons inventé un nouvel outil, mettons le marteau, nous avons en même temps créé un nouveau choix : s’en servir pour détruire, ou pour créer, pour tuer quelqu’un, ou pour construire une maison. Cette décision était une option, une chance, une possibilité, que nous n’avions pas avant que cette invention n’existe.
  • Cette dose supplémentaire de libre arbitre [...] est bonne en elle-même [...]. Avoir le choix est en soi une bonne chose. Et cela fait pencher l’équilibre de la technologie du côté du bien, d’un degré. Mais ce degré est tout ce dont nous avons besoin [...].
  • quand nous créons une nouvelle technologie, il y a accroissement des choix, des possibilités et des différences
  • Mozart avait besoin des technologies du piano et du clavecin pour découvrir et développer son génie musical. Imaginez si Mozart était né 2 000 ans avant l’invention du piano et de la symphonie
  • Quand nous créons des technologies, nous participons en fait à quelque chose qui nous dépass
  • Nous déployons les mêmes forces que celles qui font la vie, nous accélérons l’évolution vers l’avenir et nous augmentons les possibilités pour nous, nos enfants, et le monde en général. C’est “ce que veut la technologie”.
  • l s’agit de la notion de libre accès à la technologie. En effet, l’inventeur du piano aurait interdit l’utilisation du piano, Mozart aurait été obligé de se mettre à la peinture.
  • La technologie en soi ne veut rien dire. C’est la capacité de la technologie à se diffuser dans les usages populaires qui est fondamentale.
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    Vision optimiste des technologies centrée sur la notion de technium, sorte d'écosystème des technologies qui est également sujet à la loi de l'évolution de Darwin. Quand on cré des technologie on augmente nos possibilités. "Mozart ne serait pas Mozart sans l'invention du piano...".
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