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tangi bertin bertin

Analyse des recherches sur les TICE - 1 views

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    6) Conclusions a) Quel est l'impact de l'usage des TICE au collégial ? Si l'on adopte exclusivement le critère de la hausse des taux de réussite, la recherche fondée sur des données quantitatives, effectuée dans les 7 dernières années, n'a pas établi un lien de causalité entre TICE et hausse des notes au bulletin. b) Les chercheurs en pédagogie s'entendent généralement pour dire que ce sont les stratégies pédagogiques qui devraient retenir l'attention quand il est question de l'usage des TICE. Le véritable problème consiste à déterminer quelles sont les conditions d'une intégration réussie des nouvelles technologies, le concept de réussite comportant plusieurs dimensions. c) La réflexion sur les nouvelles méthodes d'inspiration socioconstructiviste ou d'apprentissage actif et collaboratif (active learning) semblent produire des résultats spectaculaires sur la réussite et la motivation, et, pour cette raison, elles méritent de faire l'objet d'une large débat dans la communauté collégiale. d) Il faut éviter, en ce qui concerne les enseignants déjà acquis à l'usage des TICE et fort enthousiastes, qu'ils deviennent technocentristes, c'est-à dire « des personnes qui peuvent difficilement s'empêcher de conclure que les TIC sont le " remède " à la majorité des maux que connaît l'école de nos jours » (Viau 2005, p. 3). e) Compte tenu de l'environnement numérique dans lequel les élèves évoluent, la problématique de l'usage pertinent des TICE devra sans cesse faire l'objet de recherches, de discussions, de réflexions et les expériences novatrices devraient être soutenues par le collège. Le constat du CEFRIO doit interpeller la communauté collégiale : « Les TIC sont omniprésentes dans la vie des élèves et des étudiants du Québec : ceux-ci s'en servent continuellement pour se divertir, pour communiquer avec leurs amis ou pour faire leurs devoirs. En fait, les T
Emilie Bouvrand

NetPublic » Utiliser Twitter pour communiquer, échanger, en pédagogie… (dossi... - 0 views

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    Un dossier complet.
tangi bertin bertin

Thot Cursus - 1 views

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    La vieillesse, on n'y échappe pas : on s'en approche tout au long de notre vie. Nous sommes donc tous de futurs utilisateurs "seniors" d'Internet. Même s'ils ne sont pas nés avec la souris à la main, la capacité d'adaptation des personne du troisième âge qui utilisent internet devrait nous rassurer; nous ne cessons jamais d'apprendre. Et ils occupent une place grandissante sur Internet. Chose certaine, les seniors qui on découvert le web ne s'en passent plus. Avec raison : communiquer avec ses proches éloignés, jouer et socialiser en ligne, trouver des réponses à ses questions, gérer son compte bancaire… Pour les mêmes raisons que tout le monde finalement.
Emilie Bouvrand

Facebook : pour communiquer avec les étudiants, une piste de solution | Blogu... - 0 views

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    Qu'en pensez-vous?
gruet isabelle

Communiquer avec les familles pendant une classe transplantée avec un blog - 0 views

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    usage d'un blog d'une école de Maurepas (Rennes)
tangi bertin bertin

Les vraies ruptures d'Internet, par Serge Soudoplatoff - Fabrique de sens - 0 views

  • Quand on partage un bien matériel il se divise, je prends une pizza je la divise en quatre chacun a un quart de pizza. Quand on partage un bien immatériel, il se multiplie.
  • Pour moi la plus belle analogie à Internet, c’est l’invention de l’alphabet
  • Mettez-vous à -2000, -1500 quelqu’un arrive et vient vous expliquer qu’il faut arrêter de dessiner un arbre et qu’il faut passer par une horrible abstraction, qui est un ensemble de symboles : A R B R E ou l’équivalent de l’époque. Est-ce que vous vous imaginez la résistance au changement ?
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  • Socrate qui en rajoute une couche : « L’écrit ne véhicule pas la connaissance mais l’illusion de la connaissance »
  • Internet, pour comprendre sa naissance, c’est plutôt ce que l’on appelle l’innovation par percolation
  • C’est-à-dire que des gens font des papiers, inventent des choses, puis dans un autre coin d’autres personnes sont quelque part un peu sur les mêmes idées, inventent aussi d’autres choses et puis un jour ces gens se rencontrent et disent : tiens, c’est amusant, on est sur les mêmes idées
  • 1961, un papier extrêmement théorique d’un étudiant du MIT, Kleinrock, qui dit : si je veux que deux ordinateurs communiquent entre eux, quel protocole dois-je utiliser ?
  • Vous voyez, déjà, on abandonne l’idée d’une certaine forme de centralisation et déjà on passe tout de suite par une descente de l’intelligence dans le conducteur du camion
  • 1962, un autre article du MIT, celui-ci très sociologique, d’une espèce de galaxie interconnectée où les gens s’échangeraient des documents, des informations etc
  • 1964, un autre étudiant qui fait sa thèse sur justement la construction d’un réseau, qui serait maillé, qui ne serait pas du tout centralisé et qui montre qu’un réseau maillé est beaucoup plus résistant à une attaque qu’une autre forme de réseau
  • « Nous rejetons les rois, les présidents et le vote, nous croyons au consensus grossier et aux bouts de codes qui marchent »
  • le troisième niveau : tout le monde sait que les autres savent
  • Il ne faut pas s’étonner si aujourd’hui il y a des gens qui écrivent dans Wikipédia entre 10h du soir et 2h du matin, ce sont des passionnés en réseau.
  • premièrement Al Gore, vice-président des États-Unis fait son « Livre blanc », dans lequel il dit : nous allons interconnecter les écoles, les hôpitaux, les administrations
  • Tim Berners-Lee à Genève invente le web. Et le web prend tellement d’importance qu’aujourd’hui tout le monde confond Internet le web
  • Le web n’est qu’une partie d’Internet. Quand on fait du Skype, on ne fait pas du web. Mais pourtant aujourd’hui, c’est tellement important que tout le monde confond Internet et le web
  • Donc, on peut se poser la question, finalement un mode de gouvernance en réseau, sans chef, avec des passionnés qui s’échangent entre eux, a réussi à interconnecter un quart de la population en moins de 20 ans, je pense que le résultat mérite que l’on s’y arrête quelque peu.
  • Internet, il n’y a pas de chef. Internet, il faut comprendre que c’est des conglomérats de passionnés en réseau qui finalement font ça, je ne vais pas dire pour la beauté du geste, mais par passion
  • Premier thème, la valeur est dans le réseau aujourd’hui
  • Il y a trois niveaux de connaissance, quand on fait de l’informatique théorique. Premier niveau, la connaissance individuelle, je sais. Quelqu’un sait, un ingénieur savait qu’il y avait un problème.
  • Le deuxième niveau, c’est la connaissance collective, tout le monde sait, et ça, c’est la grande force des médias, la presse, la radio, la télévision, de monter du niveau 1 au niveau 2
  • Moi, ce que je dis c’est qu’Internet n’a rien inventé. En revanche, Internet a permis à des formes sociales qui préexistaient de se développer.
  • dans le domaine économique
  • Deuxième domaine
  • « Le mendiant et le restaurateur ». Le mendiant arrive prêt d’un restaurant, ça sent bon mais il n’a pas d’argent, il ne peut pas rentrer. Le restaurateur est furieux, commence à vouloir jeter le mendiant et lui demande de payer. L’affaire va devant le juge. Le mendiant dit : monsieur le juge, je n’ai pas mangé, donc je n’ai pas à payer. Le restaurateur dit : il n’a pas mangé mais il a humé, or l’odeur comme la saveur est le résultat de mon expertise, donc il doit payer.
  • . La chute, vous la connaissez peut-être, elle est magnifique : le juge écoute les parties, se tourne vers le mendiant et lui dit : as-tu pièce de monnaie ? Le mendiant dit : j’ai perdu, j’en ai une. Donne-là moi, dit le juge. Il prend la pièce de monnaie, se tourne vers le restaurateur, fait tinter la pièce, ding-ding-ding, tu as entendu, tu es payé. Il rend la pièce de monnaie au mendiant. Quelque part, je me dis qu’il a fait l’équivalent d’un fichier MP3, il a mis de la valeur dans un son.
  • Je vous annonce qu’il existe une entreprise américaine qui donne son cœur de métier et qui ne se rémunère qu’à la marge, sur des produits annexes. Si je vous dis que cette entreprise fait 21 milliards de dollars de chiffre d’affaires et 6 milliards de dollars de marges, vous aurez compris qu’il s’agit de Google. Si demain Google fait payer son cœur de métier, Google disparaît. Donc, vous voyez, on est dans des modèles économiques qui sont très innovants.
  • Aujourd’hui, Internet c’est la valeur d’usage qui fait le prix.
  • Et troisième forme, qui est très intéressante, c’est ce que j’appelle le co-design, le client, le citoyen, le consommateur ne veut plus consommer bêtement les produits et les services et veut de plus en plus faire partie de la conception de ces produits et de ces services
  • Finalement, un modèle où les clients sont en réseau, les frontières de l’entreprise sont poreuses et où l’entreprise reste sous une forme verticale, ce n’est pas un modèle soutenable. Et ce qui se passe dans le monde de l’entreprise et vrai aussi dans le monde de la politique, est vrai dans tout un tas d’autres modèles.
  • Donc, finalement, qu’est-ce que c’est qu’Internet ? D’abord, ce n’est pas la télévision, c’est un réseau, c’est une communauté
  • Avec Internet, nous retrouvons la place du marché du villag
  • Avec Internet, nous retrouvons les phénomènes tribaux, la tribu devient quelque chose d’important, la marque devient quelque chose d’important sauf que jusqu’à présent nous n’avions pas la technologie qui nous permettait finalement d’échanger et d’avoir cette espèce de gigantesque réseau qui unit un peu tous les individus
  • Donc, finalement le RER ne sert pas du tout à raccourcir le temps de trajet, le RER sert à agrandir la ville
  • En revanche, ce qui a énormément changé depuis le Moyen-âge, c’est que la quantité d’interactions, pendant cette 1h30, a explosé. Nous avons des textos, nous regardons nos E-Mails, nous avons des télévisons, nous voyons plein de choses.
tangi bertin bertin

les tic dans la vie Blogue du RECIT - Article complet: Documentaire sur les TIC - 0 views

  • technologies et de leurs effets dans notre société
  • Les TIC peuvent distraire de la tâche.
  • Le cerveau travaille plus fort lors d'une recherche sur le Web que lors de la lecture d'un livre.
  • ...10 more annotations...
  • Donc, comme les autres dépendances potentielles, l'école doit agir pour tenter de les prévenir.
  • Communiquer avec ses proches
  • Les TIC ne sont pas LA seule source au problème.
  • «Netiquette» Comme pour toutes les technologies, l'utilisation responsable des TIC doit être une autre cible. Mais ça ne tombera pas du ciel, ça doit être appris, expliqué, régulé, alouette...
  • TIC = oxygène pour les jeunes
  • Selon moi, dépasser les limites pour éduquer aux limites est une mauvaise stratégie
  • Le jeu augmente l'engagement des élèves dans la tâche.
  • Les TIC (la technologie) ne sont pas bonnes ou mauvaises. Elles sont puissantes.
  • Et comme pour tout outil puissant, ça prend des humains préparés/formés pour les utiliser adéquatement. L'école doit absolument prendre sa place dans cette formation, car sinon ce sont des ti-zamis qui s'en occuperont.
  • Une des bonnes fonctions des TIC est de pouvoir les éteindre.
tangi bertin bertin

Le Web interpersonnel : l'Internet de demain ? - 0 views

  • oile en temps réel » qui transformera la façon dont collaborent les employés, la façon dont les entreprises communiquent avec leurs clients et qui redéfinira complètement les réseaux sociaux.
  • C'est le concept du « Web interpersonnel ».
  • La prochaine ère d’Internet se caractérisera donc par la conjugaison de ces deux tendances : la prédominance des connexions en temps réel (« le Web synaptique ») et l’importance de la personnalisation (« l’informatique contextuelle »). Pour Mickaël Rémond, l'heure du « Web interpersonnel » est venue
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