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"Selon le ministère de l'Industrie et du Commerce, cette année, les importations chinoises de produits agricoles devraient franchir la barre des 110 milliards de dollars. Il s'agit d'une bonne occasion pour les exportateurs du Vietnam. Ces dernières années, la demande chinoise de ces produits n'a cessé de croître en vue de répondre à ses forts besoins domestiques ainsi qu'à l'exportation."

"Le ministre de la Pêche et de l'Aquaculture, M. Sid-Ahmed Ferroukhi, a souligné la nécessité de faire évoluer les ports de pêche et de plaisance, d'améliorer les infrastructures, de diversifier les services et de développer les filières pour avoir des produits de qualité. Les ports de pêche de la wilaya d'Alger, vétustes, doivent être rénovés et réaménagés pour étendre leurs activités à la plaisance et au commerce des produits de la mer. Ouverte en 1939, la poissonnerie du port d'Alger fera, elle aussi, l'objet d'une opération de réhabilitation et de modernisation. Lors de sa visite dans la wilaya de Mostaganem, M. Ferroukhi a insisté sur l'accompagnement technique de la pêche traditionnelle dans les zones côtières éloignées, pour contribuer à la pérennité de cette activité créatrice de richesses. Le soutien à la pêche traditionnelle permet d'améliorer les conditions socioprofessionnelles des pêcheurs en vue de les stabiliser dans leurs régions et de créer la richesse et l'emploi. Le ministère a lancé, depuis un an, un programme stratégique de développement de la pêche traditionnelle en adoptant des mesures législatives et règlementaires, en favorisant la formation et en veillant à l'aménagement des sites d'embarquement et à la valorisation des moyens de production et de vente."

"Un accord de partenariat public-privé signé par le FIDA et Unilever vise à favoriser un commerce alimentaire viable et à améliorer les conditions de vie des petits agriculteurs."

"Une crise des prix alimentaires, les débats sur les agrocarburants ou sur les « accaparements de terres », un duel à fleurets mouchetés avec Pascal Lamy, directeur général de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) jusqu'en 2013 : les six années qu'a passées le juriste belge Olivier De Schutter au poste de rapporteur spécial des Nations unies pour le droit à l'alimentation ont été bien remplies. Alors que son mandat arrive à échéance mercredi 30 avril et que la Turque Hilal Elver devrait lui succéder d'ici quelques semaines, il affirme que le modèle agro-industriel est dépassé et que la solution aux défis alimentaires actuels ne viendra pas des Etats mais des citoyens."

Dans le cadre de l'Année internationale de l'agriculture familiale, le Gret publie un guide sur Comment améliorer l'accès au marché pour les exploitations familiales en Afrique ? L'occasion de partager ses expériences et d'évaluer les enjeux que représente le développement des filières agricoles locales : amélioration de la sécurité alimentaire, création d'emplois et de revenus, approvisionnement des villes en produits de qualité, développement du commerce intra-régional.

"La Foire du commerce équitable et les Rencontres du film documentaire de l'océan Indien s'inscrivent dans le programme triennal multisectoriel de coopération décentralisée 2013-2015 porté par les Régions Haute-Normandie, Basse-Normandie, Rhône-Alpes et Atsinanana et soutenu financièrement par le Ministère français des affaires étrangères et du développement international."

Le 21 août dernier à Obala (Cameroun), le COLEACP et le Conseil interprofessionnel du cacao et du café (CICC) ont célébré leurs 14 mois de collaboration à l'occasion d'une cérémonie. Des formations de formateurs associées à des actions d'assistance technique ont permis sur la période de mettre en place une structure de formation pérenne, en mesure de renforcer les capacités des nombreux petits producteurs actifs dans la filière cacao. Au cours de la cérémonie, les résultats de cette action conjointe ont été salués par Michel Schleifer, représentant la délégation de l'Union européenne au Cameroun, ainsi que par divers représentants des secteurs privé et public, notamment du ministère du Commerce, du ministère de l'Agriculture et de l'Office national du cacao et du café (ONCC).

La FAO a publié un nouveau document technique sur les pratiques actuelles et les problèmes émergents en matière de sécurité et de qualité des produits de la mer, notamment le cadre réglementaire changeant au niveau international, dans le contexte de l'Organisation mondiale du commerce, de la Commission du Codex Alimentarius, du Code de conduite pour une pêche responsable de la FAO, et de l'Organisation mondiale de la santé animale.

"L'Union européenne à lancé un signal fort quant à sa volonté d'appuyer Madagascar par le biais du 11è FED (Fonds Européen pour le Développement) dès le retour à l'ordre constitutionnel. Madagascar fait partie des 34 pays dans le monde où existe un très important problème de nutrition des enfants. Cependant, la résolution apportée par la 11ème FED fera de l'agriculture, l'élevage et la pêche des secteurs focaux. En effet, ce 11ème FED traitera les aspects suivants: l'agriculture durable, la malnutrition, la croissance agricole incluse et la résilience des populations vulnérables. D'ailleurs, 3 experts de l'UE étaient en mission à Madagascar du 03 au 13 avril 2014 pour l'assister à la formulation de son Programme Indicateur Régional (PIR) du 11ème FED au niveau de la COI. De même, un groupe de consultants travaillant dans le domaine de la nutrition et la sécurité alimentaire a également effectué une mission à Madagascar du 14 au 17 avril 2014 pour définir les projets susceptibles d'être mis en œuvre dans ce domaine dans le cadre de la prévision de la programmation du 11ème FED au niveau de la SADC. D'où la liste des actions et projets prioritaires suivante (i) l'aide au développement du commerce dans la COI afin de rendre Madagascar comme grenier régional pour approvisionner les îles voisines de l'Indianocéanie en divers produits Agricoles ; (ii) le financement dans les infrastructures en vue de développer voire diversifier les exportations des produits Agricoles vers le marché tripartite COMESA & SADC & CEA et de l'Union Européenne ; (iii)le financement des projets prioritaires interrégionaux dont les actions visent à poursuivre et à renforcer la mise en conformité aux normes sanitaires internationales des entreprises agroalimentaires. En termes de financement, le commissaire au Développement de l'UE, Andris Pielbalgs, a annoncé que l'aide au développement de l'UE à la région

Les ministres africains de l'Agriculture veulent une révision radicale des stratégies agricoles - Les ministres africains de l'Agriculture ont lancé vendredi un appel continental pour une révision des politiques d'agriculture afin de lutter de manière effective contre la faim. « Le principal collaborateur à la production alimentaire sera l'agriculteur africain. Les dirigeants africains devront être attentifs en ce qui concerne leurs politiques locales », a déclaré Ibrahim Mayaki, le directeur général du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD). La réunion ministérielle a plaidé pour la révision des stratégies conduisant vers la croissance verte, a cherché de nouvelles réflexions vers une industrie poussée par le secteur agricole. Les ministres de l'Agriculture et du Commerce se sont rencontrés vendredi pour préparer une feuille de route pour le sommet de l'Union africaine (UA) qui doit se tenir le mois prochain à Malabo, en Guinée Equatoriale.

""La coopération régionale est un axe fort du mandat du Président de la Région Réunion. La crise économique en Europe, en France Métropolitaine, dans les pays développés, connaît des répercussions sur notre département, même si notre dynamisme économique local permet de stabiliser le nombre de chômeurs. Or, nos pays voisins, dits en « voie de développement » n'ont jamais aussi bien porté ce qualificatif. Avec un taux de croissance soutenu depuis de nombreuses années à 7-8 %, les prévisions pour les toutes prochaines années font état d'un taux de croissance à 2 chiffres. Cette convergence internationale entre nos pays voisins (dont l'Afrique de l'Est) et La Réunion doit nous faire passer de la position de spectateur à celle d'acteur. Notre marché domestique, fonds de commerce de nos entreprises et industriels locaux, ne sera pas suffisant à notre développement endogène. C'est pourquoi il nous faut changer de modèle. "

"Dans le cadre du partenariat entre l'ADEA, l'UIL et Ministère des Affaires étrangères, du Commerce et du Développement du Canada (MAECD), un réseau des jeunes vulnérables a été lancé en Afrique pour renforcer l'intégration socio-économique de ces jeunes et leur autonomie. Ce réseau tente une meilleure prise en compte des besoins de ce groupe cible en alphabétisation, compétences de vie et habiletés techniques de base. Le réseau est basé au GTENF où une cellule de coordination a été spécialement montée pour assurer la coordination et un suivi efficace du programme. Après quelques mois de travail, un rapport d'étape a été produit. Les avancées jusqu'à présent sont les suivantes : Une plateforme a été créée et rendue fonctionnelle sur le site http://zankey.sulga.net. Des discussions en ligne y sont prévues et un espace de discussions a été créé à cet effet. Des bonnes pratiques ont été également identifiées, grâce notamment au concours de l'UIL, et celles-ci sont communiquées aux membres des associations et structures membres du réseau. Par ailleurs, des notes thématiques sur les politiques et les bonnes pratiques sont développées pour aider les responsables des programmes sur les jeunes à mieux circonscrire les défis auxquels ceux-ci sont confrontés au quotidien. Enfin, le GTENF a revisité les plans d'action en faveur des jeunes vulnérables qui ont pu être réalisés par un certain nombre de pays et le GT s'est engagé à aider les pays qui n'en ont pas, à concevoir leurs plans. "

La Banque africaine de développement, le Forum pour la recherche agricole en Afrique (FARA), l'Institut international d'agriculture tropicale (IITA) et l'Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) mettent leurs efforts en commun pour lutter contre la hausse du chômage des jeunes en Afrique par le biais de l'incubation des entreprises agroalimentaires. L'initiative conjointe coordonnée par la Banque africaine de développement sous le thème "Équiper les jeunes pour l'emploi" a tenu, une réunion de consultation des parties prenantes du 28 au 29 avril 2015 à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Le programme avait pour objectif d'offrir des possibilités d'engager les jeunes dans les entreprises agroalimentaires, de renforcer les mécanismes de financement et les possibilités d'établissement d'un réseau de contacts professionnels en vue de l'intégration des jeunes dans les entreprises agroalimentaires et dans le commerce le long de la chaîne de valeur agricole. Au cours de l'atelier, M. A. Abou-Sabaa, Vice-président de la Banque africaine de développement (BAD) et M. C. Ojukwu, Directeur du département de l'agriculture et de l'agro-industrie de la BAD ont souligné la volonté de la Banque d'appuyer une participation du secteur privé à l'agro-industrie et fait part de leur intérêt à étudier toutes les possibilités offertes de création d'emplois pour les jeunes en collaboration avec les partenaires au développement au niveau national, régional et international.

Dans une interview pour notre rédaction, Pascal Lamy, ancien commissaire européen et ancien directeur général de l'Organisation mondiale du commerce, plaide pour un Erasmus pro. Un dispositif qui doit venir compléter les programmes existants et permettre de lutter contre le chômage des jeunes en Europe.

"L'agriculture est l'un des principaux moteurs des économies africaines. Le secteur compte aujourd'hui sur une main-d'œuvre relativement jeune et d'abondantes ressources naturelles. Mais aussi sur une innovation technologique en plein essor. De ce fait, on constate que dans plusieurs pays d'Afrique l'étape de l'Internet par ligne terrestre a été brûlée, et que l'on accède principalement à Internet grâce aux smartphones et tablettes. Si ce bond en avant a été possible, cela signifie que la région a le potentiel pour continuer à faire d'autres progrès technologiques, notamment en ce qui concerne la révolution des données, la mécanisation, l'agriculture de précision, l'irrigation, l'énergie solaire et nombre d'autres domaines de plus en plus accessibles aux petits exploitants agricoles, commerçants et autres acteurs clés de la chaîne de valeur agricole. Les entrepreneurs africains sont ainsi à l'avant-garde de nouveaux développements qui révolutionneront la production agricole et le commerce sur le continent. C'est dans cet esprit que le CTA se réjouit de s'allier au Forum mondial pour l'innovation dans l'agriculture (GFIA) pour sa toute première édition en Afrique. Celle-ci aura lieu les 1er et 2 décembre 2015 à Durban, en Afrique du Sud. "

"Un Forum de concertation pour le développement de la coopération Sud-Sud dans l'agroalimentaire s'est tenu le 9 janvier à Hô Chi Minh-Ville, dans le cadre de l'expansion du commerce interrégional entre les pays membres de la CEMAC, de l'UEMOA et les trois pays francophones du Mékong (Cambodge, Laos et Vietnam)."

Le savoir et les compétences sont les moteurs principaux de l'économie du savoir. Ils huilent les rouages de l'industrie et du commerce. Chaque jour, de nouvelles façons de faire, de nouvelles technologies et de nouveaux produits arrivent sur le marché mondial. L'interaction dynamique entre le savoir et les compétences techniques et l'économie de marché est au coeur de cette évolution permanente.

"Ouvrir une nouvelle séquence économique avec l'Afrique sub-saharienne : Nicole Bricq, ministre du commerce extérieur, a ouvert les rencontres Ubifrance « Madagascar : un potentiel à « re » découvrir » le 21 mars 2014 en présence de Hery Rajaonarimampianina président de la République de Madagascar."

"Evaluer les performances réalisées en 2013 dans les secteurs de l'agriculture, du commerce, de l'industrie, des mines et de l'artisanat. Telle est la mission confiée aux experts de l'administration qui, depuis lundi examinent 5 rapports intermédiaires correspondants aux grands axes de la Stratégie de croissance accélérée et de promotion de l'emploi (SCAPE). Les rapports provisoires constituent des éléments d'analyse pour l'élaboration du document final, a expliqué Essohanam Edjeou, le directeur de Cabinet du ministre de la Planification. Pour que la SCAPE soit un succès, les autorités doivent suivre les progrès, identifier les éventuels blocages et les difficultés et tenter de les corriger. C'est la seule façon d'avancer. C'est aussi une exigence vis à vis de nos partenaires."

L'objectif de cet appel à propositions est de faire progresser l'entrepreneuriat agricole et les innovations TIC des jeunes afin de développer des chaînes de valeur agro-alimentaires résilientes. Il répond au besoin stratégique de renforcer la participation des jeunes dans l'agriculture. Il vise à encourager le renforcement des capacités et l'entrepreneuriat des jeunes dans les TIC et favoriser les opportunités d'emploi pour les jeunes. L'appel à propositions tire avantage de différentes activités mises en œuvre par le CTA dans les domaines de commerce agricole, du développement de la chaîne de valeur, des TIC et des jeunes dans l'agriculture (notamment dans le cadre du projet Agriculture, développement rural et jeunesse dans la société de l'information [projet ARDYIS]).