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"En 2013, le CIDR s'est lancé dans la formulation d'une méthodologie de mesure de l'impact des petites entreprises agroalimentaires (ESOP) sur les producteurs agricoles. Une Charte de responsabilité sociale et environnementale des entreprises ESOP a été définie et mise en place. Les actions menées sur le thème inclusion financière à Madagascar, en Ethiopie et en Tanzanie ont permis à des populations exclues jusqu'alors, en raison de leur grande pauvreté et vulnérabilité, de leur enclavement géographique, de la nature de leur activité (petits producteurs agricoles) ou de leur genre, d'accéder à des services financiers formels et de qualité."

"(04 septembre 2014) - Huit organisations partenaires, dont l'AEIDL, viennent de se voir octroyer un financement ERASMUS+ de 446 285 euros pour mettre en œuvre le projet SIRCle. Le projet SIRCle (Sustainable Innovation for Resilient Communities / Innovation durable pour communautés résilientes) s'appuie sur l'éducation des adultes pour traiter l'un des enjeux les plus urgents de notre époque, à savoir comment répondre efficacement au changement climatique et social de façon à assurer un mode de vie durable dans un environnement économique difficile. Les participants aux formations organisées acquerront les compétences nécessaires pour créer et gérer une entreprise sociale ou commerciale qui puisse contribuer au développement durable de son territoire. Ces entreprises participeront ainsi à une économie nouvelle, fondée sur la création et la distribution des biens et services à même d'assurer un avenir durable et résilient."

Le projet HOMERe (High Opportunity for Mediterranean Executives Recruitment), un programme régional de stages transnationaux en Méditerranée par l'UpM, sera présenté pour la première fois aux acteurs économiques et académiques des deux rives de la Méditerranée lors de son lancement officiel, le 17 mars 2015, à Marseille. Le projet offre un programme de stages transnationaux en entreprise pour accéder entre neuf pays, l'Algérie, l'Egypte, l'Espagne, la France, la Grèce, l'Italie, le Liban, le Maroc et la Tunisie, qui vise à améliorer les compétences des jeunes diplômés et leurs perspectives d'employabilité au retour. Toute entreprise souhaitant prendre part au programme peut ainsi bénéficier du soutien opérationnel d'HOMERe pour identifier localement les profils d'étudiants les plus adaptés à ses besoins afin de les former dans le cadre d'un stage international de fin d'études et de les recruter ensuite dans leur pays d'origine.

"Expert international_compétitivité des entreprises par la formation professionnelle"

"1. Le projet vise à améliorer la compétitivité des entreprises du secteur formel et informel en adaptant l'offre de formation professionnelle à leurs besoins de compétences. Cette amélioration de l'offre de formation professionnelle vise également à diminuer le chômage des jeunes. Les objectifs spécifiques du projet sont : (i) diversifier l'offre de formation dans les deux régions visées, (ii) améliorer la qualité de l'offre de formation par l'implication des professionnels, (iii) contribuer en régions à l'amélioration des services d'aide à l'emploi, (iv) faciliter la formation et l'insertion professionnelle des jeunes déplacés des régions Nord en raison du conflit. 2. Le projet interviendra dans les régions de Ségou (Centre de Formation Professionnelle à Markala) et de Sikasso (Centre de Formation Professionnelle à Sikasso), compte-tenu de leurs potentiels de développement agro-sylvo-pastoral et des possibilités de développement pour le tissu des PME-PMI et donc l'emploi des jeunes. Une composante de formation rapide permettra de mobiliser des centres de formation existants en région de Ségou, Sikasso, Mopti et Bamako."

"Le développement économique des pays du Nord et celui des pays du Sud est inextricablement lié. Les entreprises comme les ONG s'engagent à l'international, mais elles le font rarement ensemble, alors que les potentialités sont nombreuses, au bénéfice des unes comme des autres. A l'occasion des 5èmes Assises régionales de la solidarité internationale, la Région Bretagne propose aux acteurs économiques et aux acteurs de la solidarité internationale de Bretagne (associations, collectivités, entreprises...) de se rencontrer à Lorient le 12 juin 2015 pour échanger sur leurs enjeux respectifs et les opportunités d'agir ensemble. Réservez la date !"

La lutte contre le décrochage scolaire et la relation école-entreprise seront les priorités d'action pour la réussite éducative en Région Picardie en 2013. Ces priorités ont été arrêtées lors d'une réunion le 7 décembre entre la Région et l'Etat. Durant cette réunion, le Préfet de région, le recteur de l'Académie d'Amiens et le Président de Région ont annoncé leur volonté de travailler ensemble, de mutualiser les moyens avec leurs partenaires et toute la communauté éducative pour offrir aux jeunes Picards les meilleures conditions de réussite.

"> Le Président a dans son programme visité plusieurs entreprises réunionnaises avec le Club Export et des chantiers : la station d'épuration de l'usine Coca Cola des Brasseries Star et la tour "Orange", chantier de la plus grande tour d'affaire de l'océan Indien avec des PME réunionnaises (Socotec, Cotel-Aldes - Soremir Andrieux Legrand). > Dans le secteur agroalimentaire et en particulier la filière élevage et pêche, le Président a participé à une réunion de travail avec les représentants du secteur export sur la question des matières premières dans l'agroalimentaire et des ressources halieutiques. La Région accompagne la FRCA et l'URCOOPA, en portant une étude pour la production de produits à destination du marché réunionnais. Chaque année, La Réunion importe essentiellement d'Europe et d'Amérique du Sud environ 230000 tonnes de blé, maïs et soja dont la transformation est assurée dans les usines d'URCOOPA et de PROVAL. Or le cours de ces matières premières s'est envolé en 2011 et leur importation a représenté un coût de +17%. D'où le projet de rechercher des sources d'approvisionnement plus proches de La Réunion notamment à Madagascar dans le cadre de la coopération régionale. > Sur le volet de la pêche, le Président s'est, là aussi, engagé à soutenir la filière et devrait faire des propositions pour accompagner la structuration de la filière."

CAMEROUN - Ministère des Petites et Moyennes Entreprises de l'Economie Sociale et de l'Artisanat Eligibilité des Soumissionaires: - Etre un cabinet d'études ou un groupement de consultants associés ; - Justifier des capacités administratives, techniques et financières requises et notamment : * Présenter un dossier administratif conforme aux spécifications du point 2.1 ci-dessous ; * Disposer ou s'engager à recruter le personnel nécessaire pour les prestations à réaliser ; * Présenter une capacité financière devant couvrir les coûts des prestations à réaliser Langue d'origine: Français

"Des associations professionnelles d'Europe et d'autres pays avancés tentent de marquer de leur empreinte un nouveau cadre réglementaire du développement mondial. Elles ont demandé que le secteur privé joue un rôle important afin de sortir les nations défavorisées de la pauvreté. L'initiative de petites et grandes entreprises en amont de réunions clés, dont une organisée cette semaine en Indonésie, fait partie de la manoeuvre pour donner forme aux nouveaux objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), les huit objectifs de lutte contre la pauvreté qui arrivent bientôt à terme après 15 ans."

Transformer les économies arabes : La voie de la connaissance et de l'innovation » place un modèle économique axé sur la connaissance et l'innovation au cœur des nouvelles stratégies de développement dans la région. Il montre comment cette approche peut aider les pays arabes à diversifier leurs économies et à innover, en créant de nouvelles entreprises et de nouveaux emplois. L'étude réunit ces questions dans un cadre d'action intégratif : il s'agit de développer des économies plus ouvertes, avec plus d'esprit d'entreprise, de préparer une population mieux instruite et plus qualifiée, d'améliorer les capacités d'innovation et de recherche, et de diffuser les technologies de l'information et de la communication ainsi que leurs applications. Elle exhorte les décideurs à adopter de nouveaux agendas politiques et un nouvel état d'esprit qui puisse conduire à la création de plus d'emplois à plus forte valeur dans un environnement connecté en permanence aux réseaux mondiaux. Compte tenu de la diversité du monde arabe, l'étude ne propose pas une approche toute faite et uniforme, mais offre plutôt des exemples provenant de la région, ainsi que de pays à travers le monde qui ont mis en place des stratégies efficaces pour tirer parti de la connaissance, de l'innovation et de la technologie. Patience et détermination seront nécessaires, parce qu'il se peut que les investissements en question ne commencent à porter leurs fruits que dans quelques années. Lire la suite sur LEDNA

Métier : Ingénierie du développement/Agronomie et développement rural Contrat : Stage Description du poste : La division Agriculture, développement rural et biodiversité (ARB) de l'AFD recherche un(e) stagiaire dont la mission principale sera d'identifier les entreprises françaises des secteurs agricole, agroalimentaire et agroindustriel intéressées par un développement international. Le groupe AFD est en effet invité par ses tutelles à participer, à sa mesure et dans le respect de ses mandats et de la réglementation qui s'impose à lui, à la politique de « diplomatie économique » qui cherche à redresser et à développer le poids économique de la France à l'international.

"Les Assises du développement et de la solidarité internationale ont été clôturées le 1er mars 2013 par le président de la République. Lancées le 5 novembre 2012 et pilotées par Pascal Canfin, le ministre délégué chargé du Développement, en liaison avec Laurent Fabius le ministre des Affaires étrangères, les Assises ont réuni pendant quatre mois l'ensemble des actrices et des acteurs du développement et de la solidarité internationale : État, ONG, syndicats, entreprises privées, fondations, représentantes et représentants des collectivités territoriales, parlementaires nationaux et européens, organismes de recherche et partenaires du Sud. "

"Introduction: Les décideurs politiques et les agences de développement sont convaincus qu'il y a lieu de resserrer les liens entre les petits exploitants agricoles et les marchés modernes et que les agriculteurs doivent être organisés au sein des chaînes de valeur pour accroître leurs revenus. Les politiques agricoles nationales et régionales doivent donc permettre d'aider ces agriculteurs à répondre aux exigences de qualité et de quantité des supermarchés, des entreprises agroalimentaires et des sociétés d'exportation. Les recherches et l'expérience tirée des travaux réalisés par l'IIED, Hivos et d'autres partenaires, présentés dans cet article, montrent toutefois que cet objectif ne tient pas compte du fait que la plupart de ces petits exploitants agricoles ne sont pas organisés au sein des chaînes de valeur ou ne produisent pas pour les supermarchés ou l'exportation, mais vendent directement aux consommateurs (qui achètent encore leurs produits sur les marchés traditionnels et auprès de petits détaillants). L'article montre comment et où ces petits agriculteurs vendent leurs produits, comment fonctionnent leurs marchés et dans quelle mesure ces marchés peuvent contribuer à améliorer les mécanismes qui viennent favoriser la flexibilité des systèmes d'échanges informels. http://pubs.iied.org/16520IIED.html (IIED, 11/2012)"

La Ministre de l'Egalité des Territoires et du Logement, Cécile Duflot, le ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg, la ministre déléguée chargée des petites et moyennes entreprises, de l'innovation et de l'économie numérique, Fleur Pellerin, ainsi que l'ensemble des ministres en charge de la politique des pôles de compétitivité annoncent le financement de 72 nouveaux projets de R&D collaboratifs, impliquant 50 pôles de compétitivité pour un montant d'aide de l'Etat de 63,5 millions d'euros et contribuant au renforcement de chacune des filières.

"Clôturées le 1er mars 2013 par le président de la République, les Assises du développement et de la solidarité internationale témoignent à la fois d'une méthode et d'une volonté politique. Ces 4 mois de concertation ont réuni 600 participantes et participants autour de 5 chantiers thématiques. Cela faisait 15 ans qu'une telle concertation, sans sujet tabou, associant services de l'État, ONG, élu(e)s, entreprises, fondations, chercheurs, syndicats, partenaires du Sud n'avait pas eu lieu. Ces Assises ont posé les bases d'une rénovation nécessaire de la politique française dans un monde qui change : émergences de nouvelles puissances, aggravation du changement climatique. Dans ce nouveau monde, la priorité absolue reste bien sûr la lutte contre l'extrême pauvreté : 1,3 milliard de personnes vivent encore avec moins de 1 euro par jour. Pour y parvenir, il faut à la fois partager - c'est le sens par exemple de l'affectation au développement d'une partie des revenus de la taxe sur les transactions financières (TTF) - et innover : intégrer davantage l'égalité entre les hommes et les femmes comme élément d'efficacité de notre aide, renforcer les sociétés civiles du Sud, faire converger les agendas du développement et du développement durable. Vous pouvez lire, enregistrer et imprimer le document directement dans cette fenêtre de lecture ou le télécharger au format PDF :"

"A l'occasion des assises du Mouvement des entreprises du Sénégal (Meds) dont le thème a porté sur « Les enjeux de la modernisation de l'agriculture », le ministre sénégalais de l'agriculture et de l'équipement rural a annoncé mi-mars 2013 la création à venir de 9 domaines agricoles prioritaires. « Il s'agit d'installer des fermes mixtes et intégrées que nous aménageons pour implanter des acteurs qui évoluent aussi bien dans l'agriculture que dans l'élevage et l'aquaculture », a-t-il déclaré. Selon lui, la gestion de ces domaines sera assurée par les populations du terroir organisées en Groupement d'intérêt économique (GIE) et des sociétés privées dénommées Sociétés d'intensification de la production agricole (SIPA)."

FEI met en œuvre le projet « Compétences Professionnelles Supérieures » depuis août 2012, sur financement du Ministère des Affaires Etrangères. A vocation régionale, ce projet a pour but de renforcer les formations professionnelles supérieures et de soutenir le développement des compétences intermédiaires (niveau bac +2-bac +3) dans 15 pays du Maghreb et d'Afrique sub-saharienne. Ce projet a démarré en août 2012. Il se décline en quatre composantes : (i) Réalisation d'Etudes sur l'insertion professionnelle des diplômés et les besoins des entreprises (ii) Soutenir, en Afrique sub-saharienne, la mise en place d'un pôle d'expertise régionale dans le domaine des formations supérieures professionnelles (iii) Au Maghreb, appuyer la formation professionnelle supérieure initiale, renforcer les compétences des diplômés chômeurs et le dialogue social (iv) Mutualiser les résultats entre les pays bénéficiaires : organisation de conférences régionales"

"Le Fonds de Reconstruction d'Haïti (FRH) appui des projets du secteur privé, avec un accent particulier sur les petites et moyennes entreprises, dont le projet d'appui à la production et à la transformation du lait en Haïti, financé à hauteur de 2 millions de dollars américains. Ce projet, qui est exécuté par le Ministère de l'Agriculture et supervisé par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), vise à améliorer les conditions de travail des petits fermier et développer la production de l'industrie laitière en Haïti. "

"Participant aux Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (BAD) à Marrakech, au Maroc, le président rwandais, Paul Kagamé, a donné sa perspective de la transformation structurelle de l'Afrique. C'était au cours de la Session plénière des Séminaires. Selon lui, il faut surtout mettre l'accent sur le développement du secteur agricole. « L'agriculture demeure la clé de voûte pour transformer les économies en Afrique, et elle doit être considérée comme une entreprise, car c'est un énorme marché qui permettra de créer des emplois et de rehausser le niveau des revenus en Afrique." Comme pistes de solution, a-t-il dit, "il faut transformer le secteur agricole, le moderniser et développer des infrastructures. Il faut également mettre en œuvre des stratégies de développement sur le long terme. » En investissant dans l'agriculture, « nous améliorons la vie de milliers de personnes, assure le président rwandais. Je prends l'exemple de mon pays, le Rwanda. Entre 2011 et 2013 nous avons sorti 1 million de personnes de la pauvreté, » a-t-il poursuivi. Le secteur agricole doit d'autant plus être pris en considération que dans 20 ans, « la main d'œuvre en Afrique sera la plus importante au monde. Les jeunes doivent donc être dotés de compétences. Si nous voulons que la population africaine soit notre première ressource, nous devons investir dans ce capital. »"