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"The EC will provide funding to collaborate with Burkina Faso on strategies and institutional reforms that improve agricultural sustainability and nutritional security in Burkina Faso. Eligibility for funding extends to nonprofit NGOs in countries of the EU and countries of the ACP agreement (including Burkina Faso). Grants will range from €1.5 million to €2.0 million, varying with cost shares. Reference EuropeAid/155765/DD/ACT/BF. The closing date for applications is 11 July 2017."

"Les entretiens d'Inter-réseaux" Entretien avec Moussa Kaboré, SG du ministère de l'Agriculture et de la Sécurité alimentaire du Burkina Faso (juillet 2013) http://www.inter-reseaux.org/ressources-thematiques/article/entretien-avec-moussa-kabore-sg-du Entretien avec Marc Gansoré, secrétaire général de la Confédération paysanne du Faso (CPF) (juillet 2013) www.inter-reseaux.org/ressources-thematiques/les-entretiens-d-inter-reseaux/article/entretien-avec-marc-gansore Entretien avec Mamadou Cissokho (ROPPA) : dix ans après la déclaration de Maputo quel bilan du côté des organisations paysannes d'Afrique de l'Ouest (mars 2013) http://www.inter-reseaux.org/ressources-thematiques/article/entretien-avec-mamadou-cissokho-9245 Interview avec le président du ROPPA : un cadre de concertation inter-réseaux des producteurs en Afrique de l'Ouest est né (mars 2013) http://www.inter-reseaux.org/IMG/pdf/itw_Djibo_Bagna_Cadre_Concertation_Banjul.pdf Entretien avec Ibrahima Coulibaly : « Il faut que les gens retrouvent l'envie de travailler la terre ou de faire de l'élevage et qu'ils aient la possibilité d'en vivre » (mars 2013) http://www.inter-reseaux.org/ressources-thematiques/article/entretien-avec-ibrahima-coulibaly Entretien avec Faliry Boly, secrétaire général du SEXAGON (Mali) : « Laissons les acteurs se structurer par eux-mêmes » http://www.inter-reseaux.org/ressources-thematiques/article/entretien-avec-faliry-boly-8700 Entretiens avec cinq producteurs agricoles ouest africains sur la thématique des interprofessions (mars 2013) Entretien avec Ablaye Dieng (filière tomate industrielle au Sénégal) : http://www.inter-reseaux.org/ressources-thematiques/article/entretien-avec-ablaye-dieng Entretien avec Bintou Guindo (filière échalote/oignon au Mali) : http://www.inter-reseaux.org/ressources-thematiques/article/entretien-avec-bintou-guindo Entretien avec Lionel Guezodjé (filière céréales au Bénin) : http://www.inter-re

"Depuis 2007, la région Bretagne s'est engagée auprès de l'Union monétaire de l'ouest africain (UEMOA) dans différents projets de développement économique solidaire de la région. Au Burkina Faso, elle appuie un programme d'approvisionnement de la capitale en fruits et légumes bio. Sécuriser l'approvisionnement de Ouagadougou Le programme a été engagé en 2010 entre les conseils régionaux de Bretagne et du Centre du Burkina Faso afin de sécuriser l'approvisionnement de Ouagadougou en nourriture tout en développant la filière maraichère biologique."

"Sous la supervision technique du Chef de division de l'agriculture 2 (OSAN.2) et de la supervision administrative de la Représentante Résident de la Banque au Burkina-Faso (BFFO) et en collaboration avec les autres experts de la Division et de BFFO, le/la titulaire apporte sa contribution technique aux activités opérationnelles de la Banque liées à l'agriculture et au développement rural au Burkina-Faso, et, si besoin est, dans d'autres pays couverts par OSAN.2. Le présent poste ne donne pas droit aux conditions d'emploi international (Le/la titulaire de ce poste sera recruté(e) au plan local, et ne bénéficiera donc pas du statut de fonctionnaire international)"

Dans le cadre de son partenariat avec Faso Jigi, la fondation FARM a soutenu la participation de sept responsables de l'organisation à un voyage d'échanges du 10 au 20 février 2015 auprès des Cuma au Bénin et de la FNGN au Burkina Faso. Les objectifs des visites étaient d'échanger sur la gestion collective d'équipements agricoles, les services d'appui-conseil aux agriculteurs et la relève des jeunes au sein des OP.

Le « Mouvement des Paysans Sans Frontière » a réussi le pari de démontrer qu'avec une bonne organisation sociale et une détermination, toute portion de terre procure des ressources pour le bien-être de l'homme. Sous le label « ferme écologique », ce groupe de producteurs réalise une agriculture intégrée, productive et durable dans la localité à forte densité humaine de Bingo (Burkina Faso), où les terres encroutées sont prédominantes du fait de la pression foncière. Cet article relate l'historique, les acteurs, les techniques et les acquis des fermes écologique, un modèle d'exploitation des terres qui a relevé à Bingo, le défi de « produire en quantité et en qualité tout en réduisant la pression sur les ressources naturelles ».

Tel que rapporté par l'Institut international du développement durable (IISD), la Banque mondiale vient d'approuver un plan de financement de 93 millions de dollars US afin de soutenir le développement rural et la gestion durable des terres et des forêts au Burkina Faso. Le forfait comprend une subvention de 70 millions de dollars de l'Association internationale de développement (IDA) et 7,41 millions de dollars du Fonds pour l'environnement mondial (FEM). Il est prévu que les fonds seront utilisés

Le développement du secteur rural constitue une priorité des politiques et stratégies de développement du gouvernement du Burkina Faso. Depuis les années 1960 à nos jours, plusieurs approches de développement ont ainsi été mises en œuvre pour l'opérationnalisation de ces politiques. A la suite de l'adoption du Cadre stratégique de lutte contre la pauvreté (CSLP) en 2000, le Gouvernement s'est doté en 2003 d'une Stratégie de développement rural (SDR) à l'horizon 2015. L'opérationnalisation de la SDR a été réalisée à travers l'élaboration et la mise en œuvre de stratégies et programmes sous sectoriels dont les principaux sont le Programme d'investissement du secteur de l'agriculture, de l'hydraulique et des ressources halieutiques (PISA), le Plan décennal d'action du secteur de l'environnement et du cadre de vie (PDA/ECV) et le Plan d'actions et programme d'investissement du sous-secteur de l'élevage (PAPISE).

"« Marche en avant de toi-même, comme le chameau qui guide la caravane », un proverbe africain qui a été utilisé en ouverture de cette formation. Quarante-sept jeunes du secteur agricole ont suivi la deuxième session de formation au leadership à Moundasso au Burkina Faso, du 2 au 5 avril 2013. Une première session de formation avait eu lieu en 2010. Les quarante-sept participants ont partagé leurs expériences et discuté du rôle qu'ils occupent au sein des exploitations agricoles familiales et des organisations de producteurs. Ils ont pu réfléchir à la situation actuelle des jeunes et à leur avenir dans le secteur agricole au Burkina Faso."

"A travers des projets pilotes, des évènements et des publications, FARM s'intéresse à la formation des producteurs et productrices agricoles notamment aux dispositifs d'appui-conseil. La renforcement des capacités des élus et techniciens des organisations agricoles constitue également un axe de travail et de réflexion. PUBLICATIONS CHAMPS D'ACTEURS - Renforcement des capacités des agriculteurs en Afrique de l'Ouest : viabilité d'un service de conseil agricole mis en place par une organisation de producteurs Champs d'acteurs /02 - 2013 Auteurs : Rosanne Chabot, Patrick Dugué, Pierre Girard - Réseau des irrigants méditerranéens : Appui aux petites et moyennes exploitations agricoles au Maghreb : bilan d'une expérience de formation professionnelle Champs d'acteurs /01 - 2011 Auteurs : Amar Imache, Carole Lambert, Sylvain Lanau, Billy Troy ÉVÉNEMENTS - Formation au leadership pour de jeunes leaders exploitants agricoles au Burkina Faso, 2 au 5 avril 2013, Burkina Faso PROJETS PILOTES L'ensemble des projets pilotes intègrent des dispositifs de formation et d'appui-conseil aux producteurs, productrices, et aux responsables agricoles.

"Le concept de système d'innovation a été testé afin de déterminer si un secteur agricole dynamique et axé sur la croissance est possible sans un système d'innovation fonctionnel. Les chercheurs se sont détournés du système national d'innovation pour mettre l'accent sur la manière dont un système d'innovation pourrait se manifester, à travers une sélection de différentes cultures (plantain, maïs, millet, igname, sorgho) au Ghana et au Burkina Faso, deux pays qui ont connu une croissance significative de la production ces deux dernières décennies. "

La publication de ce nouveau Champs d'acteurs relate une expérience-pilote développée par l'Union des groupements pour la commercialisation des produits agricoles de la Boucle du Mouhoun (UGCPA/BM) pour accompagner ses membres vers l'intensification écologique. Issu d'une collaboration entre l'UGCPA/BM, le Cirad, Jade productions et FARM, ce document expose les réalités de l'intensification écologique au Burkina Faso et nourrit le débat du potentiel des outils de communication que les organisations de producteurs peuvent utiliser pour conduire le changement chez les agriculteurs.

Dans cet entretien, le Secrétaire général du ministère de l'Agriculture et de la Sécurité alimentaire du Burkina Faso aborde différents sujets. Il nous livre d'abord son analyse des politiques agricoles et de sécurité alimentaire du Burkina. Il revient ensuite sur les enjeux liés aux ressources publiques allouées à l'agriculture. Il présente enfin les priorités du gouvernement en matière de gestion des risques agricoles. "Il faut également restructurer le conseil agricole qui a été complètement émantelé dans le cadre des PAS. Il faut remettre en place des mécanismes d'encadrement et de conseil aux producteurs mais sans répliquer les mécanismes d'appui et de conseil qui existaient dans les années 70 car le contexte a changé. Dans les années 70, on pensait que l'Etat pouvait tout prendre en charge. Aujourd'hui les producteurs se sont diversifiés. Chaque producteur, chaque filière a ses besoins, qui lui sont propres ; il serait difficile pour le secteur public de s'attaquer à des contextes aussi multiples. En termes de vulgarisation, de technologies agricoles et de formation des producteurs, il est important que nous réadaptions nos interventions en intégrant le secteur privé. Nous avons par exemple de nombreux jeunes qui sortent des écoles de formation agricole, mais l'Etat ne recrute plus. Parallèlement, nous avons des agriculteurs qui ont besoin de leurs services, mais qui n'ont pas les ressources pour les payer. Il y a là une opportunité de création d'emplois pour ces jeunes et de renforcement du système d'appui "

Inades-Formation Burkina est une Association nationale dont la mission est de « Travailler à la promotion sociale et économique des populations, en accordant une importance toute particulière à leur participation libre et responsable à la transformation de leurs sociétés ». Un de ses principaux axes d'intervention est la consolidation des dynamiques paysannes autour des filières agricoles dans le cadre de l'agriculture familiale. Dans le cadre de la mise en œuvre du projet de promotion de cultures maraîchères pour une meilleure sécurité alimentaire et nutritionnelle dans la région des Cascades, Inades-Formation Burkina recherche un consultant pour la réalisation d'une étude participative sur les causes et les conséquences de l'insécurité alimentaire dans les villages de Kankalaba, Dionso, Kolasso, Dinaworo et Golona dans la province de la Léraba.

OUAGADOUGOU, 10 January 2013 (IRIN) - Les récents heurts entre agriculteurs et éleveurs qui ont fait sept morts à Sangou, dans la région du Centre-Est du Burkina Faso, montrent que les violences répétées entre les deux groupes pourraient dégénérer si des mesures urgentes ne sont pas prises.

"Evaluation du Plan d'Actions Triennal 2014-2016 du Programme Sectoriel de l'Education et de la Formation du Burkina Faso"

"Pour faire face à la dégradation des ressources naturelles qui met en péril l'activité agricole, les communautés paysannes de l'Est du Burkina Faso, appuyées par des organismes de développement, ont entrepris de mettre à l'échelle les meilleures technologies agro-écologiques adaptées au contexte local, à travers la formation de formateurs locaux. Ces paysans formés devraient constituer d'importants relais pour une large diffusion et une adoption massive de ces technologies innovante en vue d'assurer la transition des systèmes de production actuels vers des systèmes plus durables et plus productifs."

"En septembre 2014, les premiers sachets de chenilles fraîches, entières et stérilisées, conservables 18 mois, les "Toumou Délice", ont été commercialisés sur le marché burkinabè. Un aboutissement pour Kahitouo Hien, qui a élaboré et concrétisé son projet lors de ses études à l'Institut international d'ingénierie de l'eau et de l'environnement (2iE). Consommer des chenilles était habituel pour le jeune Hien qui les appréciait. Au Burkina Faso, elles sont collectées entre juillet et septembre par les femmes et sont ensuite vendues séchées sur le marché. Quand il a appris qu'elles contenaient jusqu'à 63 % de protéines et étaient aussi riches en fer et oméga 3, il a décidé d'exploiter la richesse nutritionnelle des chenilles pour prévenir la malnutrition. Il fallait alors s'atteler à leur conservation sur une année car si elles sont un produit de consommation courante dans le pays, c'est aussi un produit saisonnier. Encore étudiant, il remporte pour son projet le prix du meilleur impact social de la Global Social Venture Competition (GSVC) à Berkeley (États-Unis) en 2012 puis bénéficie d'un appui managérial, juridique et technique de l'incubateur du 2iE. Ceci lui permet de créer Fasopro et de commercialiser ses premiers "ToumouDélice". Innovante, l'entreprise l'est aussi par son mode de financement. En effet, la jeune start-up burkinabè a effectué au début de l'année 2014 sa première levée de fonds de 10 000 €. Elle s'est soldée par un succès grâce à une campagne de financement participatif en ligne (crowdfunding) et assurera partiellement le développement à grande échelle de l'entreprise à partir de 2015. La commercialisation des "ToumouDélice" est une première étape. Pour soigner et non plus seulement prévenir la malnutrition, Fasopro travaille sur l'élaboration de nouveaux produits nutritionnels pour les enfants de moins de 5 ans et les femmes enceintes notam

Les agri-agences Afdi, Fert et Trias, mais également les agences burkinabés Corade et APME2A, se sont réunis à Ouagadougou le samedi 12 mars 2016 pour échanger sur la question de la formation des leaders paysans. Une rencontre qui a permis de partager ce qui avait été déjà réalisé par les uns et les autres, mais surtout d'envisager des collaborations futures sur le sujet.

"En raison de la situation prévalant actuellement au Mali, une vigilance accrue doit-être observée dans les provinces suivantes, situées au nord-ouest du Burkina :"