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Home/ Mission FNEP 2008/ Group items tagged conjoncture

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Marjolaine Grisard

http://www.oecd.org/dataoecd/56/26/41572083.pdf - 0 views

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    note d'une page de conjoncture innovation en Corée, par l'OCDE en 2008
François Bertrand

Corée du sud : la croissance 2009 sera la plus faible en 11 ans selon la banq... - 0 views

  • Corée du sud : la croissance 2009 sera la plus faible en 11 ans selon la banque centrale
  • En outre le 4e trimestre 2008 devrait voir le PIB diminuer de 1,6%, son premier recul trimestriel depuis plus de 5 ans.
  • Les exportations du pays ont chuté de 18,3% en novembre par rapport à novembre 2007, la plus forte baisse en près de 7 ans.
François Bertrand

Laurent Fabius préconise la disparition de fait du CNRS dans le cadre de l'Un... - 0 views

  • Comme nous le craignions, une partie des activités des actuels Etablissements Publics à caractère Scientifique et Technologique (EPST) français deviendra patrimoine d'universités jumelées avec le secteur privé, et le reste (budget compris) sera transféré à l'Union Européenne.
    • François Bertrand
       
      coeur de leur argumentaire
  • Quels que soient les défauts du Comité National, l'AERES (Agence d'Evaluation de la Recherche et de l'Enseignement Supérieur créée en 2006), qui tend à s'emparer de ses missions, est loin d'offrir les mêmes garanties.
  • Que se passera-t-il si le CNRS est disloqué au bénéfice d'universités qui n'ont pas les moyens de se substituer à lui et d'un montage européen qui recherchera les emplacements et modes de gestion les « moins chers » pour ses programmes ?
  • ...19 more annotations...
  • Dans le Journal du CNRS de mai 2008, Valérie Pécresse déclare : « Notre système reposera à terme sur quatre piliers : des organismes de recherche d’excellence, partenaires des universités et porteurs d’une vision nationale et internationale de la politique de recherche, ce qui leur confère une capacité unique pour analyser la conjoncture et faire la prospective scientifique ; des universités plus autonomes, avec une gouvernance plus efficace et des compétences nouvelles leur permettant de définir et de mener efficacement une stratégie de recherche ; une recherche sur projets dynamique, dont l’ANR porte la plus grande part et dont la programmation doit être étroitement articulée avec les organismes de recherche ; et enfin une recherche privée ambitieuse et rendue plus attractive par le crédit d’impôt recherche »
  • Même si son descriptif réduit, tout compte fait, le rôle du CNRS à « analyser la conjoncture et faire la prospective scientifique »
  • Le transfert à l'Union Européenne des moyens de nos EPST ouvrira nécessairement la voie à une délocalisation à grande échelle de la recherche française au sein de l'Union, voire même ailleurs. On peut difficilement imaginer que ces délocalisations soient sans conséquences dans le domaine industriel.
  • Les implications de cette évolution sur le plan des garanties d'indépendance des chercheurs et de transparence de la recherche sont également très préoccupantes.
  • D'autant plus que le « modèle américain » reste une référence constante. Or, notre article du 7 mars avait déjà évoqué les doléances de nos collègues d'outre-Atlantique à propos des ingérences politiques de l'administration US dans le travail des scientifiques et dans la diffusion de leurs résultats.
  • En somme, au nom du « patriotisme continental » et du « modèle américain », ce dont il s'agit c'est de démanteler des composantes stratégiques de l'Etat et du secteur public français, et d'en délocaliser des activités essentielles. Les conséquences économiques et sociales seront très graves, mais tout se prépare sans faire des vagues et avec un choeur de déclarations « positives ». Au service de quels intérêts ? Quant aux questions à caractère citoyen sur l'indépendance des agents ou la transparence, elles semblent avoir été tout simplement exclues du débat. S'agirait-il de préoccupations « d'une autre époque » ?
  • (Merci de bien vouloir publier ce texte, réponse de Laurent Fabius aux affirmations de cet article). La CERI et le CNRS: faux procès et vrai projet
  • Dans la mondialisation, recherche et innovation sont les clés de notre avenir. Tout le monde le dit, mais on ne propose rien de concret. M. Sarkozy et son gouvernement se contentent d’une approche comptable, destructrice et sans vision.
  • j'ai proposé qu'elle porte à cette occasion le projet ambitieux et concret d'une Coopération Européenne de la Recherche et de l'Innovation (CERI)
  • qui aurait vocation, à terme, à se substituer à ses équivalents nationaux - l'ANR en France
  • Renforcer la recherche, d'abord, en augmentant ses moyens.
  • La CERI
  • Simplifier,
  • Dans le labyrinthe actuel, les chercheurs passent trop de temps à remplir des dossiers de subvention – pour des sommes bien souvent modiques.
  • Valoriser, enfin, le statut des chercheurs et des étudiants.
  • Dans une analyse intitulée : « Quatre propositions pour retrouver une perspective », publiée par le journal Les Echos le 28 avril, Laurent Fabius impute à la France, sans autre explication, un « lourd problème de compétitivité » et une « insuffisance d'innovation et de recherche ».
  • Le CNRS, l'INSERM et les autres organismes de recherche français devraient, d'après Laurent Fabius, disparaître au bénéfice d'une politique globale pilotée par l'Union Européenne avec un seul « ministère européen de la Recherche et de l'Innovation ».
  • Après cette « analyse » péremptoire, qu'il ne prend pas la peine d'étayer par des arguments, Fabius écrit à propos de la recherche scientifique et technologique :  « ... C'est par elle que nous ferons la différence dans la mondialisation. Puisque la France va présider l'Union européenne, je propose que nous lancions le projet concret d'une Coopération européenne pour la recherche et l'innovation (Ceri), nouveau moteur du développement. Osons mettre en commun nos budgets nationaux de recherche, créer un espace européen de l'innovation dont bénéficieront nos PME, abattre les murs qui fragmentent les parcours et les carrières de nos étudiants et de nos chercheurs. Proposons un seul ministère européen de la Recherche et de l'Innovation, doté d'une politique coordonnée... »
  • rapport de François d'Aubert à Valérie Pécresse (notre article du 17 avril)
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    Le texte contient pas mal de références, ainsi que la réponse de Fabius
François Bertrand

Les deux volets de la compétitivité - CONJONCTURE ECONOMIQUE POLITIQUE ECONOM... - 0 views

  • celui de la Commission pour la libération de la croissance française, présidée par Jacques Attali, et le rapport d'étape de la mission L'Europe dans la mondialisation, que Christine Lagarde et Xavier Bertrand m'ont chargé de conduire
  • Il n'en reste pas moins qu'en ce qui concerne la France, les analyses convergent. Une bonne part des prescriptions de la commission Attali - notamment celles portant sur l'éducation, l'enseignement supérieur, la recherche, l'innovation, la mobilité du capital humain, l'accompagnement social des mutations... - relèvent de la stratégie européenne lancée à Lisbonne en mars 2000.
  • Le rapport d'étape sur le prochain cycle 2008-2010 de la stratégie de Lisbonne qui vient d'être remis aux pouvoirs publics (www.minefe.gouv.fr) analyse ce retard français par rapport aux objectifs de Lisbonne et aux performances européennes, et recommande son rattrapage en sélectionnant quelques axes prioritaires de réforme plus amplement développés et complétés par la commission Attali.
François Bertrand

Les Classiques des sciences sociales: Joseph Schumpeter, Théorie de l'évoluti... - 0 views

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    Une référence...
François Bertrand

INSEE Conjoncture - créations d'entreprises février 2008 - 0 views

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    Le nombre de créations des mois de décembre 2007, janvier et février 2008 est en hausse (+16,1 %) par rapport aux mêmes mois un an auparavant. Les secteurs qui contribuent le plus à cette hausse sont le commerce, les services aux entreprises, la construction et les services aux particuliers.
Fred L

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  • Pôle de compétivité : Séguin veut des indicateurs de performance
  • Lefigaro.fr publie des extraits du rapport de la cour des Comptes sur les pôles de compétitivité et de la lettre de Philippe Séguin à François Fillon.
  • Peut mieux faire. Telle est l'appréciation portée par la Cour des Comptes sur les 71 pôles de compétitivité. Son rapport porte sur la période 2004-2008
  • ...6 more annotations...
  • Premier point: «L'importance du dispositif de droit commun d'aides aux entreprises dans le domaine de la recherche et de l'innovation limite par comparaison l'effet incitatif spécifique de la politique des pôles de compétitivité».
  • Deuxième point: «La politique suivie à l'égard des pôles de compétitivité hésite entre une logique de compétitivité et démarche d'aménagement du territoire».
  • Ne voulant pas décevoir les élus, le gouvernement a sélectionné au total 71 pôles. Résultat, une quinzaine seulement ont tenu leurs engagements. Les autres ont réduit leurs ambitions. La Cour des comptes propose de réduire leur nombre à une vingtaine comme le gouvernement le prévoyait au départ.
  • Troisième point: «Le suivi de la dimension scientifique des pôles de compétitivité n'est pas réalisée par l'Etat de façon satisfaisante.
  • Quatrième point: «La dotation budgétaire prévue pour les pôles de compétitivité est largement sous-utilisée. Les crédits budgétaires consacrés aux pôles par le Fonds unique interministériel sont peu consommés et la majorité des crédits inscrits n'a pas été dépensée: sur la période 2006 à 2008, la dotation prévue s'élevait à 730 millions d'euros et les restes à payer ont atteint 538,7 millions d'euros.»
  • Cinquième point: «Il est difficile d'évaluer la performance du dispositif dans le cadre de la loi organique relative aux lois de finances...La Cour estime que, pour les exercices à venir, des indicateurs et des tableaux de bord pertinents soient arrêtés»
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