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Home/ Mission FNEP 2008/ Group items tagged 2015

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Fred L

Trois tendances qui vont marquer le secteur IT à l'horizon 2015 - 0 views

  • Alors que notre attention est monopolisée par la crise économique et financière, l'évolution technologique poursuit sa course effrénée et modifie en profondeur l'organisation des entreprises et le monde de l'offre. Selon le cabinet Forrester, trois tendances de fond vont transformer le secteur IT d'ici à 2015 : la globalisation 2.0 marquée par un rééquilibre des forces, le paradoxe d'une informatique à la fois omniprésente et invisible et la consumérisation de l'IT.
Fred L

Saclay : un campus sous pression - 0 views

  • Saclay : un campus sous pression
  • Les six premiers dossiers finalisant les projets de campus sélectionnés devaient arriver sur le bureau de Valérie Pécresse à la date butoir du 3 novembre 2008. Ces notes d’intention détaillent les plans de financements et les partenariats avec les collectivités territoriales de chaque projet. Le comité de sélection de l’Opération campus se réunira mi-novembre 2008 pour définir les moyens qui leur seront alloués.
  • Sélectionné lors de la seconde vague, le plus grand des projets, celui du plateau de Saclay ne doit rendre sa copie qu’en février 2009, si tout va bien... Le pilote de ce projet, Philippe Lagayette, a en effet démissionné en octobre 2008 de ses fonctions. Il est remplacé par deux chargés de mission.
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  • Pour la partie campus, la ministre de l’enseignement supérieur a choisi fin octobre Jacques Glowinski, jusqu'alors membre du comité de sélection et professeur honoraire en neuropharmacologie au Collège de France. Il sera chargé de définir les priorités en mettant d’accord les 21 acteurs de ce projet chiffré initialement à 1,8 milliard d’euros. Un dossier plus que complexe. Sur l’aménagement du plateau, son co-pilote sera Vincent Pourquery de Boiserin, directeur régional et départemental de l’Equipement (Centre et Loiret), nommé lui par Christian Blanc, secrétaire d’Etat chargé du développement de la région capitale...
  • Définir des priorités. Après avoir difficilement obtenu l’agrément du comité de sélection de l’Opération campus (2), l’heure est à la définition des priorités. Faut-il privilégier la naissance de l’Institut de mathématiques ou de l’Institut de l’énergie ? Est-il plus urgent de rénover les locaux d’Orsay de Paris 11 ou de financer la venue de nouveaux établissements sur le plateau ? Les 21 établissements ont jusqu’à février 2009 pour finaliser la déclinaison opérationnelle du projet.
  • Gérer les conflits. Si les collaborations entre les 21 établissements signataires ne cessent de croître, la concurrence entre eux reste vive. RTRA, pôle de compétitivité, groupement d’intérêt scientifique… les structures s’empilent sans concertation. A l’image des deux PRES (Pôles de recherche et d’enseignement supérieur) qui auront chacun leur pôle en sciences de l’ingénieur. Alors que ParisTech regroupe déjà 11 écoles d’ingénieurs, Universud a prévu la constitution d’un collège des sciences de l’ingénieur avec Centrale Paris, Supélec et l’ENS Cachan. Un doublon qui en dit long…
  • Boucler le financement. Mais c’est avant tout du volet financier que dépend l’émergence du campus. Les 21 établissements ont vu grand. « Nous avons écrit une véritable lettre au Père Noël », confie l’un d’eux. Il leur faut trouver 1,8 milliard d’euros (dont 1 milliard d’euros d’ici à 2015). Bien plus que ce qu’ils peuvent espérer du gouvernement… Les dix lauréats de l’Opération campus devraient en effet se partager les fruits du placement d’un fonds de cinq milliards d’euros. Soit environ entre 150 et 250 millions d’euros par lauréat.
  • Arbitrages. Les établissements du plateau misent donc sur l’effet de levier du plan campus, sur les partenariats public-privé et sur les collectivités territoriales. Leur intention : financer 80% des opérations par des sources privées. Une gageure dans le paysage de l’enseignement supérieur français. Des arbitrages seront nécessaires.
  • Quelles que soient les dissenssions passées ou à venir, universités, grandes écoles et organismes de recherche savent qu’ils n’ont pas le choix. Nicolas Sarkozy, qui a fait de Saclay un chantier présidentiel, les a déjà prévenus lors de la cérémonie en l’honneur du prix Nobel de physique Albert Fert, le 28 janvier 2008 à Orsay : « A la fin 2008, cette opération aura un pilote et un projet qui associera toutes les institutions scientifiques, grandes écoles, universités et bien sûr les élus, pour aller de l’avant ».
  • (1) Parmi les membres de ParisTech, AgroParisTech, l’ENSAE et l’ENSTA ont prévu de déménager entièrement sur le plateau de Saclay, l’Institut Télécom et l’Ecole des mines de Paris partiellement. Autres volontaires : Centrale Paris et l’ENS Cachan.(2) Le dossier a été sélectionné lors du second appel à projets en juillet 2008. Lors du premier appel en mai, le jury avait jugé les projets « isolés et non structurants ».
François Bertrand

2008/12/01 > BE Corée 44 > Bosch et Samsung lancent une coentreprise de batte... - 0 views

  • Le directeur de Samsung SDI M. PARK Yong-woo a indiqué que "les deux compagnies ont décidé d'investir chacun 500 millions de dollars durant ces 4 prochaines années dès que la joint-venture sera créée. Cette décision a été prise suite à l'augmentation élevée du prix du pétrole et des conséquences de la pollution sur l'environnement. La part de demande des VEH ayant par ailleurs rapidement augmenté". SB LiMotive pourrait occuper 30% du marché de la batterie à l'horizon 2015. D'ici là, la compagnie devra préparer la production en chaîne de la batterie lithium-ion pour équiper les véhicules électriques hybrides.La seconde batterie de super-capacité développée par LG Chemical and Nesscap est le résultat d'une recherche mutuelle entre l'industrie, l'académie et les instituts de recherche financés par le Ministère de la Connaissance et de l'Economie (Ministry of Knowledge Economy, MKE) depuis ces cinq dernières années. La capacité de ces nouvelles batteries pourrait être 100 fois plus importante que celles existantes. Le MKE espère pouvoir commercialiser ce type de module de grande capacité d'ici 2010.
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    toujours en forme, les Coréens
François Bertrand

Le Temps - économie - 0 views

  • Le conseiller national radical Rüdi Noser veut construire un parc d'innovation baptisé Swiss Innovation Park sur l'ancienne base militaire de Dübendorf (ZH).
    • François Bertrand
       
      Cela pourrait faire une recommandation. Bon, nos bases militaires ne sont pas tout à fait accessible en tramway, à l'inverse de celle-ci : http://maps.google.fr/maps?f=q&hl=fr&geocode=&q=dubendorf&ie=UTF8&ll=47.397071,8.639116&spn=0.029399,0.067806&t=h&z=14
  • Son initiative vise à attirer les entreprises internationales à développer leur pôle de recherche et de développement sur ce grand site. La fondation Recherche Suisse devra être créée pour gérer le parc. Entretien avec Rüdi Noser, initiateur du projet.
  • Le Temps: Pourquoi avez-vous choisi Dübendorf? Rüdi Noser: Dübendorf est idéalement placée. La ville est située à une dizaine de minutes du centre de Zurich, tout comme de l'aéroport. Elle est proche de différents pôles de recherche, comme l'EPFZ, le Technopark de Zurich et l'Empa à Saint-Gall. Notre projet constitue un investissement sur le long terme sur un grand terrain de 800000 m2. C'est une incroyable opportunité, car aucun site aussi grand n'existe en Europe. Nous avons une carte à jouer pour assurer que la Suisse reste l'un des pays les plus innovants du monde au cours des trente prochaines années. Notre projet inclut la construction d'une petite ville de 12000 habitants dans laquelle 4000 à 6000 emplois seront créés. Elle comportera des centres commerciaux, des écoles internationales et des bureaux. Aujourd'hui, si une grande entreprise veut établir son centre de recherche avec 1000 employés en Suisse, elle ne trouvera pas de surfaces disponibles. Nous voulons combler cette lacune.
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  • Avez-vous déjà reçu un soutien? - Oui, la fondation devrait voir le jour début 2009. Swissmem (Association suisse de l'industrie des machines, des équipements électriques et des métaux), l'Association suisse des banquiers, la Chambre américano-suisse de commerce, le Technopark de Zurich, l'Université de Zurich, l'EPFZ et l'Empa soutiennent le projet. Tout comme le canton et la Ville de Zurich, ainsi que les communes avoisinantes de Dübendorf. Dans le rapport du 15 mars dernier, le Conseil fédéral a estimé qu'un parc national de recherche renforcerait la Suisse. Il soutient notre projet à Dübendorf. Il devrait désormais clairement soutenir la création de notre fondation et l'apport du secteur privé.
  • Combien coûterait la construction de ce parc en Suisse? - Pas grand-chose, car c'est un projet de création de valeur sur un terrain dont les 90% sont considérés comme une parcelle agricole peu onéreuse. Au départ, nous devrions trouver cinq millions de francs pour créer la fondation et engager les ressources nécessaires pour réaliser ce projet. Nous avons déjà commencé à contacter 4000 entreprises, petites, moyennes et grandes, dans toutes les régions de Suisse, pour récolter des dons de 3000 à 100000 francs. Avec les communes, les cantons et la Confédération, elles devraient s'engager comme donateurs pour un partenariat public-privé. Les investissements seraient très vite rentabilisés. Les bénéfices pourraient être investis dans le Fonds national suisse de la recherche scientifique.
  • Quelle place auraient les universités sur ce parc? - Mon rêve serait d'attirer des universités de renommée internationale. Pourquoi l'EPFZ devrait se diriger vers Shanghai, Singapour ou Boston? Il s'agirait au contraire de proposer au Massachusetts Institute of Technology, à Harvard, des surfaces pour s'installer à Zurich. Au final, les multinationales pourraient trouver un nombre important de doctorants dans les universités suisses et internationales, des étudiants dans les hautes ecoles spécialisées intéressés à des projets de recherche. Cela ferait aussi augmenter fortement la valeur du terrain.
  • - Avez-vous des projets en Suisse romande? - Nous y cherchons un terrain de 100000 à 200000 m2, mais nous n'avons rien trouvé entre Neuchâtel et Genève. Nous espérons que les cantons nous proposerons des terrains qui leur appartiennent. La solution pourrait venir du Valais.
  • - Google a installé son centre de recherche pour l'Europe à Zurich. Quel avantage aurait un tel groupe à venir à Dübendorf? - Il existe de nombreuses sociétés plus petites que Google qui sont actives dans le même domaine. Le géant américain pourrait être intéressé à collaborer avec un réseau de start-up situées sur le nouveau parc d'innovation. Nous ne voulons pas attirer que des grandes entreprises, mais aussi les futures Google ou des fabricants de puces électroniques. Ce parc ne devrait pas cibler que les biotechs et les medtechs mais inclure autant que possible un grand nombre de secteurs.
  • - Quand pensez-vous que ce projet pourra démarrer? - Le premier coup de pioche pourrait être donné en 2015.
david duplouy

Euromonde 2015 : une stratégie européenne pour la mondialisation - Rapport fi... - 0 views

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    Extrait des principales conclusions : "La France a beaucoup à faire pour améliorer ses performances nationales et accroître du même coup sa crédibilité au regard de l'agenda de Lisbonne : c'est particulièrement le cas en ce qui concerne la réforme du marché du travail (flexicurité), les politiques de la connaissance, la politique énergétique et environnementale et l'appropriation nationale de la stratégie européenne. Les réformes engagées depuis le printemps 2007 doivent être poursuivies et approfondies." "Sa présidence prochaine de l'Union européenne offre à la France l'occasion de promouvoir certains objectifs prioritaires tels que la dynamisation du « triangle de la connaissance » (enseignement supérieur, recherche et innovation)" "Lisbonne Plus doit s'appuyer sur des mesures économiques, sociales et environnementales centrées sur la promotion de l'innovation : ces mesures porteront à la fois sur le renforcement de l'économie de la connaissance, la valorisation du capital humain européen et la promotion d'une « nouvelle économie verte »."
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