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"La présence de communautés religieuses dans les quartiers de Laval ou même dans les villages trouve son origine dans les années 1960 à la suite du Concile Vatican II. Sœur Monique et Sœur Thérèse, Sœurs de Saint François d'Assise, ainsi que les Congrégations des Sœurs de la Charité d'Evron et du Sacré Cœur de Jésus de St Jacut les Pins, nous en disent plus sur la mission de ces religieuses auprès des habitants qui sont parfois d'autres confessions religieuses."

"Tout droit débarquées de leur Burkina Faso natal, les sœurs Brigitte, Marie-Madeleine et Perpétue ont posé leurs valises dans le quartier de la Houillère à Charleville-Mézières, devenu leur quartier d'adoption."

"Au début de notre vie religieuse, on nous apprenait à appliquer des règles, et à nous soumettre aux Supérieures, notre vie était bien structurée. L'enseignement qu'on nous communiquait ne rejoignait que très peu la Bible et l'Évangile. Le monde dans lequel nous vivions était hors de nous. Le concile a apporté un souffle et une liberté dans nos congrégations avec des formations bibliques, humaines, professionnelles, des rencontres entre congrégations et une ouverture sur le monde. Á partir de là, beaucoup de choses ont changé. Pour nous, depuis plusieurs années, nous vivons dans un quartier populaire de 17000 habitants et la tour où nous sommes accueille une population très variée. Nous y avons repéré tout récemment 22 pays différents sur 73 appartements."

Diocèses Evry Flashmob de "Brother & Sister act" + témoignage de religieuses en quartier populaire CS - Vu le 03/02/2012

"Au cœur du quartier populaire de l'Oly à Montgeron (Essonne) pendant quarante-quatre ans, les Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus, qui n'étaient plus que deux, ont quitté la cité début octobre."

"D'après les chiffres du diocèse d'Évry (Essonne), il reste 8 religieux et 25 religieuses dans les cités populaires de l'Essonne, comme à la Grande Borne à Grigny ou dans le quartier des Pyramides à Évry. La Congrégation du Sacré-Cœur de Jésus, anciennement à Montgeron, compte une communauté de quatre sœurs à Trappes (Yvelines)."

"Dans un message vidéo partagé le 9 juillet, le Saint-Père fait part de sa proximité avec les curés des quartiers populaires de Buenos Aires la capitale argentine, touchés par la pandémie de Covid-19."

"Découvrez le quotidien de ceux et celles qui ont tout donné pour répondre à l'appel du Seigneur. En savoir + https://ilsontreponduoui.diocese92.fr/ « Vraiment, être prêtre, c'est un bonheur. » C'est par ces mots que le P. Aniceto nous parle de sa vocation. Celle d'un curé en charge d'une paroisse où se rencontrent une multitude de fidèles des quartiers populaires de Nanterre."

" Le dernier week-end de juin, plusieurs ordinations ont été célébrées dans les diocèses. Si le catholicisme connaît un certain renouveau dans les quartiers populaires, encore très peu de jeunes qui en sont issus deviennent prêtres. Ceux qui entrent au séminaire expérimentent souvent un choc culturel qui peut être éprouvant."

"Les Fraternités monastiques de Jérusalem vont se retirer de Bruxelles, a indiqué la communauté dans un communiqué rendu public le 22 février. Présentes dans la capitale belge depuis septembre 2001, en réponse à l'appel du cardinal Danneels, les Fraternités occupaient l'église paroissiale Saint-Gilles, située dans un quartier populaire et multiculturel."

"Depuis septembre, trois prêtres de la Communauté Saint-Martin infusent leur style direct pour annoncer le Christ dans les quartiers populaires amiénois."

"Sans bruit, dans notre diocèse, vivent des communautés de femmes données à Dieu. A Nevers, à Varennes-Bourg, à Corbigny, à Prémery. Des femmes données dans la vie contemplative : le Carmel, la Visitation. Des femmes données dans la vie apostolique : en quartier populaire, dans la vie rurale, dans le sanctuaire Sainte-Bernadette. Des femmes encore données dans la vie fraternelle et la prière, dans leur dernière tranche de vie terrestre. Sans bruit, elles se donnent, elles se sont données pour être sœurs de tous. « Tous frères », dit l'encyclique du pape. Eh bien elles sont toutes sœurs de tous. Dans la prière, dans la proximité quotidienne, dans des activités multiples. Sans bruit, dans notre diocèse, nous ont quittés des communautés de femmes données à Dieu. A Nevers, à Alligny-Cosne, à Saint-Benin d'Azy, à La Machine, à Lormes. Sans bruit, mais non sans larmes des personnes qui les ont connues et appréciées. Elles ont rejoint leurs lieux d'origine, elles qui avaient été appelées chez nous en mission, ou bien sont parties rejoindre une communauté de sœurs aînées, ou la Maison de notre Père. Sans bruit, dans ces communautés, réduites parfois à deux personnes, se vit l'aventure de la fraternité du Christ, l'aventure de la charité et de la fidélité dans le Christ, l'aventure du dépouillement de soi et du don à l'autre. Ce n'est pas un long fleuve tranquille, comme dans toute famille et tout groupe humain. Mais c'est un appel toujours renouvelé, un oui toujours renouvelé, au sein d'une vie toujours travaillée et émondée par Dieu."

"Découvrez aujourd'hui sœur Rébecca et sœur Clotilde, en mission dans un quartier populaire de Buenos Aires (Argentine)."

"Découvrez aujourd'hui sœur Paul-Marie, en mission dans les quartiers populaires de Cebu (Philippines)."

"Dans un livre autobiographique, ce repenti de la délinquance raconte son passé de trafiquant de drogue dans les quartiers de Bondy-nord et sa conversion spectaculaire, venue bouleverser radicalement sa vie."

Les soeurs de la Bonne nouvelle témoignent et vous invitent à participer à une Visio le mardi 2 février (...). Fondées il y a plus de 30 ans à Toulouse, ells ont vécu en bidonville à Manillet et s'investissent aujourd'hui dans des quartiers sensibles de Toulouse.

"Quatre frères de la communauté œcuménique de Taizé se sont établis discrètement à Pantin (Seine-Saint-Denis) en décembre, dans un département marqué par une forte présence musulmane. Ils y animent des prières quotidiennes et participent à la vie solidaire du quartier."