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Christophe Duret

Internet : comment sensibiliser les jeunes? | Infobourg.com - TIC, actualité,... - 0 views

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    Accompagner l'usage sans diaboliser l'outil. Voilà le message livré par la psychologue Marion Haza dans une conférence au terme d'une semaine sans écrans dans une école française récemment, selon le Journal Sud Ouest. Pour elle, le problème n'est pas Internet ou les jeux vidéo, mais bien l'utilisation que l'on en fait.
Jon Snow

ContreInfo :: EuroVegas, future zone de non droit - 0 views

  • Vote d’une loi spécifique, ne pouvant être modifiée pendant au moins 30 ans, déclarant le projet d’intérêt général, créant un régime dérogatoire en ce qui concerne le jeu et le commerce, supprimant les limites aux investissements étrangers dans les casinos ainsi que la nécessité d’une autorisation préalable si plus de 5 % du capital social change de mains 
  • ● Autorisation d’accès aux casinos pour les mineurs, les majeurs incapables et les interdits de jeu ;
  • ● Modification de la loi sur le blanchiment d’argent avec, notamment, autorisation de transférer les fonds sans limites
  • ...4 more annotations...
  • Remboursement de la TVA aux entreprises du complexe, statut de « zone franche » (donc, pas de paiement de TVA ni de taxes) pour les joueurs extra-communautaires ; ● Suppression des taxes et simplification des procédures pour tous les produits importés qui rentrent dans le complexe ; ● Modification des règles fiscales d’amortissement, de déduction du résultat fiscal, d’imposition des non-résidents et des impatriés ; ● Exemption pendant 10 ans de la taxe sur les jeux ; ● Réduction de 95 % de l’impôt sur les transmissions patrimoniales, ainsi que des impôts fonciers ; ● Réduction de 50 % de l’impôt sur les activités économiques ; ● Négociation préalable et obligatoire avec Las Vegas Sands avant toute entrée en vigueur de nouvelles taxes.
  • Pour effarantes qu’elles paraissent, les prétentions de Las Vegas Sands n’en sont pas moins, dans leur globalité, accueillies avec bienveillance tant à Madrid qu’à Barcelone. Les représentants d’Adelson n’ont d’ailleurs pas caché qu’ils donneraient la préférence à la ville qui leur ferait le plus de concessions, d’où la déclaration de la présidente de la région de Madrid : « s’il faut effectuer des modifications légales qui sont en accord avec mes principes, elles se feront. »
  • ● « liquéfaction » complète des individus, coupés de leurs racines culturelles et nationales : Las Vegas Sands ne dissimule même pas son intention d’aller chercher des employés dans des pays à très bas salaires et sans protection sociale et de les transposer « tels quels » en plein milieu de l’Europe, des pions que l’on déplace sur un échiquier planétaire, et que l’on remplacera dès que les signes d’usure apparaîtront ;
  • Il est de surcroît significatif que ce « déshabillage » de l’État-nation s’opère au profit d’une activité - le jeu - qui n’apporte aucune valeur ajoutée à la collectivité. Nous retrouvons ici - pardonnez les références multiples à cette période - une caractéristique de la chute de l’Empire romain : quand le système s’effondre, il faut bien occuper la plèbe et détourner son attention de la gravité de la situation, que ce soit en multipliant les jeux du cirque ou les bandits manchots.
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    C'est ouf, après tant d'années à suivre les méfaits de notre cher kapitalimse, j'ai toujours envie de gerber cool! T_T
Jon Snow

Economie politique de Diablo (Diablo III, Diablo II) - Merlanfrit - 0 views

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    Non mé ho! Meme dans les jeux videos on vient nous emm.... avec du neolibéralisme! je dis STOP! :)
Jon Snow

Québec : A tous ceux qui ne comprennent pas... - 0 views

  • Ce Ministre qui annonce en ce moment son intention de recourir une fois de plus à une loi spéciale pour régler un conflit de travail (cette fois, au CP) et qui déclare que son gouvernement a été élu pour être « le gardien de l’économie ». C’est proprement surréaliste ! Pensez-y. Pas du bien commun. Pas de la justice sociale. De l’économie.
    • Jon Snow
       
      ils font meme plus la difference entre bien public et privé. Tout est privé.
  • Ce qui s’en est suivi est connu. Des sociétés et un monde profondément inégalitaires ; des crises économiques incessantes et souvent majeures et aux effets désastreux sur la majorité des gens ; des dépenses de fonds publics au profit de ces institutions dominantes, demandant par exemple, sans gêne, d’être renflouées par les fonds publics quand survient une crise et qui exigent d’être subventionnées le reste du temps ; des attaques frontales et nombreuses à l’idée de participation du public ; l’entretien de l’illusion que dette et déficits sont causés par des dépenses somptueuses de l’État pour le bien comun ; le mensonge propagé que nous ne serions plus en mesure de nous payer des routes dignes de ce nom, des soins de santé pour tous et toutes, un système d’éducation, des fonds de pension, de la sécurité sociale, un régime d’assurance chômage, des salaires décents.
  • Ce sont, au moins pour une part, des gens qui ont conscience de tout cela qui se présentent dans l’espace public en ce moment. Ils sont critiques, informés, lucides. Ils ne peuvent être amadoués par des promesses de gains personnels, ils se méfient des pouvoirs traditionnels, redoutent leurs mensonges, détectent leur propagande : leur combat est en grande partie altruiste, ce qu’ils défendent va au-delà de demandes qui pourraient être satisfaites par les offres et les promesses usuelles. Ils mettent en oeuvres des moyens inédits, pratiquent la démocratie délibérative et directe, ne sont pas leurrés par des slogans vides. Ce que ces personnes réhabilitent, et dont plusieurs avaient oublié jusqu’à l’existence, ce sont les idées de démocratie, de bien commun, et de combat politique.
  • ...7 more annotations...
  • La révolte actuelle porte contre tout cela. Elle s’exprime là où elle l’a pu : dans la rue.
  • Voici donc. Une profonde mutation de civilisation est survenue à l’échelle planétaire vers 1970. Un de ses éléments centraux a été le démantèlement des fameux Accords de Bretton Woods, qui avaient été conclu au sortir de la Deuxième Guerre Mondiale pour relancer et encadrer l’économie mondiale. Ces accords favorisaient les échanges dans l’économie réelle, mais ils mettaient aussi un frein majeur aux flux de capitaux de l’économie virtuelle, jugés dangereux pour cette économie réelle faite de biens et de services. Les flux de capitaux étaient considérés, avec raison, comme concédant un pouvoir immense et injustifiable et qu’il fallait donc refuser aux détenteurs de capitaux : ceux-ci, dès lors qu’ils pouvaient sanctionner positivement ou négativement des décisions politiques (en allant là où ils le désiraient) se seraient vu concéder ce que Keynes (il me semble que c’est lui, on me corrigera ...) appelait un « sénat virtuel », et donc un pouvoir illégitime et dangereux pour le politique, voire démocraticide : si une loi, disons de travail, devait leur déplaire, les détenteurs de capitaux auraient pu voter contre elle en retirant leurs billes.
  • La crise en cours est - entre autres choses, j’en suis conscient - l’ expression d’une critique radicale et pour cela inhabituelle de nos institutions, de notre société, une critique radicale que nombre de gens ignorent peu ou prou mais qui s’est articulée depuis plusieurs années et qui débouche aujourd’hui sur des revendications inédites présentées selon des modalités elles aussi inédites.
  • Pour en donner un exemple frappant, il était fréquent, durant ces années, que des pays appliquent des taux d’imposition maximaux de 90 % environ - et les entreprises payaient leurs impôts. Pour en donner un autre exemple, l’économie durant ces années était, en gros, à 95% composée d’échanges réalisés dans l’économie réelle et à 5 % d’échanges dans l’économie virtuelle.
  • Les échanges économiques, pour commencer, changent profondément de nature : ils deviennent, en gros, désormais virtuels à 95%. Le redouté sénat virtuel existe et il est très puissant. Les banques changent alors profondément de nature : ce ne sont plus des institutions prêteuses comme celles que nos grands-parents ont connu, mais des acteurs majeurs dans des jeux spéculatifs à haut risque, capable de perturber et même de saccager l’économie réelle. La concentration de la richesse dans le secteur financier qui en découle est proprement phénoménale. Nuisible à l’économie réelle, elle enrichit hors de tout bon sens des gens qui se livrent, au sens strict et fort du terme, à des activités antisociales et qui brisent d’innombrables vies. Et pendant ce temps, les salaires et revenus des gens ordinaires, des salariés, stagnent depuis des décennies.
  • Les entreprises se transforment elles aussi en profondeur. Dotées de droits comme si elles étaient des personnes (morales et immortelles) depuis plus d’un siècle déjà, elles échappent désormais à peu près à tout contrôle démocratique, deviennent des sortes de tyrannies privées qui pèsent lourdement sur le processus politique et qui sont en mesure de l’orienter en leur faveur à travers divers groupes de pression ou organismes qu’elles contrôlent dans de substantielles mesures (OCDE, FMI, Banque Mondiale, par exemple) : elles façonnent ainsi peu à peu ce qu’elles appelent la mondialisation de l’économie, qui signifie, sans trop caricaturer, le fait pour elles de pouvoir aller où elles veulent, pour faire ce qu’elles veulent, comme elles le veulent.
  • Nous ne sommes alors plus guère en démocratie représentative, mais dans ce qu’on peut appeler une oligarchie représentative, une alliance entre corporations et gouvernement.
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