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Home/ USAGES NUMERIQUES 63/ Group items tagged Smartphone

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Sophie Point

Les deux tiers des Français utilisent des applis citoyennes - 1 views

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    Pouvoir contacter les services publics en quelques clics via un smartphone est de plus en plus apprécié par les Français. Pour eux, c'est utile et permet de gagner du temps. A Poitiers, à Limours-en-Hurepoix ou à Mérignac, on peut signaler un problème de voirie ou consulter les horaires de la mairie sur un smartphone via une appli dite " citoyenne ".
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    Dans le même registre L'État, un acteur légitime pour développer les applications http://www.proximamobile.fr/article/deux-francais-sur-trois-utilisent-des-applications-mobiles-%25C2%25ABcitoyennes%25C2%25BB
gaviolig

Savoirs CDI: L'open data : fiche synthétique - 1 views

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    "Les data visualisations Les data visualisations ne sont pas des données : elles sont des graphiques utilisant les données pour les « mettre en scène » et permettre leur interprétation. En cela, elles sont des créations dérivées basées sur les potentiels d'exploitation de données libérées. Les utilisations afférentes peuvent aller de la plus triviale (application cartographique sur smartphone pour repérer les boulangeries plus proches ou une place de parking) aux plus élaborées (outil d'aide à la décision en matière d'immobilier, par exemple). Exemples Carte interactive des collèges "tête de réseau" concernés par le réseau d'éducation prioritaire, 2014 KelQuartier.com permet aux utilisateurs de chercher, en fonction de leurs préférences, le quartier qui leur est le plus adapté. Ont été nécessaires : des données de l'Insee comme le découpage cartographique par quartiers, la densité de commerces et services par quartier et le secteur d'activité de ces commerces et services, par exemple. les données annuelles des chiffres de l'immobilier des notaires de France. des données sur les tracés de voirie et les tracés des lignes et arrêts des transports en commun. Jeux des données disponibles sur data.gouv.fr"
gaviolig

« Les jeunes lisent toujours, mais pas des livres » - 0 views

  • Le numérique aussi a changé notre façon de lire : les séquences de lecture des jeunes sont plus courtes, souvent liées à leurs échanges écrits sur Internet, et donc sont très liées à la sociabilité. Les choix de lecture se font en interaction avec les autres, de plus en plus par des recommandations des pairs. Or lire un livre est, par nature, une activité plutôt longue et solitaire. A l'ère du numérique, la façon dont les jeunes construisent leur approche culturelle ne va pas naturellement vers la lecture. Pourtant, certains jeunes, statistiquement plutôt les filles, se tournent de nouveau vers la lecture comme activité à contretemps et déconnectée, comme pour stopper le flux d'informations continu qui leur parvient.
  • Les 15-29 ans lisent des textos, Wikipédia, des blogs… Il y a bien des façons de lire. En réalité, on n'a jamais tant lu : des textes, des publicités, des articles, etc. Mais le goût pour la lecture de littérature baisse. Ces deux types de lectures sont différents. La lecture HTML est « additive », les liens et les articles se superposent les uns aux autres. Pour ne pas se perdre dans le flot d'informations, il faut construire une séquence de lecture. Il faut faire le tri, ne pas se perdre pour éviter la saturation informationnelle, le moment où l'on ne comprend plus rien à ce qu'on lit et où l'on tourne en rond. Ce sont des compétences très difficiles à acquérir.
  • Le smartphone est devenu le premier terminal culturel des adolescents et jeunes adultes. Les jeunes regardent toujours la télévision, mais sur leur ordinateur ou leur téléphone. Les blogs, forums et chaînes musicales remplacent les radios, qui s'écoutent en podcast. La presse également est consommée essentiellement sur Internet. Seuls les magazines spécialisés ou thématiques résistent à cette tendance, comme ceux consacrés au sport ou à un chanteur. Aujourd'hui, les premiers pourvoyeurs d'info sont les réseaux sociaux. Un adolescent que j'ai rencontré lors d'une enquête m'a dit, très justement : « S'il y avait la guerre, je l'apprendrais sur Facebook. »
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  • Comment réduire la fracture numérique d'un côté et la fracture générationnelle de l'autre ? Mettre dans les mains des plus jeunes les textes anciens qui transitent à travers les générations, mais aussi, dans l'autre sens, former les personnes âgées aux nouvelles technologies, cela permet de créer du commun, de créer du lien intergénérationnel. C'est là tout l'enjeu des nouvelles politiques culturelles.
gaviolig

Villes : de la connexion à l'intermodalité « InternetActu.net - 0 views

  • Evoquer les villes intelligentes, les villes durables ou les villes écologiques dessine à chaque fois une nouvelle palette d’avenir… et influe sur la manière dont elles sont conçues, construites et aménagées (le rapport est d’ailleurs le dernier d’une série de 4 : un autre s’intéresse à comment la ville est appelée à changer d’ici 50 ans, en explorant 4 scénarios : la ville de la haute technologie, la ville numérique, la ville vivable et la ville-forteresse ; un autre à l’évolution démographique des villes ; et le dernier à l’évolution architecturale des villes).
  • la ville intelligente ne peut pas être une installation clé en main, c’est-à-dire un ensemble de technologies qui, une fois déployées, fonctionneront de manière cohérente et uniforme (PlanIT prévoit même de développer son propre réseau social, indépendant de tous les réseaux sociaux existants), alors que les villes sont des produits culturels, économiques, politiques et sociaux spécifiques. Pour lui, l’individu doit être l’unité atomique des données urbaines,
  • l’enjeu repose sur le smartphone, le terminal ultime de la mobilité.
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  • En échouant à prendre une position de leader sur les applications de mobilité, les villes cèdent le terrain et les données à des entreprises privées qui ne défendent pas les mêmes intérêts qu’elles. Les conséquences ne portent pas que sur l’information de transport, estime Eric Goldwyn. Le résultat risque surtout de passer à côté d’une occasion d’améliorer le réseau de transport en le rendant plus homogène, plus unifié. Le risque est que le transport public se fragmente, que l’intermodalité, si célébrée demeure un voeu pieu, et que les villes perdent des informations précieuses sur le déplacement et donc sur l’amélioration potentielle du réseau. Eric Goldwyn fait référence aux cartes d’abonnement et aux tickets uniques qui ont beaucoup fait pour l’unification du système de transit de New York. Il suggère qu’une application intégrée permettrait à tous d’accéder bien plus simplement à un réseau de transport en commun bien plus vaste… Une application unique permettrait une meilleure gestion de l’ensemble du réseau, de mieux s’adapter aux évolutions du trafic, de mieux répondre à la demande.
  • “Les applications de transports telles qu’Uber montrent les possibilités, et elles sont grandes, mais maintenant, nous avons besoin que l’entrepreneuriat public intègre ces nouvelles technologies pour améliorer le transport public, et pas seulement le transport privé”
gaviolig

La France connaît un déficit de pensée utopiste sur le numérique | Le Club de... - 0 views

  • Ensuite, nous assistons à une rigidification vis-à-vis des changements issus du numérique de la part des grands acteurs nationaux, qui réclament une approche protectionniste des pouvoirs publics. Enfin, nous connaissons actuellement un déficit de pensée utopiste.
  • Elles proclament leur volonté d’embrasser la révolution numérique, mais dès qu’elles se sentent menacées sur leur créneau, elles vont se plaindre à leur ministre de tutelle, comme le secteur de la culture avec l’arrivée de Netflix.
  • impliquant les gens situés dans le bas de la pyramide des entreprises : les individus, qui sont en train de s’approprier les technologies numériques. Et des exemples d’entreprises qui ont réussi leur mutation existent. Solocal Group, ex-Pages Jaunes, a transformé ses 2 000 commerciaux, habitués à vendre des petites annonces papier à des artisans, en médias-planneurs web. La Poste a équipé ses préposés de smartphones et propose aux compagnies d’assurance de réaliser pour leur compte des constats de sinistre en prenant des photos sur place. En France, on présuppose que les gens sont rétifs au changement et que l’élite voit clair. Or, c’est souvent l’inverse.
gaviolig

Blog Administration Numérique - MARKESS « - 0 views

  • indicateurs clés sur l’évolution du rôle des DSI, l’implication des différents métiers, les besoins en expertises pour aborder les nouveaux usages, la présence ou non d’élus en charge du numérique
  • Les 100 collectivités locales interrogées, par l’intermédiaire de leur DSI ou de profils en charge des questions numériques, révèlent sans conteste la montée en puissance de la collaboration des DSI avec les métiers, 69% des décideurs interrogés portant cette évolution au premier plan.
  • Juliette Baudry de la DSI Courrier du groupe La Poste est venu témoigner sur son retour d’expérience d’équipement des facteurs en terminaux mobiles dans le cadre de leurs tournées. 90 000 facteurs équipés de smartphones sont désormais en mesure d’optimiser leurs processus quotidiens (captation de signature client, flash code…) mais aussi d’envisager de nouveaux usages pour l’avenir comme la récupération de données par la photo, la relève de compteur, le paiement de livraison… en jouant le rôle de tiers de confiance pour d’autres services publics.
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  • Territoires de soins numériques : les projets de Bourgogne, Lorraine et Rhône-Alpes
  • Passer sous la barre des 20 datacenters sur les 128 recensés aujourd’hui, tel est l’objectif à 10 ans de l’Etat français. La DISIC mise sur l’existant en regroupant des ressources sur des plaques en activité avec principalement Bercy, la Défense, l’Intérieur, le regroupement entre l’Ecologie et l’Agriculture. Une économie de 30% sur un budget annuel de 80 millions d’euros est attendue. Les freins majeurs pour mettre en oeuvre ce plan de consolidation sont notamment : la mise à niveau des salles pour supporter de nouvelles infrastructures, le dégagement d’économies pour moderniser l’infrastructure, l’apprentissage par les équipes d’un nouveau métier qu’est la prestation de services auprès d’un tiers en interne. La prise en charge des applications implique de construire une offre de services comme la qualité d’hébergement, la sécurité ou encore les gestes de proximité.
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