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Thierry Pouzaud

Numérique & démarches collaboratives | 3° Colloque : Ecriture et technologie - 0 views

  • Les contenus des objets numériques sont entourés de jeux de cadres.
  • Ils sont également tissés d’une myriade de signes passeurs, promettant l’activation de médias présents dans les structures profondes des sites et applications de téléphone mobile ou de tablettes de lectures.
  • Cadres et signes passeurs accompagnent et parfois signifient autant que les textes, images, vidéos les encadrant. Cette nuée articule des niveaux de lectures intermédiaires, privilégiant des pratiques particulières, engageant dans des mouvements rapprochés la lecture, l’écriture et la publication.
  • ...6 more annotations...
  • Architexte, grammaire formelle : ces deux notions permettent de désigner des éléments qui étayent les pratiques de lectures aux écrans, en engageant dans le même temps des gestes d’écriture et de publicisation.
  • Ces formes sollicitent un travail de la part de l’usager, qui en élabore une maîtrise au fur et à mesure des utilisations.
  • Cette maîtrise des formes et des cadres, une fois acquise, est réactivée dans les différents contextes de médiations numériques, vues ici sous l’angle d’un répertoire de « coquilles vides » et de formes miniaturisées, condensées et rapprochées en une mosaïque composite.
  • Atelier B – Lecture, recherche documentaire et indexation
  • Lire, recherche documentaire et indexation sont ici abordés comme un triptyque dont chacun des éléments est fortement lié aux autres. On sait évidemment que l’on recherche pour lire, que l’on indexe après avoir lu et pour que les usagers puissent lire….
  • Deux approches dans cet atelier : quelles pratiques ? Quelles représentations les élèves et les collègues se font-ils de la recherche documentaire à l’heure des moteurs de recherche généraliste sur le web ? indexer aujourd’hui ? quelles activités avec les élèves ?
Thierry Pouzaud

La curation c'est de la merde… et puis quoi encore ? | Salah-Eddine Benzakour... - 0 views

  • Ici je vais parler de l’acte de curation
  • pour les plateformes de curation je laisse cela à leurs propriétaires ou à leur community managers
  • L’acte de curation ou de content curation est de donner un nouveau contexte à l’info, à l’enrichir et à l’organiser.
  • ...12 more annotations...
  • Et ce n’est pas uniquement ce que Frédéric disait dans cette raison « C’est s’abonner à des sources d’information, lire des blogs, des sites web et sélectionner des passages, des contenus que l’on va agréger dans un même espace. » Le fait juste d’agréger du contenu les robots le font bien, et cela ne s’appelle pas curation mais agrégation.
  • Par contre s’il y a un choix éditorial des liens (et pas un choix automatique avec des algorithmes), on peut parler de curation…
  • Le fait qu’une personne partage des liens sans rajouter son interprétation ou un contexte est une forme parmi d’autres de curation, certes qui apporte une valeur ajoutée relativement limitée
  • mais ça reste une valeur ajoutée.
  • Raisons 2 :  La curation constitue une atteinte au droit d’auteur
  • Frédéric dit « La curation c’est prendre du contenu à un endroit et le mettre à un autre. Rien d’autre.«  Désolé mais cela est faux et cela ne s’appelle pas de la curation, ça s’appelle du copier/coller ou plus précisément du vol de contenu avec violation des droits d’auteurs.
  • La curation, c’est de la citation avec un nouveau contexte… sans se substituer à l’article d’origine. Voir article L122-5 3e a. du code de la propriété intellectuelle. Et si certaines plateformes « dites de curation » ne respectent pas cela comme dit dans l’article de Frédéric… c’est un problème des plateformes et non pas de la curation.
  • Là aussi il s’agit d’une fonctionnalité d’un outil et non pas de la technique de curation
  • Imaginons que dans une page blanche dans mon site je rajoute un lien vers un article sur le Monde.fr, et j’encourage les visiteurs de ma page à le visiter. Imaginons aussi que 3000 personnes visitent ma page et 100% cliquent sur le lien. On comptabilisera 3000 visites chez moi et 3000 visites en plus chez lemonde.fr. Je n’ai rien capté, j’ai au contraire contribuer à la visibilité d’un article de Le Monde.
  • L’argument présenté par Frédéric ici est : « Favoriser l’utilisation de solutions qui n’apportent rien à la gestion de l’information et qui profitent des technologies de l’information pour démultiplier l’information à l’infini c’est être coupable de conduire à l’effondrement d’un système qui est basé sur un fonctionnement proche des pires pratiques de la finance. » Les règles du monde numérique ne sont pas celles du monde réel. L’élément atomique de la finance est une unité d’une monnaie (1 Euro, 1 dollar, 1 Yen…). Une unité d’une monnaie a une valeur dans le monde réel et en principe elle doit avoir une contrepartie en or qui garantie sa valeur. Dans le monde numérique l’élément atomique est un bit (0 ou 1), le coût marginale d’un bit supplémentaire est presque nul, ce qui fait que même avec une augmentation exponentielle des données l’impact économique est très limité et ne peut être visible que sur des centaines d’années avec la technologie actuelle. Ce qui est tout simplement impossible si on connaît la loi de Moore et on suit l’évolution de la technologie de stockage (L’évolution de la disquette 3,5 pouces, à la mémoire flash en peu d’année…).
  • Il s’agit toujours pour moi d’une confusion entre la curation et les outils dits de la curation.
  • Je comprends tout-à-fait la réaction de Frédéric Martinet, car le buzz francophone actuel présente la « curation » comme une activité peu digne d’intérêt. Et les nouveaux outils qui fleurissent de tous côtés semblent malheureusement encourager cette pratique à bon marché.
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