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Aurialie Jublin

Objets immatériels et abstractions au travail : vers un environnement "case-centric" - 0 views

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    Résumé : si l'on essaie de comprendre concrètement ce qu'est le travail à l'heure de l'économie du savoir, on se rend compte qu'il s'agit essentiellement de manier, assembler, organiser des objets immatériels afin de produire un résultat concrêt. Afin de rendre la chose plus aisée, nombre d'outils donnent une existence physique à ces objets sur nos écrans afin de rentre leur manipulation plus aisée. Au final un double constat s'impose : non seulement les compétences nécessaires à ce type de travail sont loin d'être acquises ou même enseignées mais, plus encore, l'outillage tel que proposé aujourd'hui ne fait qu'empirer la situation en fragmentant la matière travaillée entre les outils et dispersant l'attention du collaborateur qui la consacre à faire le lien entre des applications et des informations au lieu de s'en servir pour résoudre des problèmes. Le passage d'un environnement centré sur l'outil à un environnement centré sur les cas à traiter s'impose.
Aurialie Jublin

Ce robot journaliste prend des photos, pose des questions et publie en ligne | Gizmodo - 0 views

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    Des chercheurs du Intelligent Systems Informatics Lab (ISI) de l'Université de Tokyo ont développé un robot journaliste qui peut explorer son environnement en toute autonomie et écrire sur ce qu'il trouve.  Le robot détecte des changements dans son environnement, décide s'ils sont pertinents, et prends alors des photos avec sa caméra embarquée. Il peut ensuite aller recueillir des informations en posant des questions, et il se sert d'Internet pour parfaire ses connaissances sur le sujet. Si c'est intéressant, il va alors écrire un petit article et le publier sur le web.
Aurialie Jublin

Modes de vie du futur : sobriété et coopération, seules issues soutenables - 1 views

  • identifie les variables clés de l'évolution des modes de vie en France, et leurs impacts sur les émissions de CO2 : émergence de nouveaux comportements à travers l'habitat groupé, les régimes alimentaires, les nouvelles pratiques de mobilité, la simplicité volontaire, mais aussi, plus généralement, l'évolution des représentations sociales, des modes d'habiter, de consommer, de travailler, dont les effets sont significatifs sur les consommations d'énergie.
  • Le premier scénario est celui de la continuation actuelle de la société du consumérisme vert, scénario tendanciel en regard des modes de vie en Europe. "Le maître mot : l'adaptation, au stress, à la pénurie de fonds publics, au changement climatique... doublée de demandes multiformes de sécurité. Les modes de vie sont conformistes et hiérarchisés. Le travail reste une valeur pivot. Les NTIC transforment les relations sociales entre les proches"
  • Un second scénario, celui de la "société de l'individu augmenté", célèbre l'arrachement au temps et à l'espace. Le nucléaire voit sa part croître dans le système énergétique, les investissements dans la fusion nucléaire se poursuivent, peaux photovoltaïques, smart grids, biocarburants artificiels et agrocarburants se répandent. Une élite de cyborgs bénéficiant de la convergence de technologies NBIC (nano-bio-info-cognitif) coexiste avec des tissus péri-urbains "paupérisés et bricolés". La dualisation sociale et environnementale bat son plein, "on vit dans des espaces sous bulle, l'extérieur étant dégradé par la crise climatique et écologique et marqué par la fin du tourisme".
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  • Les trois autres sociétés du futur (S3-S4-S5) sont en partie porteuses d'espoir et d'utopies réalisées. Ainsi la "société duale de sobriété plurielle" voit les décroissants et créatifs culturels du XXème siècle ouvrir la voie. La sobriété est imposée par la précarité. Les valeurs cardinales sont la tolérance, le pluralisme, la diversité culturelle. C'est l' "âge de faire" et l'époque de l'exode urbain. 60% de la société du "premier monde" continue d'alimenter le système économique historique dans les métropoles, tandis que les 40% restant ont "décroché", créant de nouvelles formes d'organisation sociale. La montée en puissance du système D amplifie les alternatives. Une centrale nucléaire sur deux n'est pas remplacée car la demande énergétique du "second monde" a fortement baissé.
  • Quant à la "société de l'écocitoyenneté", elle voit la crise climatique induire des formes de pénurie en même temps qu'un système productif vertueux.
  • Enfin, la "société âge de la connaissance" se caractérise par le réinvestissement de l'espace public, le retour aux savoirs vivants, des voies nouvelles en agriculture, une descente énergétique, la régression de la consommation, la vigueur de l'autoproduction et une économie plurielle partagée entre travail salarié et bénévolat. Les "grands créatifs" sont les héros de la société.
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    "Comment penser les modes de vie en 2050 en France et leurs impacts sur les émissions de CO2 ? Un exercice collectif de la Mission prospective du ministère de l'Écologie propose des visions contrastées du futur."
Aurialie Jublin

Impossible d'innover sans vos salariés ! | Le Cercle Les Echos - 1 views

  • Il faut favoriser les interactions entre vos collaborateurs au-delà des frontières hiérarchiques et fonctionnelles. Les interactions sont source de créativité et de flexibilité. L’objectif est de permettre à votre entreprise de s’adapter aux évolutions de son environnement, dans de bonnes conditions économiques.
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    "Sans la participation de vos salariés, votre entreprise est figée. Savoir les intégrer au projet de l'entreprise de manière cohérente et valorisante, c'est une nécessité dans un contexte de crise. Le facteur humain, c'est la clé de l'adaptation de votre entreprise à son environnement. Comment conduire les changements ? Quelles actions, mener ? Quel sens donné aux changements ?"
abrugiere

Le CDI ne fait plus le bonheur | Le Cercle Les Echos - 2 views

  • Premièrement, le CDI ne protège plus les salariés : dans un environnement économique où la durée de vie des entreprises ne cesse de raccourcir (75 ans dans les années 1930, 15 ans à l’aube des années 2000), détenir un contrat permanent ne garantit plus un emploi à vie. En Italie, 50% des CDI sont interrompus au bout de deux ans. Pire, l’emploi salarié est trop souvent associé à de la souffrance au travail : cadences extrêmes, management par le stress, logique de résultats inatteignables.
  • Deuxièmement, la relation de subordination incarnée par le CDI ne correspond plus à notre système productif. En se tertiarisant, l’économie exige prise d’initiative, agilité et adaptabilité. Il n’est plus demandé au salarié d’effectuer des tâches standardisées et répétitives, mais de mettre à la disposition de son employeur sa créativité, sa réactivité et sa personnalité. A l’heure du travail dématérialisé, le lien de subordination fait d’obéissance et de contrôles est devenu contre-productif et tend de plus en plus à être remplacé par du management collaboratif, où l’autonomie et la responsabilisation prévalent.
  • Troisièmement, le salariat, conçu au départ comme un système de redistribution de revenus, de droits et protections, a perdu nombre de ses avantages : la hausse des cotisations sociales s’accompagne d’une baisse des prestations sociales (retraites, sécurité sociale, indemnités chômage). La répartition des profits se fait de plus en plus en faveur des actionnaires, au détriment des travailleurs. Les carrières ne sont plus ascensionnelles, la rémunération ne suit plus l’ancienneté.
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  • L’essor de nouvelles formes de travail, telles que portage salarial, auto-entrepreneurs, groupements d’employeurs ou multi-activité, témoigne des mutations en cours et bouleverse la séparation stricte qui existait entre salariat et travail indépendant.
  • Cette nouvelle réalité du travail correspond aussi à la montée de l’individualisation de la relation d’emploi. Les gens ne veulent plus appartenir, ils veulent choisir. Le travailleur veut désormais consommer le travail comme il consomme biens et services.
  • Aujourd’hui, l’individu veut également pouvoir définir le cadre de sa relation d’emploi et personnaliser ses conditions de travail. A titre d’exemple, 52% des Français voudraient pouvoir travailler de chez eux et 68% des salariés à temps partiel déclarent avoir choisi ce mode de travail, le plus souvent pour concilier vie familiale et professionnelle.
  • Services publics de l’emploi, entreprises de travail temporaire, cabinets de recrutement, associations sociales... De nouveaux havres de stabilité sont nécessaires pour accompagner des travailleurs au parcours de plus en plus chaotique et un emploi fragmenté, individualisé et à la carte. Parions que l’avenir verra la résurgence des guildes professionnelles, à la fois garantes de la formation de leurs travailleurs, négociateurs de leurs conditions de travail, fournisseurs d’avantages sociaux et sources d’offres d’emploi.
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    "Et si le salariat n'était plus synonyme d'épanouissement au travail ? Cette question (tout comme le titre provocateur de cet article) vise à remettre en cause notre vision monolithique mais obsolète du marché du travail : seul le CDI à temps plein protège les travailleurs et leur apporte sécurité et stabilité professionnelles."
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    - Premièrement, le CDI ne protège plus les salariés : dans un environnement économique où la durée de vie des entreprises ne cesse de raccourcir (75 ans dans les années 1930, 15 ans à l'aube des années 2000), détenir un contrat permanent ne garantit plus un emploi à vie 2) Deuxièmement, la relation de subordination incarnée par le CDI ne correspond plus à notre système productif. En se tertiarisant, l'économie exige prise d'initiative, agilité et adaptabilité 3) Troisièmement, le salariat, conçu au départ comme un système de redistribution de revenus, de droits et protections, a perdu nombre de ses avantages : la hausse des cotisations sociales s'accompagne d'une baisse des prestations sociales (retraites, sécurité sociale, indemnités chômage). La répartition des profits se fait de plus en plus en faveur des actionnaires, au détriment des travailleurs. Les carrières ne sont plus ascensionnelles, la rémunération ne suit plus l'ancienneté.
Aurialie Jublin

Bureau de demain : les 7 tendances qui vont révolutionner l'environnement de travail - My Happy Job - 0 views

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    Comment nos bureaux peuvent-ils nous aider à mieux travailler ? Le cabinet de conseil Greenworking apporte des éléments de réponse dans son étude sur les nouveaux environnements de travail intitulée Le bureau de demain : les 7 tendances qui vont révolutionner l'environnement de travail, de l'avènement du Flex Office 2.0 au développement du Slow Workplace. 
Aurialie Jublin

Vous apportez votre tablette perso au bureau ? La fin du salariat | Rue89 Eco - 0 views

  • Le mot d’ordre du PDG de cette société, Mark Templeton est clair : « N’importe quoi, n’importe où, n’importe quand. » Il s’agit de traiter le salarié comme un consommateur des données et de prendre en compte le fait qu’avec son ordinateur personnel et, de plus en plus, son smartphone ou sa tablette numérique, il va pouvoir accéder aux données de son entreprise en même temps qu’à ses propres fichiers personnels et, bien sûr, au Web.
  • cette fusion outil professionnel/appareil personnel prolonge le mouvement d’autonomisation des salariés. L’équation personnelle – compétences, réseau de relations et capacité à les utiliser dans le travail – compte toujours plus.
  • Les experts de Fing n’occultent pas les dangers de précarisation et d’exclusion pour ceux qui ne sauront pas s’adapter. Leur diagnostic retient cependant l’attention. Chaque individu devient responsable de son « employabilité » :
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  • 2010-2020 sera sans doute la période charnière pour le passage d’une société hiérarchique à un système de relations ouvert qui va dynamiter les organisations des entreprises et donner davantage de pouvoirs aux individus, pour le meilleur et pour le pire.
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    "Face aux aspirations à l'autonomie des salariés, les employeurs ont, jusqu'à présent, réussi à sauvegarder l'essentiel : la maîtrise de l'organisation du travail. Mais les nouvelles technologies de l'information sont en train de miner cet ordre social, en permettant la reprise en main de leur environnement de travail et de leur propre organisation par les salariés. Une sorte de re-privatisation du travail signant le délitement du salariat."
julien camacho

L'Anssi déconseille aux entreprises d'accepter le BYOD - 2 views

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    Pour l'agence nationale de la sécurité des systèmes d'information, l'usage des smartphones dans un environnement pro est "problématique" car "les solutions de sécurisation actuelles sont peu efficaces".
julien camacho

Spécial Cloud: 1- Quel est l'intérêt des architectures Cloud ouvertes? - 1 views

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    Entre un large accès à des solutions innovantes, une plus large ouverture des données, une accélération de la consommation et une meilleure maîtrise des dépenses IT, le Cloud Computing se fait une place au soleil et, telle une vague de fond, vient modifier la façon de délivrer les services informatiques et leurs contenus. Grâce aux technologies et aux services de Cloud Computing, les entreprises souhaitent gagner en flexibilité et en coûts opérationnels. Quelles soient actrices de ce marché ou consommatrices des services dans le nuage, elles souhaitent établir un rapport plus souple et moins contraignant, dans un environnement ou écosystème moins propriétaire.
Aurialie Jublin

Need Help With Work? Startup RelateIQ Aims to Improve Work Relationships - WSJ.com - 1 views

  • Data scientists are beginning to peer into work relationships, trying to identify patterns that can improve how employees collaborate with peers, manage sales relationships, or see how they stack up against colleagues. It is a nascent market, but up-and-coming startups have their eyes set on upending established business-technology companies like Salesforce, which are also increasingly digging into data.
  • Elsewhere, Boston-based Sociometric Solutions Inc. uses physical sensors to collect data on employees' movements and the tone of their conversations to tell managers where interactions are dipping and where employees are congregating. In San Francisco, tenXer Inc., a program for computer engineers, tracks code modifications and hours spent in meetings to help them see how their productivity stacks up against colleagues. And Boston-based Yesware Inc. helps employees track emails, monitors how many times their emails are opened, what devices recipients are using, and provides analytic reports on the email traffic of colleagues.
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    Startups Like RelateIQ Are Aiming to Help Improve Employees' Work Life With Software Résumé IA : RelatelQ - https://www.relateiq.com - est un logiciel qui se propose de regarder votre vie numérique pour vous en faire ressortir ce qui semble important. L'algorithme de RelateIQ recueille constamment des signaux de données pour déterminer si les relations de travail avec des partenaires internes ou externes se refroidissent et si l'utilisateur doit prendre des mesures. Sociometric Solutions utilise une méthode proche pour améliorer les conversations. tenXer - https://www.tenxer.com - gère les modifications de code et les heures passées en réunion pour aider à mieux maîtriser sa productivité. Yesware - http://www.yesware.com - tente d'améliorer la productivité par e-mail. Chez RelateIQ, les programmeurs tentent de toujours mieux cerner les tendances, comme le temps moyen qu'il faut pour qu'une personne puisse répondre et quels types de ponctuation et de phrases provoquent généralement des réponses. Ils tentent également de détecter le sarcasme et les mots qui sont habituellement associées à des questions importantes. Ces données peuvent révéler, par exemple, si une relation stagne ou progresse. Reste que dans des environnements de communication très complexe, le défi de ces outils est également complexe. L'apprentissage machine peut provoquer des erreurs, des mauvaises interprétations, des recommandations qui semblent venir de nulle part. Promesse ou illusion ?
Aurialie Jublin

Billet : Que signifie manager en 2013 ? | Expectra - 0 views

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    "Dans ce cadre, le manager doit revisiter son rôle et assurer quatre missions : - Donner du sens à l'action collective, en permettant à chacun d'insérer ses activités dans une stratégie globale. Selon la parabole des maçons, chacun d'entre nous peut tailler des pierres, construire un mur ou bâtir une cathédrale. Tout dépend de la communication de celui qui détient les plans. - Faire converger les enjeux stratégiques de l'entreprise avec les compétences et aspirations de ses collaborateurs, en positionnant les bonnes personnes sur les bons projets au bon moment. Sachant qu'un développeur informatique est deux fois plus efficace lorsqu'il est motivé, autant lui confier un projet qui l'intéresse, parce qu'il lui permet de renforcer une compétence ou de découvrir une nouvelle technologie, - Proposer un environnement de travail, combinant attentes individuelles et valeurs collectives, permettant à chacun de donner le meilleur de lui-même. On pense immédiatement au télétravail dans le cas de personnes habitant loin de leur lieu de travail. Le manager doit néanmoins veiller au fait que répondre aux attentes (légitimes) individuelles ne crée pas une organisation bancale, ou une culture ne répondant plus aux valeurs de l'entreprise, - Arbitrer une décision quand - et seulement quand - cela est nécessaire. Par exemple, le choix de recruter ou non une personne supplémentaire au sein de l'équipe nécessite de croiser a minima des informations financières organisationnelles et stratégiques. Le manager est parfois le seul à détenir toutes ces informations."
Aurialie Jublin

Le télétravail prend son envol à Roissy - Conseil régional d'Île-de-France - 1 views

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    "Parce que les aéroports sont l'incarnation du nomadisme, Roissy dispose depuis début janvier de son tout premier lieu de télétravail. Installé au sein de la pépinière d'entreprises Aéropole, et situé au pied de la station de RER CDG 1, il met à disposition des « sans bureau fixe » différents espaces de travail (open space, salles de réunion, bureaux individuels, etc), le tout sur plus de 300 m². « Notre service s'adresse aussi bien aux salariés dont l'entreprise a mis en place le télétravail qu'aux travailleurs indépendants, explique Valérie Frémont, directrice d'Aéropole. Ils peuvent ainsi baigner dans un environnement professionnel et être au contact d'autres actifs. » "
Aurialie Jublin

WITE 2.0 - Plateforme unifiée de travail à distance - 0 views

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    Wite 2.0 (WorkITEasy) est un programme de recherche et d'innovation soutenu par le Fonds Unique Interministériel (FUI). C'est un programme multipartenarial (Chronos, Ayos, Insia, Télécom ParisTech, Citica, Sereho) autour de la création d'une plateforme technique dédiée au travail à distance. L'objectif étant de développer un environnement de télétravail unifié, basé sur la virtualisation, la communication instantanée et l'interopérabilité des systèmes. Ce projet de deux ans qui a démarré en décembre 2010 est labellisé par le pôle de compétitivité Advancity.
julien camacho

Comment les nouvelles méthodes de travail affectent le lieu de travail ? - 0 views

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    Il y a beaucoup de raisons pour lesquelles nos habitudes de travail ont changé. L'intellectualisation du travail, les nouvelles technologies, l'émergence de salariés connectés, et la mondialisation sont les principaux moteurs de ce changement. Chacun de ces paramètres alimente et est alimenté par les autres. Les entreprises et les salariées doivent ainsi constamment s'adapter à de nouvelles méthodes de travail, leur environnement est le reflet de ces évolutions ?
Aurialie Jublin

L'encadrement en première ligne sur les conditions de travail - 0 views

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    L'Agence nationale pour l'améliorartion des conditions de travail (Anact) vient de présenter les résultats du sondage sur la place accordée à l'expression des salariés sur le travail et les conditions de travail dans l'entreprise. Les conditions de travail (environnement de l'activité, allongement de la vie au travail, santé au travail, risques psychosociaux, troubles musculo-squelettiques, organisations du travail…), on en parle de plus en plus. Entre collègues (notamment dans les petites entreprises), avec le manager de proximité mais également en dehors de la sphère professionnelle (famille, amis). Cependant, ''cette fréquence de discussion n'implique pas de mauvaises conditions de travail dans l'entreprise'' remarque l'Anact : 86% des sondés indiquent qu'elles sont bonnes ! Surprise : les mauvaises conditions perçues sont plus fréquentes dans les très grandes entreprises. Sans surprise, ce sont les plus de 50 ans qui relèvent les dégradations.
Aurialie Jublin

Les programmeurs ne sont pas des branleurs ! - Framablog - 1 views

  • Je dirais qu’avoir l’air de travailler dur est souvent un signe d’échec. Le développement logiciel est souvent mal fait dans un environnement sous pression et dans lequel on est souvent interrompu. Ce n’est généralement pas une bonne idée de travailler de longues heures. Quelquefois, la meilleure façon de résoudre un problème est d’arrêter d’y penser, d’aller prendre l’air, ou encore mieux, de prendre une bonne nuit de sommeil et de laisser faire notre subconscient.
  • J’aimerais dire aux manageurs de juger les gens en regardant leurs résultats, leurs logiciels qui tournent bien, et non en regardant si les programmeurs ont l’air de travailler dur. C’est contre-intuitif, mais il est sans doute préférable de ne pas vous assoir tout près de vos développeurs, vous pourrez ainsi avoir une meilleure idée de ce qu’ils ont produit, sans être affecté par des indicateurs conventionnels ou intuitifs. Le travail à distance est particulièrement bénéfique ; vous devez apprécier vos employés pour leur travail, plutôt que par la solution de facilité qui consiste à les regarder assis à leur bureau 8 heures par jour, martelant de façon lancinante sur leur IDE, ou se pressant autour du bureau des autres pour offrir des suggestions « utiles ».
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    "Le travail intellectuel des programmeurs souffrirait-il d'un manque de visibilité et de reconnaissance aux yeux d'une logique managériale qui cherche à mesurer le travail effectif avec des critères dépassés ? C'est ce que laisse entendre ce témoignage qui au détour d'une plaisante anecdote met l'accent sur un relatif malaise d'une profession qu'il est difficile de cerner de l'extérieur, et même de l'intérieur d'une entreprise."
Chamila Puylaurent

Un RSE, le meilleur environnement pour travailler seul ? - 0 views

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    "Mais faut-il écarter les introvertis, fort de leur travail personnel et de leur pouvoir de concentration, indispensables à la phase d'exploration ? Quid alors de l'adéquation entre nos actions en solo et de nos travaux en équipe ?"
Aurialie Jublin

Deloitte - enquête WorkPlace Survey - 0 views

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    Seuls 53% des utilisateurs estiment que leur environnement de travail leur permet de travailler de façon productive
Aurialie Jublin

Etre tout le temps connecté : marque d'une organisation défaillante - 2 views

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    "le télétravail c'est travailler dans un environnement plus propice à sa productivité, pas emmener chez soi ce qu'on n'a pas eu eu le temps de faire au bureau."
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