Même Accenture a dû revoir sa méthode, qui avait été poussée à l’extrême : il fallait réserver à l’avance sur l’Intranet un créneau horaire. Une place en open space était alors attribuée de manière aléatoire.
Difficile de manager dans ces conditions, se souvient un ancien cadre dirigeant :
« Comme l’équipe se retrouvait éclatée, nous échangions par e-mail. J’ai mis quatre mois à croiser tous mes collaborateurs. En fait, personne ne se connaissait plus dans l’entreprise.
D’ailleurs, on repérait facilement les nouveaux, ils disaient “bonjour” quand ils entraient dans l’ascenseur. »