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Christophe Duret

Internet - Reporters sans frontières - 0 views

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    Des articles portant sur les atteintes à la liberté d'expression sur Internet.
Christophe Duret

Le CSA revient à la charge pour réguler Internet - 0 views

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    Le CSA continue d'avancer ses pions en matière de régulation du net. Une campagne télévisée sera bientôt diffusée sur les chaînes de télévision. À cette occasion, le Conseil supérieur de l'audiovisuel adaptera son discours pour se présenter comme l'organe idéal pour accompagner, encadrer et réguler Internet.
Christophe Duret

Cour de Justice de l'Union européenne : la censure au nom du copyright viole ... - 0 views

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    La Cour de Justice de l'Union européenne vient de rendre une décision historique dans l'affaire Scarlet Extended, cruciale pour le futur des droits et libertés sur Internet. Dans son arrêt, la Cour indique que forcer les fournisseurs d'accès Internet à surveiller et à bloquer les communications de leurs abonnés viole le droit communautaire, et notamment la liberté de communication.
Christophe Duret

ACTA: s'informer et agir ! | La Quadrature du Net - 1 views

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    Vidéo dénonçant l'Accord commercial anti-contrefaçon (ACTA) et ses dangers pour la liberté d'expression sur Internet. Par Benoît Musereau.
Christophe Duret

Pirates de la vie privée, ou la carte au trésor de l'île Internet | Blog Seri... - 0 views

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    Un seriousgame pour apprendre aux enfants de 7-9 ans à protéger leur vie privée
Christophe Duret

Contourner la traçabilité - 0 views

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    Brian Gladman est un ancien directeur des communications électroniques stratégiques du ministère de la Défense britannique et de l'OTAN. Ian Brown, un cryptographe anglais membre de l'ONG Privacy International. En l'an 2000, ils rendaient public un texte expliquant comment contourner, en toute légalité, les diverses mesures de "cybersurveillance" adoptées par les législateurs. Ces techniques s'avéreraient en effet "techniquement ineptes et inefficaces à l'encontre des criminels" et risqueraient, a contrario, de "saper le droit à la vie privée et à la sécurité des citoyens et du marché". Leur démarche est d'autant plus salutaire que les gouvernements se contentent généralement, au mieux, d'expliquer que toute action informatique laisse des traces, et que l'on est de toute façon surveillé (mais sans jamais, étrangement, expliquer comment s'en protéger), au pire, de passer des lois sécuritaires renforçant cette cybersurveillance, contribuant d'autant à créer un climat de peur, loin du climat de confiance nécessaire à toute démocratie. Mots clefs : internet, vie privée, sécurité, anonymat, pseudonymat, surveillance
Christophe Duret

Le Parlement Européen résolu à faire respecter la neutralité du net - 0 views

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    Les députés européens ont adopté jeudi 17 novembre une résolution demandant à la Commissaire européenne Neelie Kroes de préserver l'internet libre et ouvert en régulant son accès contre toute forme de restriction ou de censure de la part des opérateurs télécom.[...]
Christophe Duret

Le Sénat américain rejette un texte contre la neutralité du net - 0 views

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    Alors que la Chambre des représentants avait adopté au printemps une résolution hostile à la neutralité du net, le Sénat des États-Unis est allé dans le sens inverse. Les sénateurs ont rejeté cette semaine le texte, offrant à ce principe fondamental un répit bienvenu.[...]
Christophe Duret

[20minutes] Etats-Unis: Pourquoi les acteurs de l'Internet s'unissent contre un projet ... - 0 views

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    La France a ses Hadopi et Loppsi, les Etats-Unis pourraient bientôt avoir leur SOPA, le Stop Online Piracy Act. Ce projet de loi, qui veut lutter contre le piratage, a réussi à unir à peu près tous les acteurs de l'Internet américain contre lui.
Jon Snow

La science-fiction en prise avec le monde réel, par Valerio Evangelisti (Le M... - 2 views

  • La mondialisation de l’économie, le rôle hégémonique de l’informatique, le pouvoir d’une économie dématérialisée, les nouvelles formes d’autoritarisme liées au contrôle de la communication, tous ces thèmes paraissent laisser indifférents les écrivains de la « grande littérature », du moins en Europe. Dans la plupart de leurs romans, le monde semble immuable. Dominent les histoires intimistes, qui auraient pu se passer il y a cinquante ans - ou qui pourraient se produire dans cinquante ans... Amours, passions et trahisons perpétuent leur consommation sous une lumière tamisée, dans un monde aux couleurs pâles et aux fragrances de poussière et de talc. Certes, il y a quelques exceptions ; mais, la plupart du temps, le cadre général est immodérément « minimaliste ».
  • Certes, la littérature « blanche » traîne derrière elle son antithèse, le roman noir. Ici la rue, le conflit, l’urbain, le social jouent un rôle important. N’ont en revanche aucun rôle, sauf dans de rares cas, les structures planétaires du système, les évolutions historiques, les mutations psychologiques et comportementales qu’engendre le développement technologique. Les événements se réduisent au conflit entre quelques individus animés par d’éternelles passions : haine, vengeance, amour, soif de justice. Le « maximalisme » du cadre se dissout dans le « minimalisme » du traitement : policier corrompu ou douteux ou honnête contre criminel honnête ou douteux ou corrompu. Pas toujours mais assez souvent. Cependant, le système dans son ensemble est mis en cause. En fait, il s’agit d’un « minimalisme » plus large, ou d’un « maximalisme » réduit. Deux pas en avant pour un en arrière.
  • Tandis que la « grande littérature » se complaît à ignorer tout cela, la littérature des « étages inférieurs » a fait de l’époque son objet de prédilection. Je fais là allusion à la science-fiction. Pas à toute la science-fiction, bien entendu, car la pacotille abonde en ce domaine. Mais, par nature, le genre est « maximaliste » et incline à traiter de vastes sujets : peinture des mutations à large échelle, dévoilement de systèmes occultes de domination, dénonciation des effets tragiques ou bizarres de la technologie, invention de sociétés alternatives. De même qu’il pouvait arriver au plus balourd des spaghetti-westerns d’inclure des moments de cinéma de qualité, le moins lisible des romans de science-fiction peut contenir de grandes intuitions. Même s’il s’égare dans des aventures sans autre but qu’elles-mêmes, dans des portraits psychologiques bâclés, dans des simplifications d’historiette infantile. Mais le « minimalisme » lui reste à jamais intolérable. Il est étranger à son code génétique. Seule la science-fiction présente des descriptions réalistes (oui, réalistes !) du monde où nous vivons. Ainsi, quel autre genre littéraire a-t-il jamais consacré un roman aux mécanismes des crises économiques ? Aucun.
  • ...3 more annotations...
  • Toujours dans le registre des hallucinations : un auteur italien de science-fiction, Vittorio Curtoni, a écrit il y a une vingtaine d’années une série de récits sur le thème d’une guerre du futur. Les protagonistes avaient recours à des armes psychédéliques, ce qui générait une humanité impuissante à distinguer le vrai du faux, incapable de se considérer comme appartenant à un tout solidaire... Ceux qui se souviennent encore du raz-de-marée de désinformation dispensé par les sources les plus fiables, lors de la guerre du Golfe et de la guerre du Kosovo, ont compris de quoi il s’agit : les nouveau-nés arrachés à leur couveuse par les hommes de Saddam Hussein, les 700 enfants kosovars enlevés pour donner leur sang aux soldats de Milosevic... Autant de fausses informations, qui nous conduisent à penser que la guerre des hallucinations a déjà commencé.
  • Le courant cyberpunk, encore actif il y a une dizaine d’années, en est l’exemple principal. Pour la première fois dans l’histoire, et bien avant les développements actuels d’Internet, de nombreux écrivains prenaient comme thème de leurs romans cette forme de relation entre l’homme et la machine qu’est l’informatique. S’agissait-il de romans « fantastiques », éloignés du réalisme considéré comme la forme littéraire privilégiée ? Permettez-moi d’en douter. Quand Internet s’est imposé, les œuvres de William Gibson, Bruce Sterling, Rudy Rucker et d’autres ont fourni à la nouvelle réalité les termes adaptés pour la décrire, et une carte de ses avenirs potentiels. Mieux encore, ils ont montré aux opposants la voie de la résistance, culturelle et pratique, face aux menaces contenues dans l’émergence d’un réseau de communication omniprésent et capable de reproduire les rapports de domination sur le terrain trompeur de l’immatériel. De leur propre aveu, des membres de l’extrême gauche européenne ont créé sous l’influence des récits cyberpunk le réseau European Counter Network (ECN) ; ils furent les premiers à utiliser la vitesse du nouveau système d’information pour coordonner leurs actions. Les centres sociaux des jeunes révoltés se sont remplis de modems et d’ordinateurs, régulièrement détruits pendant les descentes de police. Les pirates informatiques ont mené de titanesques batailles individuelles contre les grands groupes économiques, ralentissant l’accès à la Toile et son assujettissement.
  • Toutefois, il ne faut pas s’attendre que la « grande littérature », le mainstream (si indifférent à la société qui l’entoure qu’il a fait du désengagement et du repli sur soi un critère de qualité), guide la résistance contre la colonisation de l’imaginaire. Il faut pour cela une narration « maximaliste », consciente d’elle-même, qui inquiète et ne console pas. La science-fiction l’était. Elle peut l’être à nouveau
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    Quelle littérature sait interroger la réalité présente ? Se confronter au pouvoir moderne, à son anonymat, à la multiplicité de ses réseaux ? Prendre la mesure du rayonnement doctrinaire, de la machine du contrôle social, de l'envergure planétaire des ambitions ? En jouant avec les systèmes-mondes, en manipulant les hypothèses, la science-fiction constitue un de ces laboratoires où se lisent l'intime composition chimique du monde actuel... et les forces qui le feront entrer en explosion.
Christophe Duret

Notre identité numérique en 2025 ? - 0 views

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    La nécessité d'être constamment relié aux services de contrôle en ligne pour réduire les risques, et la volonté de ne plus avoir à se soucier des outils de communication que nous risquons toujours de perdre favoriseront le mode des implants sous la peau. Comment, avec un tel dispositif, pourrons-nous accéder nous-mêmes aux informations si les implants communiquent directement avec les systèmes de contrôle en ligne ? Le tiers de confiance sera l'organisme qui gèrera la relation entre le client et le fournisseur de services. Il aura accès aux données personnelles biométriques de chacun stockées dans son implant, parce que ce dernier l'aura autorisé à le faire, à l'inverse de la police, de la justice et du fisc qui auront accès de plein droit à ces informations. Le tiers de confiance aura obligation de ne pas révéler les données personnelles du client aux fournisseurs de services. Par contre, il pourra certifier auprès des fournisseurs que le client est solvable, qu'il a droit à tel tarif lié à son âge, etc.
Christophe Duret

Google complies with 93 percent of US government requests for user data -- Government C... - 0 views

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    Les requêtes gouvernementales auprès de Google pour l'obtention de données personnelles d'internautes sont en hausse, tout comme les demandes pour l'effacement de contenus. Au top de la liste: Les États-Unis, suivis par l'Inde.
Jon Snow

Michel Serres - Les nouvelles technologies : révolution culturelle et cognitive - 1 views

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    Les nouvelles technologies nous pousseraient à devenir plus intelligents, créatifs selon ce philosophe français. En opposition avec la croyance que c'est le contraire qu'il se passe: à savoir un abêtissement des utilisateurs de ces technologies. A creuser.
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