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Christophe Duret

Activité C - Un oeil sur les médias: Les robots sociaux et l'opinion publique... - 1 views

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    Quelques théories communicationnelles pour expliquer comment les robots sociaux pourraient modeler l'opinion publique
Christophe Duret

Quand la CIA surveille Facebook et Twitter - - Le Nouvel Observateur - 0 views

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    Les réseaux sociaux sont surveillés par la CIA. L'information soulève des questions quant à la défense de la vie privée des citoyens par les autorités. Par Boris Manenti
Christophe Duret

Des chercheurs canadiens mettent au jour des vulnérabilités de Facebook |  Bl... - 0 views

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    Des robots sociaux créent de faux profils sur Facebook pour récolter les données personnelles de ses usagers. Par Vincent Grou.
Christophe Duret

Un oeil sur les médias: QUELQUES CONSEILS POUR NE COMMUNIQUER QU'AVEC DES ÊTR... - 0 views

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    Sur les robots sociaux (socialbots) et les plateformes sociales
Christophe Duret

Un oeil sur les médias: MON AMI EST UN ROBOT - 0 views

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Christophe Duret

Les adolescents attentifs à leur vie privée sur les réseaux sociaux - LeMonde.fr - 0 views

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    Sondage réalisé par TNS Sofres pour la CNIL et les associations Action innocence et UNAF auprès de 1 200 enfants et adolescents de 8 à 17 ans.
Christophe Duret

Souriez, vous êtes identifié | ReadWriteWeb French edition - 1 views

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    Reconnaissance faciale et réseaux sociaux.
Christophe Duret

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    Entretien avec Isabelle Falque-Pierrotin, présidente de la Commission nationale informatique et libertés (CNIL) à propos des enjeux liés à la vie privée dans les médias sociaux
Jon Snow

La science-fiction en prise avec le monde réel, par Valerio Evangelisti (Le M... - 2 views

  • La mondialisation de l’économie, le rôle hégémonique de l’informatique, le pouvoir d’une économie dématérialisée, les nouvelles formes d’autoritarisme liées au contrôle de la communication, tous ces thèmes paraissent laisser indifférents les écrivains de la « grande littérature », du moins en Europe. Dans la plupart de leurs romans, le monde semble immuable. Dominent les histoires intimistes, qui auraient pu se passer il y a cinquante ans - ou qui pourraient se produire dans cinquante ans... Amours, passions et trahisons perpétuent leur consommation sous une lumière tamisée, dans un monde aux couleurs pâles et aux fragrances de poussière et de talc. Certes, il y a quelques exceptions ; mais, la plupart du temps, le cadre général est immodérément « minimaliste ».
  • Certes, la littérature « blanche » traîne derrière elle son antithèse, le roman noir. Ici la rue, le conflit, l’urbain, le social jouent un rôle important. N’ont en revanche aucun rôle, sauf dans de rares cas, les structures planétaires du système, les évolutions historiques, les mutations psychologiques et comportementales qu’engendre le développement technologique. Les événements se réduisent au conflit entre quelques individus animés par d’éternelles passions : haine, vengeance, amour, soif de justice. Le « maximalisme » du cadre se dissout dans le « minimalisme » du traitement : policier corrompu ou douteux ou honnête contre criminel honnête ou douteux ou corrompu. Pas toujours mais assez souvent. Cependant, le système dans son ensemble est mis en cause. En fait, il s’agit d’un « minimalisme » plus large, ou d’un « maximalisme » réduit. Deux pas en avant pour un en arrière.
  • Tandis que la « grande littérature » se complaît à ignorer tout cela, la littérature des « étages inférieurs » a fait de l’époque son objet de prédilection. Je fais là allusion à la science-fiction. Pas à toute la science-fiction, bien entendu, car la pacotille abonde en ce domaine. Mais, par nature, le genre est « maximaliste » et incline à traiter de vastes sujets : peinture des mutations à large échelle, dévoilement de systèmes occultes de domination, dénonciation des effets tragiques ou bizarres de la technologie, invention de sociétés alternatives. De même qu’il pouvait arriver au plus balourd des spaghetti-westerns d’inclure des moments de cinéma de qualité, le moins lisible des romans de science-fiction peut contenir de grandes intuitions. Même s’il s’égare dans des aventures sans autre but qu’elles-mêmes, dans des portraits psychologiques bâclés, dans des simplifications d’historiette infantile. Mais le « minimalisme » lui reste à jamais intolérable. Il est étranger à son code génétique. Seule la science-fiction présente des descriptions réalistes (oui, réalistes !) du monde où nous vivons. Ainsi, quel autre genre littéraire a-t-il jamais consacré un roman aux mécanismes des crises économiques ? Aucun.
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  • Toujours dans le registre des hallucinations : un auteur italien de science-fiction, Vittorio Curtoni, a écrit il y a une vingtaine d’années une série de récits sur le thème d’une guerre du futur. Les protagonistes avaient recours à des armes psychédéliques, ce qui générait une humanité impuissante à distinguer le vrai du faux, incapable de se considérer comme appartenant à un tout solidaire... Ceux qui se souviennent encore du raz-de-marée de désinformation dispensé par les sources les plus fiables, lors de la guerre du Golfe et de la guerre du Kosovo, ont compris de quoi il s’agit : les nouveau-nés arrachés à leur couveuse par les hommes de Saddam Hussein, les 700 enfants kosovars enlevés pour donner leur sang aux soldats de Milosevic... Autant de fausses informations, qui nous conduisent à penser que la guerre des hallucinations a déjà commencé.
  • Le courant cyberpunk, encore actif il y a une dizaine d’années, en est l’exemple principal. Pour la première fois dans l’histoire, et bien avant les développements actuels d’Internet, de nombreux écrivains prenaient comme thème de leurs romans cette forme de relation entre l’homme et la machine qu’est l’informatique. S’agissait-il de romans « fantastiques », éloignés du réalisme considéré comme la forme littéraire privilégiée ? Permettez-moi d’en douter. Quand Internet s’est imposé, les œuvres de William Gibson, Bruce Sterling, Rudy Rucker et d’autres ont fourni à la nouvelle réalité les termes adaptés pour la décrire, et une carte de ses avenirs potentiels. Mieux encore, ils ont montré aux opposants la voie de la résistance, culturelle et pratique, face aux menaces contenues dans l’émergence d’un réseau de communication omniprésent et capable de reproduire les rapports de domination sur le terrain trompeur de l’immatériel. De leur propre aveu, des membres de l’extrême gauche européenne ont créé sous l’influence des récits cyberpunk le réseau European Counter Network (ECN) ; ils furent les premiers à utiliser la vitesse du nouveau système d’information pour coordonner leurs actions. Les centres sociaux des jeunes révoltés se sont remplis de modems et d’ordinateurs, régulièrement détruits pendant les descentes de police. Les pirates informatiques ont mené de titanesques batailles individuelles contre les grands groupes économiques, ralentissant l’accès à la Toile et son assujettissement.
  • Toutefois, il ne faut pas s’attendre que la « grande littérature », le mainstream (si indifférent à la société qui l’entoure qu’il a fait du désengagement et du repli sur soi un critère de qualité), guide la résistance contre la colonisation de l’imaginaire. Il faut pour cela une narration « maximaliste », consciente d’elle-même, qui inquiète et ne console pas. La science-fiction l’était. Elle peut l’être à nouveau
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    Quelle littérature sait interroger la réalité présente ? Se confronter au pouvoir moderne, à son anonymat, à la multiplicité de ses réseaux ? Prendre la mesure du rayonnement doctrinaire, de la machine du contrôle social, de l'envergure planétaire des ambitions ? En jouant avec les systèmes-mondes, en manipulant les hypothèses, la science-fiction constitue un de ces laboratoires où se lisent l'intime composition chimique du monde actuel... et les forces qui le feront entrer en explosion.
Christophe Duret

Europe vs Facebook - 0 views

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    Sur cette page figure le détail des informations que Facebook détient et archive sur ses membres, par catégorie.
Christophe Duret

Un oeil sur les médias: Facebook vous connaît mieux que vous ne le croyez - 1 views

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    Comment Facebook viole votre vie privée en accumulant à votre insu des données personnelles sur vous.
Christophe Duret

Surveillance numérique - 0 views

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    Groupe consacré à la surveillance numérique sur Facebook. Joignez-vous à nous!
Christophe Duret

L'Allemagne s'attaque aux excès de Facebook - LeMonde.fr - 0 views

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    Facebook fait l'objet de poursuites en Allemagne pour atteinte aux libertés individuelles, en raison de ses usages en matière de données personnelles.
Christophe Duret

Facebook : la mémoire cachée- Ecrans - 0 views

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    Facebook archive l'ensemble des données personnelles fournies par ses membres: cette activité, légale aux États-Unis, viole la législation européenne sur la protection de la vie privée.
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