intelligentes dans leur gestion et leur développement en intégrant une gouvernance qui se veut plus participative
La notion de “Smart Cities” est originellement centrée sur la valeur ajoutée tirée de l’exploitation des nouvelles technologies au sein du développement des villes
Depuis quelques années, le concept de ville intelligente a supplanté celui de ville connectée (ou de ville 2.0)
l’usage des nouvelles technologies lui permettrait d’en augmenter les services, d’améliorer la gouvernance, de permettre une meilleure qualité de vie à ses citoyens ou d’en valoriser les ressources
Cette notion peut, entre autres, faire référence au développement durable de la ville (smart environment), à l’intégration des technologies de l’information et des communications dans la gestion des services (smart economy) et à la création d’espaces participatifs de collaboration et d’innovation (smart governance).
Encourager toute une communauté à travailler ensemble vers un même objectif est d’autant plus important que nécessaire pour l’obtention du statut ville équitable
conférences internationales : exposition universelle de Shanghai en 2010, Sommet mondial ÉcoCité de Montréal en août 2011, Smart city Expo de Barcelone en novembre 2011,
« Meilleure ville, meilleure vie »
ressources en eau
lutte contre les gaz à effet de serre et contre la pollution atmosphérique
L’Union européenne a estimé à 11 milliards d’euros les investissements publics et privés nécessaires pour permettre à 25 millions d’Européens de vivre dans des villes intelligentes
transformer la ville pour la rendre plus durable et donc plus vivable
, cette population se concentrant dans les zones périurbaines, très consommatrices de foncier et conduisant inéluctablement à une multiplication des déplacements du centre vers la périphérie
les villes sont vulnérables au réchauffement climatique, qu’elles contribuent à favoriser
, la commune de Romainville (Seine-Saint-Denis) s’est ainsi équipée d’un réseau sous-terrain de canalisations pneumatiques pour la récupération de ses déchets
ce n’est pas parce qu’il y a de nouveaux câbles et de nouveaux fils dans une ville que l’on voudrait y vivre
Une ville peut très bien accumuler les gadgets innovants sans rien changer.
bâtir une cité “réaliste”, à taille humaine
architectes et urbanistes qui œuvrent aux côtés des élus dans la transformation de la cité, pour la rendre vivable, loin des considérations simplement environnementales
mettre un terme à la ségrégation urbaine et à l’absence de mixité dans les quartiers
mettre un terme au modèle sectorisant la ville, au gré de l’exode rural, en trois grandes fonctions : habitat, travail, transports.
la ville idéale devrait parvenir à une mixité tout autant sociale que fonctionnelle