semanticgarden

On pourrait imaginer un algorithme, une autorité qui filtrerait cette information de manière sociale. Il existe déjà des stratégies de communautés, comme dans Pearltrees, des communautés de curators. Avec de l’algorithmie, on pourrait retourner vers un Wikio de la curation.

Ce qui me gêne dans le web sémantique, c’est la sémantique pure. Il faut la combiner avec du social. Dans le futur, je vois un intérêt pour les métriques socio-sémantiques. La sémantique pourrait simplifier l’accès au contenu, mais en pondérant tout cela par du social.

Michel Adam, Créateur d’entreprises solidaires et membre du Labo de l’Economie Sociale et Solidaire présidé par Claude Alphandéry :  « Modélisations fertiles en économie sociale »

Viviane COUZINET, LERASS, Université de Paul Sabatier, Toulouse 3 : Organisation des connaissances au regard des sciences de l'information et de la communication : une exception française ?

le discours des données ouvertes emprunte tous les ressorts rhétoriques des dynamiques d’individualisation du web social pour imaginer un utilisateur qui cherche et dessine sa propre histoire à l’intérieur de bases de données “agnostiques”.

17h15-18h00 : Corinne Enaudeau – « Racines et déracinement de la représentation. »

9h30-10h15 : Michel Olivier – « Trace morpho-sémantique de l'Idée de l'infini. »

laisser la nature agir

Il s'agit d'un biologiste et philosophe de la vie animale, Georges Chapouthier, et d'un spécialiste de l'intelligence artificielle et de la robotique évolutionnaire, Frédéric Kaplan.

Nous faisons l'hypothèse que sous ce terme encore peu usuel se coactivent, dans une symbiose de moins en moins « séparable » (pour reprendre le mot emprunté à la physique évoqué plus haut), des processus biologique, des processus anthropologiques et des processus technologiques.

La « double hélice » de la grammatisation

L’enjeu de la grammatisation des relations via les technologies relationnelles reste donc de ne pas se faire déposséder du nécessaire réajustement qui est en train de se faire.

le Web 2.0 engendre en tout cas une diversification des rapports à la culture, créant parfois une « culture mosaïque » : une variété toujours plus importante de formats de réception, de participation et d'action, permettant de reconstituer des bouquets de savoirs traditionnellement dispersés

Emilie Bouvard (Paris I) et invités : « Géographie et art contemporain, de la carte au territoire ». Table ronde et discussion

Marie Cottrell (U-Paris1, UFR Mathématiques et Informatique), Les cartes de Kohonen : principes et usage en sciences sociales

10h30. Francesco Beretta (LAHRHA – Lyon-II), SyMoGIH : une méthode de modélisation, de stockage et d'exploitation de l'information historique.

13h00. François Bouillé (ENSG), HBDS un langage de modélisation topologique.

L'idée est que l'utilisateur nourrisse la machine d'informations personnelles de manière volontaire. Le but est que la machine connaisse parfaitement les habitudes de l'utilisateur, au point de pouvoir non plus seulement répondre correctement à une requête, mais à pouvoir formuler la requête en avance, voire même suggérer des requêtes à l'utilisateur. « Cela fait autant peur que c'est excitant » : cette vision où la personne s'abandonne à la machine pour paradoxalement mieux se révéler en tant que personne rappelle en effet les meilleures œuvres de science-fiction… à ceci près que les technologies (sémantique, synthèse vocale, géolocalisation, NFC…) sont là.

11h25-12. 05 : Bernard CONEIN (University of Nice and GSPM) - “How open models and digital communications affect knowledge acquisition ?”

Multiplicity of points of view : Twitter+RSS feeds + Opinion Aggregators

KronoMiner: Using Multi-Foci Navigation for the Visual Exploration of Time-Series Data

17h30 : Gaël CLOITRE, Université de Bourgogne : Le corpus bachelardien et les arbres de connaissance.

11h45 : Renato BOCCALI, Université de Milan : Géométries ontologiques de l’espace onirique. Sur la topologie et la dynamique du rêve.

CONTINUEZ A OUBLIER CE QUE VOUS LISEZ. Continuez à mélanger, à surimprimer, à confondre les époques, les héros, les intrigues, les meurtres, les poèmes. Continuez à avoir la tête en feu et le cerveau en coton. Il n’y a pas de mémoire des livres. Ceux-ci meurent dès qu’on les a terminés. Ils meurent sur chaque lecteur consommé et renaissent avec le suivant. Il n’y a pas de mémoire des livres, juste la mémoire du lecteur. C’est une des règles sacrées de la médecine littéraire : toujours considérer l’homme derrière la page.

10 Bihanic David and Polacsek Thomas Contribution du design à l’ingénierie des systèmes complexes : étude des apports du design d’interface pour l’ingénierie des modèles

33 Alexis Drogoul, Jean-Daniel Zucker, Guillaume Hutzler and Duc-An Vo Un langage de modélisation multi-échelles pour représenter et spécifier les structures émergentes dans les modèles à base d'agents

53 Thierry Poibeau, Jean-Philippe Cointet, camille Roth and David Chavalarias Caractériser les contenus du web social

A. Cayla : Visuellement, c'est un défi. Personnellement, j'envisage un bouton "En apprendre plus" qui se placerait sur le côté d'un article et qui présenterait sur une nouvelle page et de manière automatique plus d'informations sur une personne ou une organisation évoquée dans le texte.