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Faire levier de l'intelligence collective « InternetActu.net - 0 views

  • Tyze est un système qui permet d’approfondir les relations sociales plutôt que les étendre, comme le proposent la plupart des réseaux sociaux, en s’intéressant à comment approfondir les réseaux de soutien de personnes dépendantes comme les handicapés ou les personnes âgées.
    • lucky semiosis
       
      en étendue, en profondeur ou les deux...
  • Le silence permet aussi de réfléchir. Il nous faut des technos qui nous aident à retrouver le silence et aussi des technos qui nous aident à accélérer le flux de données. Nous avons besoin d’être à la fois rapides et lents, ouverts et fermés, tout le temps connectés et déconnectés.
  • Beaucoup de choses ne vont pas fonctionner dans l’intelligence collective. Ces initiatives doivent accepter l’échec, expérimenter. L’intelligence collective comme toutes les intelligences a besoin de grammaires, de structures… Et c’est à nous de comprendre celles qui fonctionnent le mieux.”
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L. Boi, Morphologie de l'invisible - 0 views

  • Les opérateurs d'une pensée plastique sont ici conçus comme des dispositifs d'une sémiodynamique de l'espace et du temps qui, dès lors, peut être envisagée comme l'étude des analogies et des homologies complexes entre les formes et leurs significations.
    • lucky semiosis
       
      comment dire mieux le credo de l'ingénieurie des connaissances
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La chaîne alimentaire des médias » OWNI, News, Augmented - 0 views

  • L’analogie entre chaînes alimentaires et médias résisterait-elle à une analyse plus détaillée des mécanismes spécifiques ? Bien sûr que non. Mais la métaphore est toujours intéressante pour décrire l’environnement médiatique de plus en plus inter-connecté et la double nature de ses acteurs.
    • lucky semiosis
       
      oui, il convient de cerner au mieux les contours de l'interprétation
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Compte-rendu de Mathématiques et sciences de la nature ; la singularité physi... - 0 views

  • On voit donc que l'extension du cadre épistémologique mathématico-physique à la biologie n'est pas simplement un exercice d'école de la part des deux auteurs : il relève bien d'une nécessité propre à l'évolution des sciences de la nature et à leurs problèmes épistémologiques internes, en particulier celui de l'articulation problématique du déterminisme prédictif et du déterminisme non-prédictif auquel il faut faire appel pour rendre compte de l'idée de forme.
    • lucky semiosis
       
      cette même idée est aussi valide pour l'extension au science de l'information et permet une boucle méthodique : math -> physique -> bio -> info -> math ???
  • En termes de diagnostic tout d'abord, c'est bien sur le terrain de la biologie que se situe aujourd'hui la forme la plus aigue de cette incompatibilité puisque les deux points de vue y sont appliqués aux mêmes objets : tout ce qui est susceptible de s'apparenter à du codage dans le vivant relevant du déterminisme prédictif d'une part et tout ce qui a trait au développement environnemental des formes vivantes relevant déterminisme non-prédictif de l'autre.
    • lucky semiosis
       
      d'où l'intêret du jardin pour mettre en jeux cette relation paradoxale
  • L'articulation entre l'espace-temps continu du repérage géométrique externe et les variations énergétiques discrètes dépendant du système de coordonnées interne pose problème, comme en témoignent les effets de non-localité des particules quantiques identifiées à des champs de matière, effets qui défient complètement l'intuition. Le problème vient de ce que les mesures des évolutions physiques sont explicitées, de façon classique, par des nombres réels et que les évolutions sont bien, de ce fait, localement déterminées mais que ce sont des nombres complexes qui gouvernent les probabilités associées aux états quantiques discrets, et qui, de ce fait, ne se raccordent pas aux mesures continues des évolutions locales dans l'espace-temps puisque les champs de matière ne s'y réduisent pas à des singularités.
  • ...17 more annotations...
  • La fonction de régulation engage un temps de type itératif qui est celui des horloges internes propres à un individu, une espèce ou même un phylum. Il s'agit des cycles métaboliques, des battements cardiaques, des cycles de respiration, des durées de gestation et même de la durée de vie à travers tout le règne animal, qui semblent obéir à une loi d'échelle dans laquelle la durée d'un cycle se calcule en puissance ¼ de la masse de l'organisme considéré.
    • lucky semiosis
       
      constante naturelle pour un cycle vital
  • La différence capitale qui se fait jour entre la conception physique et la conception biologique du temps est donc que, dans le cas de la physique, la situation présente et future d'un système dépend exclusivement de la situation passée, et ce, même dans le cas des processus irréversibles, alors que, dans le cas biologique, intervient un tout autre régime temporel qui, loin de s'écouler selon une direction, semble plutôt actualiser des compossibles : c'est dans cette mesure que le temps est bien un observable, surplombant en quelque sorte toute transformation, qu'elle soit passée, présente ou à venir et non pas un simple paramètre qui rendrait compte d'un déroulement linéaire. Cette conception du temps permet de rendre explicite une dimension capitale de l'organisation propre au vivant : le champ des forces qui rend compte de l'apparition de formes vivantes n'est pas donné mais il est lui-même en voie d'auto-constitution.
  • il est par exemple possible de reproduire physiquement dans un champ magnétique au moyen de supraconducteurs sur un treillis l'arrangement spatial des feuilles sur la tige des plantes - selon la suite de Fibonacci, comme le veut la description phyllotaxique standard -, mais on ne donne encore, ce faisant, aucune raison de la dynamique évolutive qui a présidé à sa constitution.
  • D'une part, un argument empirique : encoder en une suite binaire la structure tridimensionnelle de toutes les protéines échangées dans les cascades post-synaptiques ou les flux biochimiques dans le système nerveux ou bien encore les déplacements de 1015 synapses dans le cerveau n'a proprement aucun sens informatique, compte tenu du nombre d'événements en jeu et sans même mentionner le problème physique de la dynamique évolutive des formes évoqué à l'instant. D'autre part, un argument physique : si le codage binaire doit aller jusqu'au niveau micro-physique, alors le niveau supposé ultime est celui de la mécanique quantique. Mais dans ce cas, on doit quitter le domaine du déterminisme prédictif et on perd, du même coup, tout le bénéfice d'une stratégie réductionniste qui fait de la détermination prédictive son idéal épistémologique.
    • lucky semiosis
       
      comment expliquer plus clairement le leurre de l'intelligence artificielle !!!
  • c'est la dimension topologique de l'élémentaire qui doit orienter la recherche des principes transcendantaux rendant compte de l'espace-temps propre au vivant.
  • S'il y a une leçon sur l'espace et le temps que les sciences de la nature contemporaines peuvent nous apprendre, c'est bien la modernité des recherches finales du Kant de l'Opus posthumum (1804) qui retrouvait l'idée leibnizienne selon laquelle l'espace et le temps ne s'opposent pas, respectivement, comme les formes du sens externe et du sens interne mais que le partage doit dorénavant être conçu autrement : l'espace et le temps possèdent en eux-mêmes des formes intrinsèques, ce qui implique de concevoir le rapport externe / interne au sein même de l'objet, le sens externe régissant les relations entre objets et le sens interne les conditions de possibilité de l'individuation de l'objet.
  • épistémologiquement, le renouvellement de la distinction entre sens interne et sens externe fait que l'espace-temps n'apparaît plus sous l'aspect d'une intuition homogène propre aux conditions de possibilité de la détermination de l'objet en général mais qu'il relève lui-même d'une construction, variable selon le type d'outils théoriques sollicités.
  • un premier groupe d'invariants biologiques composé de deux types apparaît : analogique quand des organes différents convergent par pression de sélection vers des formes semblables ayant des fonctions identiques et homologique quand un même organe évolue dans des formes différentes mais dont l'origine commune reste pourtant reconnaissable.
  • les auteurs caractérisent tout organisme vivant à partir de quatre points de vue : le point de vue topologique fondé sur la distinction entre intérieur et extérieur ; le point de vue énergétique fondé sur la notion de métabolisme ; le point de vue informationnel fondé sur la notion de patrimoine génétique ; le point de vue que l'on pourrait qualifier d'aptatif-adaptatif fondé sur la possibilité d'une transmission de ce patrimoine tout en restant doté d'une aptitude à l'évolution.
  • l'idée de patrimoine informationnel ne se retrouve évidemment pas en physique
  • Le pivot de l'arithmétisation prédictible du monde repose donc sur l'idée que l'effectivité du calcul au niveau informatique correspond à la matérialité des processus présents dans la réalité physique.
  • Et si l'on s'en tient, dans la mesure des conditions initiales, à des valeurs exactes réitérables parce que c'est ce qu'impose la discrétisation arithmétique propre à l'informatique, alors on assure une trop grande stabilité de l'évolution des systèmes physiques et on perd radicalement en intelligibilité dans la description de certains phénomènes critiques qui deviennent proprement invisibles  : qu'on songe aux orbites trop régulières du système solaire reconstruit informatiquement ou même aux oscillations pour toujours identiques d'un double pendule, à partir de conditions initiales à jamais inchangées, alors qu'il s'agit en réalité d'un système chaotique.
  • Le rôle de l'informatique et des mathématiques discrètes qui en constituent l'ossature est donc bien de simuler des phénomènes physiques mais elle ne peut jouer de rôle constituant, au sens que ce terme prend en physique, dans la mesure où l'informatique ne rend pas intégralement raison des différents régimes de causalité propres à la physique.
  • Les auteurs proposent alors, pour la rendre intelligible, une schématisation dynamique composée de trois types d'éléments : des domaines-sources, qui représentent les organes mobilisables en vue d'un but ; des domaines-cibles qui sont les buts à remplir et des flèches qui représentent les modes de fonctionnement des organes en vue des buts assignés.
    • lucky semiosis
       
      on retrouve les trois niveaux spinozistes ?
  • Le schéma général topologico-métrique décrit un ensemble-cible composé de domaines-cibles, tous atteints par une flèche au moins, et un ensemble-source composé de domaines-sources d'où partent au moins une flèche vers un ou plusieurs domaines-cibles (le terme d'« ensemble » n'a pas ici de signification technique pas plus que celui de « flèche », qui ne représente pas une fonction au sens mathématique du terme). Plusieurs domaines-sources peuvent contribuer à un même domaine-cible au moyen de flèches assurant des transferts ; par exemple, les deux métabolismes, oxygène et glucose, assurent la régulation du tissu musculaire du cœur par des moyens de transport différenciés, plus important dans le cas du transfert d'oxygène que dans celui du glucose (outre le nombre et la direction des flèches, leur épaisseur peut donc varier pour un même domaine-cible). Un même domaine-source peut aussi contribuer à plusieurs domaines-cibles, comme dans le cas des cellules-souches et plus généralement, dans tous les cas où des potentialités vont finir par s'exprimer au cours du développement.
    • lucky semiosis
       
      la représentation allégorique de ce schéma semble correspondre à une cardinalité naturaliste...
  • La notion de finalité contingente peut alors être représentée comme une structure abstraite, composée d'un triplet (domaines-source, flèches, domaines-cible), munie d'une mesure indexée sur les nombres réels (rendant compte de l'épaisseur relative des flèches) et assurant une stabilité structurelle des domaines-cible (c'est-à-dire pour lesquels l'épaisseur des flèches est non nulle). Le schéma peut alors servir à décrire les grands processus dynamiques du vivant, en particulier le régime de « développement » et le régime « stationnaire » : le début du développement se caractérise par la prévalence des flèches partant d'un domaine-source vers plusieurs domaines-cible qu'elles contribuent à créer (comme dans le cas de la différenciation des tissus, ou des systèmes anatomique et physiologique) ; ces flèches maigrissent au fur et à mesure du développement tandis que commencent à prendre de l'importance les flèches partant de plusieurs domaines-source pour aboutir à un domaine-cible (établissement des fonctions). Une fois la maturité atteinte, c'est-à-dire une fois une topologie stabilisée, le vieillissement se manifeste de façon métrique par la variation de l'épaisseur des flèches. On remarque alors que les flux allant dans le sens source-cible ont principalement un caractère énergétique (transferts de matière ou d'énergie), tandis que les flux allant dans le sens cible-source ont un caractère d'information (gradients, différence de pression) rétroagissant sur la source, la direction des flèches permettant de représenter cette différence de sens.
    • lucky semiosis
       
      voilà une belle sémantisation des principes de croissance de l'agent allégorique
  • Ces propositions relèvent de la science en train de se faire et elles seront, en tant que telles, soumises à discussion, réélaboration et critique, comme toutes les propositions conceptuelles nouvelles dans le cadre de l'élaboration scientifique. Sans préjuger de leur destin qui appartient à la communauté en question, ce travail de commentaire a eu pour but de participer à leur mise en circulation.
    • lucky semiosis
       
      faut-il parler d'une science allégorique ?
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Technologie et anthropologie - 0 views

  • il ne fait aucun cas des travaux de Leroi-Gourhan qui montrent la possibilité d'étendre aux objets fabriqués par les hommes les méthodes et les principes utilisés pour décrire les êtres vivants. Comme si la biologie était seulement affaire de code génétique et de traitement de l'information par les neurones, alors qu'elle est surtout affaire d'auto-organisation et de stabilité structurelle des formes vivantes.
    • lucky semiosis
       
      donc pourquoi ne pas gérer les connaissance comme on gère un jardin ?
  • l'efficacité dite "symbolique" des rituels serait, comme celle des outils, une fonction de leur forme, c'est-à-dire avant tout de leurs propriétés topologiques et géométriques (situation et structure des lieux cérémoniels, répartition dans l'espace, gestes et déplacements des acteurs, etc.).
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Vacarme / la matière des idées - 0 views

  • J’ai grandi dans un milieu écossais et protestant, où l’idée de couper une branche de pommier en fleurs horrifiait, et où j’entendais dire qu’« au fond, les fleurs sont plutôt des œufs. »
    • lucky semiosis
       
      la promesse d'une vie qui continue...

Instant Fix Slow Computer Solutions - 0 views

started by paul silmonet on 12 Jun 11 no follow-up yet
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Pourquoi 600 millions de personnes se sentent à l'aise dans l'esprit de Mark ... - 0 views

  • Zuckerberg s’est lancé dans un développement sur ce qui faisait selon lui les deux composantes de l’ADN de Facebook. Ces deux composantes étant pour lui la technologie et le social.
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      facebook est un écosystème d'information
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"L'intelligence adventive" des réseaux sociaux : comment ils essaiment... sou... - 0 views

  • Génie végétal   La science infuse des plantes, anticipant sur celle des hommes pour conquérir stratégiquement le globe : quelle magnifique intuition poétique ! Et quel remarquable paradigme de la prolifération en réseau.
    • lucky semiosis
       
      usons la métaphore mais pas jusqu'à la corde...
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d3.js ~ For Protovis Users - 0 views

  • D3 and Protovis also share the same goal: to enable you, the web developer (however experienced you may be), to build custom visualizations in the browser with a minimum amount of effort. Not “zero” effort, certainly—but at least to alleviate the repetive burden of common tasks, while retaining the expressiveness needed for custom designs. D3 is not a charting library!
    • lucky semiosis
       
      Faille du fort, effort du faible...
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REGARDS SUR LE NUMERIQUE: Blog - Paul Mathias : entretien avec un philosophe ... - 0 views

  • Ce qu’on peut espérer voir se développer, ce sont des manuels modularisés, adaptés à des parcours scolaires très différenciés, permettant le suivi personnalisé des élèves et un enrichissement par le professeur des contenus mis à disposition par les éditeurs. Le manuel de demain n’est pas seulement plus interactif mais c’est un dispositif dont la modularité pourra être exploitée et co-produite par un éditeur, des professeurs et même, partiellement, des élèves, en fonction des publics et des besoins pédagogiques rencontrés.
    • lucky semiosis
       
      petit à petit, cultiver son jardin...
  • A mes yeux, c’est la première structure vraiment officielle dotée d’un vrai budget, offrant la possibilité d’une recherche de fond sur la question. Certes, il y a les universités d’infocom. Mais avant les labs, il n’existait aucun dispositif interdisciplinaire pointu et convenablement financé visant un travail de recherche sérieux avec un horizon pratique affirmé.
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Calenda - Corpus, données, modèles : approches qualitatives et quantitatives - 0 views

  • 11h30-12h00 Addeo Felice et Diana Paolo "Telling Stories": a mixed approach in collecting and analyzing data on values
    • lucky semiosis
       
      raconter une histoire pour comprendre le sens...
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25 ans d'Arts et Technologies de l'Image - 0 views

  • 18h30 - Camila Eslava - Création d'un jardin interactif
    • lucky semiosis
       
      ils sont voisins et on en se connait pas
  • 13h30 - Gilles Deschaud - L’hybridation des techniques d’animation traditionnelle et numérique
  • 10h10 - Homeira Abrishami - Génération interactive des motifs persans
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L'avenir de la programmation (1/6) : programmer, une activité culturelle ? « ... - 1 views

  • la plupart des programmes, des interfaces, sont des métaphores. “Ce que les gens achètent lorsqu’ils achètent un système d’exploitation, c’est un ensemble de métaphores”.
    • lucky semiosis
       
      un programme qui donne vie aux symboles...
  • “Nous voulons établir l’idée que le langage informatique n’est pas seulement un moyen de réaliser des opérations, mais plutôt un nouveau médium formel permettant d’exprimer des idées concernant la méthodologie. Les programmes doivent d’abord être écrits pour être lus par les gens et seulement de manière secondaire pour être exécutés par des machines.”
  • “la pensée computationnelle invente les abstractions qu’elle manipule”.
  • ...1 more annotation...
  • Comment créer des simulations de systèmes complexes comme les réalités sociales ou écologiques ?
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Hack the CNN /-) » OWNI, News, Augmented - 0 views

  • écosystème médiatique
    • lucky semiosis
       
      le concept est de plus en plus ancré...
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L'embrayage nature culture: Synthèse du séminaire "L'embrayage nature/culture" - 0 views

  • C’est là une des propriétés fondamentales de tout organisme en général et du cerveau en particulier : la plasticité, qui, comme nous venons de le voir, est à mettre en relation avec leur capacité de modifier et adapter leurs structures internes et à transformer leurs relations synergiques complexes avec les milieux externes. La plasticité est précisément cette relation dynamique complexe de réciprocité, qui se construit à différentes échelles, entre le génotype et le phénotype, entre l’inné et l’acquis, entre la nature et la culture.
    • lucky semiosis
       
      jardiner c'est jouer avec la plasticité dans le respect des dynamiques internes et externes
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Calenda - Nature, norme et morale - 0 views

  • 14h Jean Wirth (Université de Genève) Image et imitation de la nature au XIIIe siècle
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      force de l'alchimie ?
  • 10h15 Danielle Jacquart (École Pratique des Hautes Études) Norme naturelle, norme religieuse : convergences et divergences
    • lucky semiosis
       
      vers une norme naturelle ?
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Grenoble, Universaux 9-13dec99 - 0 views

  • C’est en tout cas cette division tripartite de l’essence selon Avicenne que l’on va retrouver dans les trois états scotistes de l’être : l’état physique, qui nous donne l’essence dans le réel singulier, l’état logique, dans lequel l’essence est conçue par la pensée comme universelle ou singulière, l’état métaphysique enfin, qui correspond précisément à l’état de l’essence prise en elle-même, dans son état d’indétermination ou d’indifférenciation positive.
    • lucky semiosis
       
      Encore une fois on retrouve la tripartition simple et essentielle...
  • Affirmer que la Nature Commune n’est pas en elle-même universelle revient à admettre qu’en toute rigueur, il n’y a d’universalité que logique.
  • Si les universaux sont des choses, la logique est une physique; l’objection est d’Averroès et semble difficilement évitable. Mais si les universaux ne sont pas des choses, la physique n’est qu’une logique; l’objection est de Duns Scot et jamais on ne l’y fera renoncer:
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  • La Nature doit être contractée ou individuée dans l’individu existant ; de soi indéterminée, la Nature Commune est déterminée à la singularité par contraction dans l’individu.
  • Le monde des essences a une structure où elles viennent s’inclure en des unités qui les contiennent réellement, sans souffrir la perte que serait celle des formalités…
  • Les formalités et l’haecceité séparent ce que l’univocité unit 
  • Certes des prédicats tels que « animal », « blanc », « risible », et « rationnel » sont aussi appelés universaux ; mais de tels termes ne sont à strictement parler des universaux que dans la mesure où ils possèdent le caractère d’universalité : ils sont aptes à être prédiqués de plusieurs sujets. En ce sens, aucun universel n’existe dans les choses, parce que son objet est la relation du prédicat au sujet et que cette relation ne se produit que dans l’esprit.
  • Un vrai réaliste est simplement quelqu’un qui, pour reprendre l’expression du réaliste Peirce, « défend sa position en admettant que l’objet immédiat de la pensée dans un jugement vrai est réel »(8.17).
  • L’individu absolu non seulement ne peut pas être réalisé en pensée, mais il ne peut pas exister, à proprement parler. Car tout ce qui dure pour quelque temps, aussi bref soit-il, est susceptible de division logique, puisque, dans ce temps, il subira un changement quelconque dans ses relations. Or ce qui n’existe pas pour quelque temps, aussi bref soit-il, n’existe pas du tout.
  • Les individus ne sont que des fragments singuliers de systèmes.
  • es travaux de Peirce en logique l’ont en effet convaincu que les questions centrales sur les universaux ne concernent pas les qualités, mais les relations, lesquelles ne sont pas dérivées, mais constitutives de la définition du concept ou de l’essence de n’importe quel objet. Ce sont les relations qui sont premières, et non les qualités.
  • de temps à autre, et en particulier, lorsque le mystère tend à s’épaissir, ce peut être une bonne antidote à l’illusion métaphysique que de revenir à des intuitions a priori[78], ou tout simplement au sens commun.
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La voix de Gilles Deleuze - 0 views

  • C’est une limite dynamique qui s’oppose à la limite contour. La chose n’a pas d’autre limite que la limite de sa puissance ou de son action. La chose est donc puissance et pas forme. La forêt ne se définit pas par une forme, elle se définit par une puissance : puissance de faire pousser des arbres jusqu’au moment où elle ne peut plus. D’où la seule question que j’ai à poser à la forêt ce n’est pas : quelle est ta figure et quels sont les contours ? La seule question que j’ai à poser à la forêt c’est : quelle est ta puissance ? C’est à dire : jusqu’où iras-tu ?
    • lucky semiosis
       
      // pouvoir d'agir
  • C’est un génie Bateson, c’est un très grand homme.
  • Lorsque j’apprends ensuite qu’une graine perdue dans un mur est capable de faire sauter ce mur. Ah la graine de tournesol fait sauter mon mur. Une chose qui avait un si petit contour. Jusqu’où va la graine de tournesol, est-ce que ça veut dire quelle est sa surface ? Non, disent les stoïciens la surface c’est là où se termine la graine. Dans leur théorie de l’énoncé, ils diront que ça énonce exactement ce que la graine n’est pas. C’est à dire là où la graine n’est plus, mais sur ce qu’est la graine, ça ne nous dit rien.
    • lucky semiosis
       
      la graine stoïcienne
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