Article fondamental sur les réseaux de coauteurs en lien avec un entrepôt de données disciplinaire : GenBank. Étude comparative "articles" vs. "données directement soumises".
27 octobre 2012. "Le registre international d'identifiants de chercheurs ORCID (Open Researcher and Contributor Identifier) a été lancé opérationnellement la semaine dernière. Porté par le consortium ORCID, qui regroupe à ce jour 300 membres issus de 40 pays, ce registre normalisé et ouvert a pour ambition d'attribuer à chaque chercheur - et sous le contrôle de celui-ci - un identifiant unique et non ambigu. Des éditeurs scientifiques (Elsevier, The Nature Publishing Group, Thomson Reuters Science…), des organismes de recherche, des agences de financement ont été les premiers adhérents du consortium ORCID créé en 2010. Se situant à l'intersection de la problématique des métadonnées associées aux produits de la recherche et de la question toujours sensible des données personnelles nominatives, le registre ORCID est un projet majeur et transversal pour toutes les communautés de la recherche et ce au plan international."
A noter que l'on peut avoir simultanément un Researcher ID (Thomson) et un ORCID et que ces deux numéros sont mentionnés, le cas échéant, en regard du champ Auteur des notices bibliographiques du Web of Science. Il est en outre possible d'avoir deux profils disciplinaires différents sur l'un et/ou l'autre ID. Rappelons enfin que des notices Scopus sont associées directement à l'ORCID.
Papier réellement fondamental de J.Schöpfel et H.Prost, lecture indispensable pour mieux comprendre les développements actuels des outils d'évaluation en matière notamment de publications SHS francophones. Et plus encore pour motiver une réforme de la conception des données de caractérisation des unités de recherche SHS. Ceci posé, il est toujours bon de savoir qui écrit pour qui, et pourquoi.
Sur le trop faible nombre de mentions de Data dans les références bibliographiques terminales d'articles et la nécessité de citer les données au même titre que des articles ou des proceedings.
Le CNRS est classé à la 5e place du nouveau classement de Thomson-Reuters des organismes publics les plus innovants au monde. Il figure aussi dans le Top 100 des innovateurs mondiaux, toujours publié par Thomson Reuters, ainsi que dans celui de l'Office européen des brevets (OEB)....Ce palmarès s'appuie sur les données relevant de la propriété intellectuelle et du nombre de brevets et de publications, répertoriées dans les bases de Thomson-Reuters ces huit dernières années.
Application des principes bibliométriques aux serveurs de "données". Exemple pris dans le Data Web sur le serveur taxonomique Global Biodiversity Information Facility GBIF. Définition d'un modèle de type Data Usage Index (DUI) qui analyse les usages des "data".
Autant pour le sujet du message (un grand classique: les données d'échec) que pour son support et son auteur (l'animateur de Figshare) ; une forme, aussi, d'Altmetrics (en haut à droite)
25 février 2016 En février, le CNRS a signé avec les géants de la bibliométrie, Thomson-Reuters et Elsevier, ses deux premiers accords-cadres en tant que centrale d'achat. Ils portent sur l'accès aux bases de données bibliographiques et citationnelles ainsi que sur les outils d'analyse. Une opération de mutualisation intéressante tant sur le plan scientifique qu'économique.