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IFOP - Regards croisés sur l'information et la prévention du sida sentre les ... - 0 views

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    Le suivi barométrique de l'Ifop pour Sidaction fait état en 2017 d'une baisse du sentiment d'information sur le VIH / sida combinée à une légère remontée de la vigilance des jeunes à l'égard des risques de propagation de la maladie. Les personnes âgées de 15 à 24 ans se montrent ainsi plus attentives aux dangers du VIH / sida que l'ensemble de la population, parmi laquelle l'impression que le risque d'être contaminé est minime trouve un écho. Le sentiment d'information sur le sida se dégrade par rapport à 2016 et 2014. 79% des jeunes estiment être bien informés sur le VIH (-3 points par rapport à 2016 et -10 points par rapport à 2014), soit une proportion au plus bas depuis 2009. Le sentiment d'information des jeunes rejoint celui de l'ensemble des Français, qui se situe également à 79% des personnes interrogées. D'une manière plus détaillée, les interviewés se sentent de moins en moins bien informés sur l'existence d'un traitement d'urgence en cas de relation sexuelle non protégée (44%, -3 par rapport à 2016). A l'inverse, de plus en plus de jeunes se déclarent bien au fait sur le traitement prescrit aux personnes séropositives (41%, +2). L'état des connaissances sur le VIH de l'ensemble de la population rejoint globalement celles observées chez ces jeunes générations. Les Français sont par exemple moins bien informés sur l'existence et l'intérêt des préservatifs féminins (56%, < de 6 points par rapport aux jeunes). Ils sont à l'inverse plus au fait de l'existence d'autotest de dépistage du VIH (51%, > de 6 points). A l'instar des enseignements de l'étude de 2016, il apparaît toujours nécessaire de maintenir un niveau d'information élevé chez les jeunes sur l'épidémie du sida, les risques associés et les traitements existants. La lecture des résultats pour différents indicateurs sur les représentations associées au sida fait état de la persistance d'id
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N° 4119 - Proposition de loi de M. Philippe Vigier visant à garantir un accès... - 0 views

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    "Alors que le préambule de la Constitution de 1946 énonce en son article 11 que « la Nation [...] garantit à tous, […] la protection de la santé », la France est aujourd'hui plus que jamais confrontée à une situation paradoxale en termes d'accès aux soins : malgré un niveau d'offre de soins encore globalement élevé et un nombre de médecins qui n'a jamais été aussi important, les inégalités d'accès aux soins s'accroissent dans nos territoires. Notre système de santé est aujourd'hui confronté à un double défi ; démographique et économique. Il doit s'adapter et se moderniser pour garantir des soins de qualité à l'ensemble de la population. Présentée comme le grand texte du quinquennat en matière de santé, la loi de modernisation de notre système de santé n'a pas réglé la question de l'accès aux soins sur le territoire. Aucune mesure d'ampleur n'a été prise pour lutter contre le drame de la désertification médicale. Au 1er janvier 2015, selon les chiffres publiés par l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), la France comptait 102 485 généralistes et 119 665 spécialistes, soit un total de 222 150 médecins. Ce chiffre élevé constitue un record et s'explique par la formation d'un grand nombre de praticiens dans les années 1960 et 1970. Pour autant, les difficultés et les inégalités d'accès aux soins devraient s'aggraver à court et moyen terme sous l'effet conjugué du vieillissement de la population, de l'évolution des modes de prise en charge, de la hausse du niveau d'exigence de nos concitoyens et de la forte prévalence des maladies chroniques. Ces facteurs auront pour conséquence une augmentation importante de la demande de soins alors même, qu'en parallèle, le potentiel démographique des professions de santé devrait mécaniquement diminuer d'ici 2025. En effet, la modulation d'un numerus clausus pour les études médicale
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Conseil national de l'Ordre des médecins - Construire l'avenir à partir des t... - 0 views

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    L'Ordre des médecins publie aujourd'hui son projet de réforme pour la santé, un projet de réforme globale autour de quatre grands principes : libérer en offrant un cadre qui permette de catalyser les énergies des acteurs individuels, décentraliser, simplifier, et garantir un réel accès aux soins à tous. Ce projet de réforme, voulu et attendu par les médecins, propose de révolutionner l'organisation de notre système de santé en s'appuyant sur les territoires. De l'écoute à l'action 2016 a été pour l'Ordre des médecins un temps d'écoute. Lors de notre Grande consultation et de nos rencontres en région, les médecins nous ont donné un mandat clair, celui de concevoir et de porter auprès de nos décideurs une réforme globale, concertée et partagée pour notre système de santé : 95% des médecins estimaient en effet nécessaire de le réformer. En 2017, l'Ordre des médecins passe à l'action en faisant émerger, à l'occasion des prochaines élections présidentielles, une vraie réforme du système de santé, la réforme voulue par la profession médicale. Un projet qui repose sur 4 grands principes : libérer les initiatives, décentraliser les décisions, simplifier les exercices et garantir l'accès aux soins et la qualité des soins. Repenser le système de santé en repartant des territoires Dressant le diagnostic d'un système de santé devenu d'une complexité extrême, hyper-administré et centralisé, et déconnecté des besoins réels des territoires, l'Ordre des médecins estime urgent le besoin de repenser l'organisation de l'offre de soins, et de proposer une offre cohérente adaptée aux besoins réels de santé de chaque territoire. Proposer l'offre de soins la plus à même de répondre aux besoins des populations exige de miser sur les acteurs des territoires, sur leur connaissance des problématiques locales, en leur donnant les moyens de s'organiser afin d'améliorer les sit
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DREES - L'état de santé de la population en France - Rapport 2017 - 0 views

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    "Cette édition 2017 du rapport L'état de santé de la population en France conjugue des approches transversales, par population, par déterminants et par pathologies, pour illustrer l'état de santé globalement bon des Français. Il met également en lumière les principaux problèmes de santé auxquels est confronté notre pays et auxquels les politiques publiques doivent répondre. Depuis la première édition du rapport de suivi des 100 objectifs1, L'état de santé de la population en France est devenu un outil de référence partagé permettant de décrire les évolutions de l'état de santé de la population et de ses principaux déterminants. Dans la lignée de l'édition 2015 pilotée par la DREES, cet ouvrage est le fruit d'une riche collaboration entre les producteurs de données dans le champ de la santé publique. Coordonné pour la première fois avec la nouvelle agence nationale de santé publique - Santé publique France2 - cette édition 2017 accorde une place plus large aux données régionales et infrarégionales avec l'introduction de cartes et données supplémentaires et l'ajout de 18 profils régionaux synthétisant les principales caractéristiques démographiques, socioéconomiques et sanitaires des nouvelles régions administratives. Une typologie socio-sanitaire des territoires a été également réalisée : elle permet de mettre en évidence des zones particulièrement vulnérables. Ces enrichissements ont été rendus possibles grâce à la mobilisation de tous les contributeurs habituels du rapport, et celle de la Fédération nationale des observatoires régionaux de santé (FNORS) et du réseau des observatoires régionaux de santé (ORS) pour les profils régionaux. Une attention particulière a été portée à la description des inégalités sociales et territoriales de santé grâce à la déclinaison d'un certain nombre d'indicateurs de mortalité et de morbidité en fonction de l'indice de désava
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Ministère de l'Education nationale - Mission Bien-être et Santé des jeunes - ... - 0 views

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    Le Président de la République a participé au lancement du plan "Bien-être et santé des jeunes" mardi 29 novembre 2016 en présence de Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, de Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, de Laurence Rossignol, ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes et de Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports. À cette occasion, le Président de la République s'est vu remettre le rapport sur le bien-être et la santé des jeunes, réalisé par Marie-Rose Moro, professeur de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent, et Jean-Louis Brison, inspecteur d'académie - inspecteur pédagogique régional. Ce rapport s'appuie sur un travail documentaire, des auditions et des observations de terrain. De bonnes pratiques ont notamment été observées dans trois académies travaillant en lien étroit avec les Agences régionales de santé (ARS) : Versailles, Nancy-Metz et Nantes. Le Président de la République a présenté un certain nombre de mesures, issues des conclusions de ce rapport, qui seront mises en œuvre par les différents ministères concernés. Plusieurs de ces mesures donneront lieu à des expérimentations futures dans les académies de Versailles, Nancy-Metz et Nantes. Les grandes orientations du plan d'action sont les suivantes : L'accès en ligne à des informations de santé fiables et à des ressources géolocalisées Un accès facilité aux consultations de psychologues : le "Pass santé jeunes" Une coopération pluri-disciplinaire Une permanence pour les professionnels des établissements scolaires du second degré et des universités rencontrant des jeunes en difficulté Les maisons des adolescents, piliers du dispositif Des professionnels sensibilisés et formés Un corps unique de psychologues de l'Éducation nationale Des structures
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Ministère de l'Education nationale - Mission Bien-être et Santé des jeunes - ... - 0 views

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    Le Président de la République a participé au lancement du plan "Bien-être et santé des jeunes" mardi 29 novembre 2016 en présence de Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, de Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, de Laurence Rossignol, ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes et de Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports. À cette occasion, le Président de la République s'est vu remettre le rapport sur le bien-être et la santé des jeunes, réalisé par Marie-Rose Moro, professeur de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent, et Jean-Louis Brison, inspecteur d'académie - inspecteur pédagogique régional. Ce rapport s'appuie sur un travail documentaire, des auditions et des observations de terrain. De bonnes pratiques ont notamment été observées dans trois académies travaillant en lien étroit avec les Agences régionales de santé (ARS) : Versailles, Nancy-Metz et Nantes. Le Président de la République a présenté un certain nombre de mesures, issues des conclusions de ce rapport, qui seront mises en œuvre par les différents ministères concernés. Plusieurs de ces mesures donneront lieu à des expérimentations futures dans les académies de Versailles, Nancy-Metz et Nantes. Les grandes orientations du plan d'action sont les suivantes : L'accès en ligne à des informations de santé fiables et à des ressources géolocalisées Un accès facilité aux consultations de psychologues : le "Pass santé jeunes" Une coopération pluri-disciplinaire Une permanence pour les professionnels des établissements scolaires du second degré et des universités rencontrant des jeunes en difficulté Les maisons des adolescents, piliers du dispositif Des professionnels sensibilisés et formés Un corps unique de psychologues de l'Éducation nationale Des structur
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Gouvernement - Dossier de presse - Agir pour les aidants : Stratégie de mobil... - 0 views

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    En France, 8 à 11 millions de personnes soutiennent un proche en perte d'autonomie pour des raisons liées à l'âge, à un handicap, à une maladie chronique ou invalidante. La mise en place d'une stratégie de mobilisation et de soutien des aidants est donc plus que nécessaire afin de reconnaître le rôle des proches aidants mais aussi d'améliorer leur qualité de vie. 6 PRIORITÉS ET 17 MESURES CLÉS POUR LES PROCHES AIDANTS Priorité 1 : rompre l'isolement des proches aidants et les soutenir au quotidien. Mise en place d'un numéro téléphonique national de soutien des proches aidants dès 2020 ; création d'un réseau de lieux d'accueil labellisés « Je réponds aux aidants » dès 2020 ; création d'une plate-forme numérique « Je réponds aux aidants » d'ici à 2022 ; diversification et déploiement des offres d'accompagnement par des professionnels et des pairs dans tous les territoires. Priorité 2 : ouvrir de nouveaux droits sociaux aux proches aidants et faciliter leurs démarches administratives. Le congé de proche aidant indemnisé pour les salariés, les travailleurs indépendants, les fonctionnaires et les chômeurs indemnisés, mis en place dès octobre 2020 ; dès janvier 2020, un congé de proche aidant pourra être pris dès l'arrivée en entreprise, sans attendre 1 an comme auparavant ; dès novembre 2019, des périodes de congé proche aidant ne compteront plus dans le calcul des droits au chômage pour éviter une baisse des allocations ; dès octobre 2020, le congé de proche aidant indemnisé au titre des droits à la retraite sera pris en compte automatiquement, sans formalités à accomplir. Priorité 3 : permettre aux aidants de concilier vie personnelle et vie professionnelle. L'assouplissement du congé de présence parentale et de l'allocation journalière de présence parentale pourront être pris de façon fractionnée, par demi-journées, dès janvier 2020 ; le retour à l'emploi des aidants
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HCFEA - Tome 1 Synthèse Etat des lieux - Le soutien à l'autonomie des personn... - 0 views

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    L'horizon choisi, 2030, se situe à une période charnière, où les premières générations du baby-boom arriveront à l'âge de 85 ans, âge moyen d'entrée en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Dans un premier temps, le rapport dresse un état des lieux de la situation des personnes âgées en perte d'autonomie : état de santé, modalités d'accompagnement et systèmes de soins proposés dans leurs différents lieux de vie (domicile, habitat alternatif, établissement). Dans un second temps, le rapport identifie les grandes tendances et les enjeux à l'horizon 2030, notamment : * une augmentation de la demande de soins et du nombre de personnes ayant un besoin d'aide à l'autonomie (+24 % de bénéficiaires de l'allocation personnalisée d'autonomie - APA), sous l'effet des évolutions démographiques (+19 % d'individus de plus de 85 ans) et épidémiologiques (avec une forte prévalence notamment des maladies neurodégénératives) ; * la progression à cette date du potentiel démographique des proches aidants ; * le souhait vraisemblablement majoritaire des français de rester à leur domicile ; * la poursuite du développement à un rythme soutenu des formes alternatives d'habitat ; * la poursuite de la spécialisation des EHPAD sur les personnes âgées les moins autonomes et atteintes de troubles cognitifs, avec en parallèle le développement de modèles innovants d'EHPAD ouverts sur l'extérieur et sur le domicile ; * une prégnance accrue de la question de l'attractivité des métiers sociaux, médicosociaux et du soin, et de l'amélioration des conditions de travail. Pour favoriser le libre choix et permettre aux personnes âgées de vieillir dans les meilleures conditions possibles, le rapport préconise : * de renforcer le soutien à domicile : gestion de l'APA développement des aides techniques et des aménagements de l'habitat, réforme du secteur d
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HCFEA - Tome 1 Etat des lieux - Le soutien à l'autonomie des personnes âgées ... - 0 views

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    L'horizon choisi, 2030, se situe à une période charnière, où les premières générations du baby-boom arriveront à l'âge de 85 ans, âge moyen d'entrée en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Dans un premier temps, le rapport dresse un état des lieux de la situation des personnes âgées en perte d'autonomie : état de santé, modalités d'accompagnement et systèmes de soins proposés dans leurs différents lieux de vie (domicile, habitat alternatif, établissement). Dans un second temps, le rapport identifie les grandes tendances et les enjeux à l'horizon 2030, notamment : * une augmentation de la demande de soins et du nombre de personnes ayant un besoin d'aide à l'autonomie (+24 % de bénéficiaires de l'allocation personnalisée d'autonomie - APA), sous l'effet des évolutions démographiques (+19 % d'individus de plus de 85 ans) et épidémiologiques (avec une forte prévalence notamment des maladies neurodégénératives) ; * la progression à cette date du potentiel démographique des proches aidants ; * le souhait vraisemblablement majoritaire des français de rester à leur domicile ; * la poursuite du développement à un rythme soutenu des formes alternatives d'habitat ; * la poursuite de la spécialisation des EHPAD sur les personnes âgées les moins autonomes et atteintes de troubles cognitifs, avec en parallèle le développement de modèles innovants d'EHPAD ouverts sur l'extérieur et sur le domicile ; * une prégnance accrue de la question de l'attractivité des métiers sociaux, médicosociaux et du soin, et de l'amélioration des conditions de travail. Pour favoriser le libre choix et permettre aux personnes âgées de vieillir dans les meilleures conditions possibles, le rapport préconise : * de renforcer le soutien à domicile : gestion de l'APA développement des aides techniques et des aménagements de l'habitat, réforme du secteur d
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Défenseur des droits - Les droits fondamentaux des personnes âgées accueillie... - 0 views

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    Les personnes âgées, y compris celles en situation de perte d'autonomie ou de handicap, jouissent des mêmes droits et libertés que l'ensemble de la population. Pourtant, la Défenseure des droits est régulièrement saisie de réclamations portant sur des restrictions de droits et libertés des personnes accueillies en (EHPAD). Elle est encore davantage interpellée à ce sujet depuis le début de la crise sanitaire liée à l'épidémie de la Covid-19. 900 réclamations dénonçant les conditions et modalités d'accompagnement médico-social ont été adressées au Défenseur des droits ces six dernières années. 80%[1] de ces dossiers mettaient en cause un EHPAD. L'examen de ces réclamations montre, de manière récurrente, des atteintes aux droits fondamentaux, au respect de la dignité et de l'intégrité des personnes accueillies en EHPAD. Ces saisines questionnent en particulier l'effectivité : * du principe du libre choix, du consentement éclairé et du droit à l'information de la personne accueillie ; * du droit à une prise en charge et à un accompagnement adaptés ; * du droit à la santé ; * de la liberté d'aller et venir ; * du droit à la vie privée, à l'intimité et au maintien des liens familiaux ; * du droit à la propriété ; * du droit au recours effectif et à la protection. De telles atteintes aux droits et libertés des résidents, qui sont facilitées voire rendues possibles par la vulnérabilité liée à la perte d'autonomie des personnes accueillies en EHPAD, sont constitutives de maltraitance et de discrimination. Pour la Défenseure des droits, la justification des atteintes aux droits par des comportements individuels des personnels des EHPAD ne doit pas masquer les atteintes plus nombreuses issues du manque de moyens humains et des carences en matière d'organisation qui ne permettent pas aux professionnels d'accompagner les résidents comme ils le souhaiteraient. Une pénurie de per
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HCFEA - Tome 2 Synthèse Orientations - Le soutien à l'autonomie des personnes... - 0 views

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    L'horizon choisi, 2030, se situe à une période charnière, où les premières générations du baby-boom arriveront à l'âge de 85 ans, âge moyen d'entrée en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Dans un premier temps, le rapport dresse un état des lieux de la situation des personnes âgées en perte d'autonomie : état de santé, modalités d'accompagnement et systèmes de soins proposés dans leurs différents lieux de vie (domicile, habitat alternatif, établissement). Dans un second temps, le rapport identifie les grandes tendances et les enjeux à l'horizon 2030, notamment : * une augmentation de la demande de soins et du nombre de personnes ayant un besoin d'aide à l'autonomie (+24 % de bénéficiaires de l'allocation personnalisée d'autonomie - APA), sous l'effet des évolutions démographiques (+19 % d'individus de plus de 85 ans) et épidémiologiques (avec une forte prévalence notamment des maladies neurodégénératives) ; * la progression à cette date du potentiel démographique des proches aidants ; * le souhait vraisemblablement majoritaire des français de rester à leur domicile ; * la poursuite du développement à un rythme soutenu des formes alternatives d'habitat ; * la poursuite de la spécialisation des EHPAD sur les personnes âgées les moins autonomes et atteintes de troubles cognitifs, avec en parallèle le développement de modèles innovants d'EHPAD ouverts sur l'extérieur et sur le domicile ; * une prégnance accrue de la question de l'attractivité des métiers sociaux, médicosociaux et du soin, et de l'amélioration des conditions de travail. Pour favoriser le libre choix et permettre aux personnes âgées de vieillir dans les meilleures conditions possibles, le rapport préconise : * de renforcer le soutien à domicile : gestion de l'APA développement des aides techniques et des aménagements de l'habitat, réforme du secteur d
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HCFEA - Tome 2 Orientations - Le soutien à l'autonomie des personnes âgées à ... - 0 views

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    L'horizon choisi, 2030, se situe à une période charnière, où les premières générations du baby-boom arriveront à l'âge de 85 ans, âge moyen d'entrée en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Dans un premier temps, le rapport dresse un état des lieux de la situation des personnes âgées en perte d'autonomie : état de santé, modalités d'accompagnement et systèmes de soins proposés dans leurs différents lieux de vie (domicile, habitat alternatif, établissement). Dans un second temps, le rapport identifie les grandes tendances et les enjeux à l'horizon 2030, notamment : * une augmentation de la demande de soins et du nombre de personnes ayant un besoin d'aide à l'autonomie (+24 % de bénéficiaires de l'allocation personnalisée d'autonomie - APA), sous l'effet des évolutions démographiques (+19 % d'individus de plus de 85 ans) et épidémiologiques (avec une forte prévalence notamment des maladies neurodégénératives) ; * la progression à cette date du potentiel démographique des proches aidants ; * le souhait vraisemblablement majoritaire des français de rester à leur domicile ; * la poursuite du développement à un rythme soutenu des formes alternatives d'habitat ; * la poursuite de la spécialisation des EHPAD sur les personnes âgées les moins autonomes et atteintes de troubles cognitifs, avec en parallèle le développement de modèles innovants d'EHPAD ouverts sur l'extérieur et sur le domicile ; * une prégnance accrue de la question de l'attractivité des métiers sociaux, médicosociaux et du soin, et de l'amélioration des conditions de travail. Pour favoriser le libre choix et permettre aux personnes âgées de vieillir dans les meilleures conditions possibles, le rapport préconise : * de renforcer le soutien à domicile : gestion de l'APA développement des aides techniques et des aménagements de l'habitat, réforme du secteur d
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Haut Conseil pour l'avenir de l'assurance maladie - Prévention et promotion d... - 0 views

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    Dans un premier avis adopté le 28 juin 2017 « Refonder les politiques de prévention et de promotion de la santé », l'ensemble des membres du Haut Conseil a affirmé son attachement à la priorité à donner à la prévention et à la promotion de la santé. Pour traduire cette priorité en actes, l'avis souligne la nécessité d'en clarifier les enjeux stratégiques et de refonder le cadre de l'action publique. En effet, « avant que d'être une question de moyens - au demeurant pas si modestes dans certains domaines - le problème de politique publique posé en matière de prévention est d'abord un problème de conception et de mise en œuvre de l'action publique ». Celles des orientations formulées dans l'avis relatives à la gouvernance ont été pour l'essentiel reprises à l'automne 2017 par les pouvoirs publics lors de la définition de la Stratégie nationale de santé pour 2018-2022 qui a fait de la prévention et de la promotion de la santé une priorité. Rendre effective cette priorité requiert également la capacité à généraliser des organisations qui fonctionnent encore le plus souvent dans des cadres juridiquement dérogatoires et financièrement précaires et sont loin de couvrir l'ensemble de la population. La question n'est pas en réalité de savoir ce qui marche, on le sait déjà, mais de trouver les voies d'un déploiement raisonné sortant la prévention et la promotion de la santé de leur statut d'exception. Ce devrait être chose possible, à l'heure où les professionnels de santé se sont vu reconnaître une responsabilité populationnelle et où l'assurance maladie a acquis un caractère universel. L'avis adopté le 25 octobre 2018 « La prévention dans le système de soins - Organisation, territoires et financement » formule des propositions pour le déploiement de la prévention et de son financement dans le droit commun de la nouvelle organisation issue de la Stratégie de transforma
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CCNE - Communiqué de presse - Avis 128 "Enjeux éthiques du vieillissement : d... - 0 views

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    Le vieillissement de notre société est aujourd'hui une réalité démographique indéniable et qui invite à repenser notre façon de vivre ensemble pour permettre une meilleure inclusion des personnes âgées. Des mesures législatives ont ainsi été entreprises ces dernières années pour faire face à cette réalité, que ce soit par la loi de 2015 relative à l'adaptation de la société au vieillissement ou bien par celle de 2016 relative à la modernisation de notre système de santé. C'est dans ce contexte social et politique que le CCNE a choisi de s'autosaisir pour traiter des enjeux éthiques du vieillissement, trop peu présents à ses yeux dans la construction des politiques publiques relatives à l'accompagnement des personnes âgées : comment rendre la société davantage inclusive vis-à-vis de ses citoyen(ne)s les plus âgé(e)s ? Le CCNE a décidé de faire partir sa réflexion de la question de la « concentration » des personnes âgées dans des établissements d'hébergement. En effet, force est de constater que l'institutionnalisation des personnes âgées dépendantes et leur concentration entre elles génèrent des situations parfois indignes, qui, réciproquement, sont source d'un sentiment d'indignité de ces personnes. Leur exclusion de fait de la société, ayant probablement trait à une dénégation collective de ce que peut être la vieillesse, la fin de la vie et la mort, pose de véritables problèmes éthiques, notamment en termes de respect dû aux personnes. En effet, bien que cette institutionnalisation forcée soit revendiquée au nom de principes de bienveillance et dans le but d'assurer la sécurité de ces personnes vulnérables, celle-ci se fait souvent sous la contrainte, faute d'alternative, et se joint en outre de l'obligation pour ces personnes de payer pour un hébergement qu'elles n'ont pas voulu. Cet avis cherche, dans cette perspective, à répondre aux questions suivantes :
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CCNE - Avis complet - Avis 128 "Enjeux éthiques du vieillissement : des piste... - 0 views

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    Le vieillissement de notre société est aujourd'hui une réalité démographique indéniable et qui invite à repenser notre façon de vivre ensemble pour permettre une meilleure inclusion des personnes âgées. Des mesures législatives ont ainsi été entreprises ces dernières années pour faire face à cette réalité, que ce soit par la loi de 2015 relative à l'adaptation de la société au vieillissement ou bien par celle de 2016 relative à la modernisation de notre système de santé. C'est dans ce contexte social et politique que le CCNE a choisi de s'autosaisir pour traiter des enjeux éthiques du vieillissement, trop peu présents à ses yeux dans la construction des politiques publiques relatives à l'accompagnement des personnes âgées : comment rendre la société davantage inclusive vis-à-vis de ses citoyen(ne)s les plus âgé(e)s ? Le CCNE a décidé de faire partir sa réflexion de la question de la « concentration » des personnes âgées dans des établissements d'hébergement. En effet, force est de constater que l'institutionnalisation des personnes âgées dépendantes et leur concentration entre elles génèrent des situations parfois indignes, qui, réciproquement, sont source d'un sentiment d'indignité de ces personnes. Leur exclusion de fait de la société, ayant probablement trait à une dénégation collective de ce que peut être la vieillesse, la fin de la vie et la mort, pose de véritables problèmes éthiques, notamment en termes de respect dû aux personnes. En effet, bien que cette institutionnalisation forcée soit revendiquée au nom de principes de bienveillance et dans le but d'assurer la sécurité de ces personnes vulnérables, celle-ci se fait souvent sous la contrainte, faute d'alternative, et se joint en outre de l'obligation pour ces personnes de payer pour un hébergement qu'elles n'ont pas voulu. Cet avis cherche, dans cette perspective, à répondre aux questions suivantes :
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CCNE - Résumé - Avis 128 "Enjeux éthiques du vieillissement : des pistes pour... - 0 views

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    Le vieillissement de notre société est aujourd'hui une réalité démographique indéniable et qui invite à repenser notre façon de vivre ensemble pour permettre une meilleure inclusion des personnes âgées. Des mesures législatives ont ainsi été entreprises ces dernières années pour faire face à cette réalité, que ce soit par la loi de 2015 relative à l'adaptation de la société au vieillissement ou bien par celle de 2016 relative à la modernisation de notre système de santé. C'est dans ce contexte social et politique que le CCNE a choisi de s'autosaisir pour traiter des enjeux éthiques du vieillissement, trop peu présents à ses yeux dans la construction des politiques publiques relatives à l'accompagnement des personnes âgées : comment rendre la société davantage inclusive vis-à-vis de ses citoyen(ne)s les plus âgé(e)s ? Le CCNE a décidé de faire partir sa réflexion de la question de la « concentration » des personnes âgées dans des établissements d'hébergement. En effet, force est de constater que l'institutionnalisation des personnes âgées dépendantes et leur concentration entre elles génèrent des situations parfois indignes, qui, réciproquement, sont source d'un sentiment d'indignité de ces personnes. Leur exclusion de fait de la société, ayant probablement trait à une dénégation collective de ce que peut être la vieillesse, la fin de la vie et la mort, pose de véritables problèmes éthiques, notamment en termes de respect dû aux personnes. En effet, bien que cette institutionnalisation forcée soit revendiquée au nom de principes de bienveillance et dans le but d'assurer la sécurité de ces personnes vulnérables, celle-ci se fait souvent sous la contrainte, faute d'alternative, et se joint en outre de l'obligation pour ces personnes de payer pour un hébergement qu'elles n'ont pas voulu. Cet avis cherche, dans cette perspective, à répondre aux questions suivantes :
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Drees - Aider un proche âgé à domicile : Résultat des post-enquêtes qualitati... - 0 views

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    Ce dossier présente les résultats des post-enquêtes qualitatives de l'enquête CARE-Ménages, qui a interrogé en 2015 des seniors et leurs aidants sur des thématiques diverses comme leur état de santé, les aides dont ils bénéficient au quotidien, le financement d'une dépendance éventuelle ou la répartition des efforts entre proches et professionnels. Les post-enquêtes avaient pour but de détailler des configurations d'aide en réinterrogeant des personnes ayant répondu à l'enquête quantitative et, selon les cas, de comprendre les formes d'investissement dans l'aide ou d'articulation entre l'aide et les autres activités des aidants. Nous présentons ici une synthèse des résultats des quatre projets retenus : « Poids et effet de genre dans l'aide aux seniors » (Maks Banens, CMW, CNRS) ; « Articulation travail-famille et gestion des temps sociaux » (Vincent Caradec, CeRIES, Université de Lille) ; « Analyse compréhensive de l'intensité de l'aide » (Isabelle Mallon, CMW, CNRS et ARENES, EHESP) ; « Vieillir à deux. Aides et entraide dans le couple » (Sylvie Renaut, URV, CNAV). Après l'exposé de réflexions communes aux quatre projets, nous présentons une synthèse de chacun d'entre eux, illustrée par quelques cas tirés des investigations détaillées des différents chercheurs y ayant participé. Les résultats transversaux qui émergent de ces quatre recherches, pourtant diverses, sont nombreux. Toutes soulignent l'ambivalence que l'aide peut recouvrir, pour les aidants comme pour les aidés. Entre fardeau et plaisir, sentiment d'utilité et de perte de temps, l'aide est souvent vécue comme un investissement intense qui peut être source tantôt de reconnaissance et de passion, tantôt de souffrance et de déception. Pour bien saisir cette aide multiforme, les post-enquêtes montrent qu'il est nécessaire de l'inscrire dans une écologie familiale, rendant difficile d'étudier les rapports à
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CNCDH - Usages de drogues et droits de l'homme : Communiqué - 0 views

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    Au lendemain de l'ouverture de la première salle de consommation de drogues à moindre risque à Paris qui a suscité des débats d'une intensité rare, témoignant de l'extrême sensibilité de la question des drogues et de leurs usages en France, la Commission nationale consultative des droits de l'homme recommande que la politique publique de lutte contre les drogues soit repensée pour placer le respect des droits fondamentaux des usagers au cœur du débat. Le mandat de la CNCDH étant de promouvoir le respect et la défense des droits de l'homme et des libertés fondamentales, pour tous, sans aucune sorte de distinction et de façon juste et universelle, et d'être un lieu de dialogue sur les questions thématiques relatives à tous les droits de l'homme, il justifie l'adoption d'un avis sur la pertinence des réponses politiques apportées au développement de l'usage des drogues dans la société française. L'objectif de la Commission est ainsi de contribuer au débat sur cet usage, à l'appréciation de ses conséquences aussi bien pour les individus que pour la société, en mesurant l'impact des politiques relatives aux stupéfiants sur les droits des personnes. En effet, un usager de drogues est et demeure un citoyen qui doit pouvoir bénéficier de la reconnaissance de tous ses droits. Il s'agit pour la CNCDH de s'intéresser à la personne, au respect de sa dignité et à l'effectivité de ses droits, et non pas seulement à des produits, aussi dangereux puissent-ils être. Pour ce faire, le présent avis dresse un état des lieux du cadre légal, administratif et social de la consommation de drogues (I), effectue un bilan des atteintes aux droits fondamentaux qui en découlent (II) et présente des perspectives d'amélioration voire de réforme des dispositifs existants (III).
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CNCDH - Usages de drogues et droits de l'homme : Avis - 0 views

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    Au lendemain de l'ouverture de la première salle de consommation de drogues à moindre risque à Paris qui a suscité des débats d'une intensité rare, témoignant de l'extrême sensibilité de la question des drogues et de leurs usages en France, la Commission nationale consultative des droits de l'homme recommande que la politique publique de lutte contre les drogues soit repensée pour placer le respect des droits fondamentaux des usagers au cœur du débat. Le mandat de la CNCDH étant de promouvoir le respect et la défense des droits de l'homme et des libertés fondamentales, pour tous, sans aucune sorte de distinction et de façon juste et universelle, et d'être un lieu de dialogue sur les questions thématiques relatives à tous les droits de l'homme, il justifie l'adoption d'un avis sur la pertinence des réponses politiques apportées au développement de l'usage des drogues dans la société française. L'objectif de la Commission est ainsi de contribuer au débat sur cet usage, à l'appréciation de ses conséquences aussi bien pour les individus que pour la société, en mesurant l'impact des politiques relatives aux stupéfiants sur les droits des personnes. En effet, un usager de drogues est et demeure un citoyen qui doit pouvoir bénéficier de la reconnaissance de tous ses droits. Il s'agit pour la CNCDH de s'intéresser à la personne, au respect de sa dignité et à l'effectivité de ses droits, et non pas seulement à des produits, aussi dangereux puissent-ils être. Pour ce faire, le présent avis dresse un état des lieux du cadre légal, administratif et social de la consommation de drogues (I), effectue un bilan des atteintes aux droits fondamentaux qui en découlent (II) et présente des perspectives d'amélioration voire de réforme des dispositifs existants (III).
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INJEP - [Jeunesse] Expérimentations en matière de santé : premiers enseignements - 0 views

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    Les jeunes (15-30 ans) sont pour la plupart en bien meilleure santé que leurs aînés : 80 % des jeunes ne présentent pas de pathologies recensées par l'Assurance maladie contre près de 60 % dans l'ensemble de la population1. Ils se considèrent également en moyenne plutôt en bonne santé2. Toutefois, ils sont aussi moins conscients de leurs besoins en ce domaine. Cet état de santé des jeunes plutôt favorable ne doit pas masquer que la maladie peut également les affecter, comme le fait que les disparités sociales et territoriales de santé peuvent infléchir l'évolution de leur santé et leurs recours aux soins. C'est en effet dès cette période de la vie que les inégalités sociales et comportements en matière de santé apparaissent et peuvent s'inscrire dans la durée. Les politiques de santé intègrent ainsi des mesures spécifiques à la jeunesse, du fait de sa spécificité en termes de santé. Ainsi, le plan Santé des jeunes de 2008 visait à prévenir les conduites à risque spécifiques aux jeunes et à répondre aux besoins psychiques des jeunes les plus vulnérables. Le Plan Priorité jeunesse de 2013, dans le champ de la santé, soulignait la nécessité de favoriser l'accès aux soins des jeunes (jeunes scolarisés, étudiants, jeunes en insertion et/ou en situation de précarité sociale). C'est dans ce cadre d'actions que le Fonds d'expérimentation pour la jeunesse (FEJ) a lancé plusieurs appels à projets pour impliquer les jeunes et les acteurs locaux dans la prévention santé et améliorer l'accès aux soins des jeunes (2ème vague d'appel à projets du FEJ lancé en 2009 et deux premiers appels à projets ultra marins lancés en 2009 et en 2011). La note décrit succinctement les dispositifs expérimentés, en proposant des zooms sur des projets illustrant la gamme des actions soutenues. Elle expose les méthodes d'évaluation appliquées et les principaux résultats de ces évaluations. Les évaluations
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