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"Lors de la messe célébrée ce 12 mai en la chapelle de la Maison Sainte-Marthe, le Saint-Père a demandé à Dieu de bénir les infirmières et les infirmiers qui, en cette période de pandémie, ont servi parfois jusqu'au don de leur vie. Dans son homélie, il a rappelé que la paix de Jésus est un don gratuit qui s'ouvre toujours aux autres et donne l'espérance du Ciel, qui est la paix définitive, tandis que la paix du monde est égoïste, stérile et provisoire."

"Damien a 8 ans. Il vient de recevoir une lettre du Pape. Le petit Italien avait invité François à se joindre à lui et ses amis de l'Unitalsi (l'Union Nationale italienne des transports des malades) et devenir avec eux « ambassadeur de paix » lors de leur pèlerinage à Lourdes, dans le sud-ouest de la France. La réponse du Pape sera lue ce mercredi en marge d'une messe célébrée au sein du sanctuaire marial à l'occasion du Xème pèlerinage des Enfants en mission de paix de l'Union Nationale italienne des transports des malades à Lourdes et aux sanctuaires internationaux. "

"Et pour les personnes handicapées"

"Dans sa traditionnelle bénédiction urbi et orbi, cette année exceptionnellement prononcée depuis l'intérieur du Palais apostolique, le pape François a encouragé chacun à « rencontrer l'autre différent de moi », « même s'il n'est pas de ma famille, de mon ethnie, de ma religion »."

" Chers malades, unissez l'offrande de votre souffrance à l'intention de prière pour la paix dans les familles ; et vous, chers nouveaux mariés, fondez votre foyer conjugal sur le roc de la Parole de Dieu », a ajouté le pape."

"A quelques jours de Noël, la messe des malades a eu lieu à la Chapelle du Centre Hospitalier Spécialisé de Blain, le mardi 22 décembre 2015 à 15h. Mgr Jean-Paul James, Évêque du Diocèse de Nantes, a présidé cette messe, et a pu concélébrer avec sept prêtres et diacre de la paroisse Notre Dame de la Paix sur Isac (Blain), ou de Nantes, tous engagés dans la Pastorale Santé."

"La pastorale de la santé vous invite à une journée mondiale des malades à l'église Notre Dame de la Paix à Gond-Pontouvre"

Réalisé par la pastorale de la santé "A domicile ou en EHPAD, nous ne pourrons pas célébrer les offices de la semaine Sainte ni même aller prier chez vous ou vous porter les sacrements pour les fêtes de Pâques. Ce petit livret a été préparé pour vous permettre de rester en union de prière avec toute l'Église : qu'il soit pour vous un signe de notre fraternité et de notre amitié, et vous permette de passer ces jours de confinement dans la paix. Nous vous disons à bientôt, dans la joie de célébrer avec vous et de bénir vos rameaux dès que cela sera possible. Nous continuons de prier pour et avec vous"

"La visite du père Yann Deswarte, qui donne le sacrement des malades, rassure les victimes du coronavirus et réconforte leurs proches, tenus à distance du fait de la limitation des visites à l'hôpital." [RDP du 15 avril 2020]

"Par cette lettre, je tiens donc à vous dire que je suis de tout coeur avec vous toutes et vous tous qui vivez ce temps de confinement, souvent de manière difficile et, parfois, comme une solitude lourde à porter. Je vous souhaite de vivre ces jours du temps pascal dans la paix et dans la joie que le Christ vivant apporte à chacun. Puisse-t-Il vous aider à renouveler votre confiance en Lui et à vivre ce temps actuel plus profondément en sa présence. Oui, le Christ est vraiment ressuscité !"

"Un prêtre du diocèse de Paris, diagnostiqué positivement au nouveau coronavirus, a été hospitalisé vendredi 28 février. Son état est jugé « très rassurant ». Les évêques préconisent de refuser la communion à la bouche, d'éviter les poignées de main pour le signe de paix et de vider les bénitiers."

"Les diocèses de France ont adressé le 29 février des recommandations précises aux prêtres et aux fidèles afin d'éviter que le virus ne se propage lors des offices."

"Un nouveau patient contaminé par le coronavirus est décédé lundi 3 mars portant à trois morts en France le bilan de l'épidémie de coronavirus qui affecte de plus en plus la vie quotidienne des Français. Plusieurs diocèses ont pris des dispositions pour la prévenir en recommandant la communion dans la main, l'absence d'échange de paix et même l'annulation de certaines messes."

"Face aux dispositions mises en place dans un certain nombre de paroisses françaises, certains catholiques protestent et regrettent des mesures trop restrictives. Prêtre du diocèse de Paris, le père Denis Metzinger revient sur la signification des gestes pratiqués au cours de la messe."

"Nous continuons à prier pour les personnes qui sont tombées malades pendant cette pandémie. Je voudrais aujourd'hui demander une prière spéciale pour les familles, les familles qui, d'un jour à l'autre, se retrouvent avec leurs enfants à la maison, parce que les écoles sont fermées par sécurité, et elles doivent gérer une situation difficile et bien la gérer, dans la paix et aussi dans la joie. Je pense de manière particulière aux familles dont un membre est porteur de handicap."

"Valérie Régnier, la responsable de Sant'Egidio France, association engagée dans la lutte contre la pauvreté et le travail pour la paix, se fait l'écho du traumatisme subi par les enfants de personnes décédées en Éhpad. S'appuyant sur l'expérience de la communauté Sant' Egidio, elle propose de mettre en place des solutions différentes."

"Au sein de son unité de soins palliatifs, la clinique des Augustines de Malestroit (Morbihan) accueille des patients atteints d'une maladie grave à un stade avancé ou terminal. Là, vie et mort s'entremêlent dans une paix profonde, insufflée par sœur Roxane, la responsable."

"Pourquoi un dimanche de la santé ? La santé est un don, la possibilité de vivre en paix, d'avoir de quoi construire et réaliser sa vie, d'être en forme autant qu'il est possible, physiquement, psychiquement, socialement, tout cela c'est la santé. Et la santé, c'est aussi cette possibilité de rebondir, au cœur des épreuves, malgré les difficultés, et de goûter chaque matin la vie, même si on est fragile, même si on est un peu « cabossé ». Car la santé touche de vastes territoires et concerne la totalité de l'être. Le dimanche de la santé est une occasion d'inviter tous les chrétiens à réfléchir sur leur santé, ce bien qui nous est donné et que nous devons sauvegarder pour être utiles à nos frères. Une intention de prière ne suffit pas ! Nous sommes tous concernés. Partout où nos vies nous conduisent, c'est là que nous devons accueillir l'autre, toute personne fragile, malade ou en situation de handicap."

" Dans ce contexte, le vaccin n'est pas une option mais l'un des seuls outils pour sortir de cette pandémie. Le Pape François, conscient de cette dimension de solidarité dans le combat contre le virus a donné l'exemple en se faisant vacciner, et en faisant organiser au Vatican des séances de vaccination pour les plus défavorisés. Dans notre Fenua, nous avons cette chance de pouvoir nous faire vacciner, chance que beaucoup de peuples n'ont pas. Que n'entendrions-nous pas si le vaccin n'était pas arrivé chez nous ! Pourtant, l'augmentation du taux de personnes vaccinées semble ralentir. Face à la montée en puissance du variant Delta, face à la réouverture des frontières qui doit apporter une bouffée d'oxygène à notre économie et au tourisme, la vaccination demeure pourtant le seul moyen de nous protéger, de protéger nos matahiapo, de protéger les membres de nos familles. Si nous voulons voir le plus rapidement possible disparaitre ces mesures sanitaires qui altèrent nos célébrations et l'expression de nos relations fraternelles, si nous voulons retrouver un jour la spontanéité d'une accolade, d'un geste de paix, le plaisir d'un repas partagé sans limite de participants, si nous voulons aimer et protéger nos frères et sœurs, et si nous ne l'avons pas encore fait, un seul moyen, vaccinons-nous !"

"Du 6 au 8 juillet, se tient en ligne l'assemblée plénière de la Conférence épiscopale de Colombie."