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"La pastorale de la santé de notre diocèse souhaite partager une initiative lancée par la Faculté de Théologie de Lyon (Université Catholique de Lyon - UCLy) : un MOOC intitulé Guérison et Foi dans le récit biblique. Ce MOOC est ouvert à tous les professionnels de santé, les aumôniers d'hôpitaux et plus largement à tous ceux qui œuvrent auprès de malades ou de personnes porteuses d'un handicap.   Salut et guérison sont-ils identifiables? Peut-on être guéri sans être sauvé? Quel rapport peut entretenir la maladie avec le péché? Quel est le lien entre foi et guérison? Pendant 7 semaines, plongez dans les récits bibliques de guérison (Job, le paralytique pardonné, l'aveugle né, etc.) et explorez les liens complexes entre péché, maladie, guérison et salut. Ce MOOC est une formation 100% gratuite, en ligne et interactive (vidéos, quizz, forum, événements live…)."

"Le pape François, durant l'audience du 26 février 2014, expliquait : « Parfois, au moment d'appeler le prêtre, on se dit : « Non, ça va porter malheur » ou « Ça va effrayer le malade ». Pourquoi ? Parce qu'on pense que le prêtre sera suivi des pompes funèbres ! Mais le prêtre vient pour aider. C'est Jésus Lui-même qui s'approche pour soulager le malade, pour lui donner la force, l'espérance, pour l'aider, et même pour pardonner ses péchés. C'est Jésus Lui-même qui nous prend par la main, qui nous caresse comme Il le faisait avec les malades. Il nous rappelle que nous Lui appartenons et que rien - ni le mal ni la mort - ne pourra nous séparer de Lui ». Le sacrement des malades est offert à tout baptisé très âgé ou malade. Administré par un prêtre, il consiste en l'imposition des mains et l'onction avec l'huile des malades, donnée sur la paume des deux mains."

"À quoi sert l'objection de conscience ? À garder les mains blanches ou à combattre les « structures de péché » qui empoisonnent la société ? Petit tour d'horizon d'une question délicate."

"Au cours de la messe matinale à Sainte-Marthe, le Pape a remercié les médecins, les infirmières et les prêtres qui s'occupent des malades du coronavirus : un exemple d'héroïsme. Dans son homélie, il a mis en garde contre le péché de paresse."

"Je suis venu pour les malades et les pécheurs. Cette parole de Jésus nous place au cœur intime de l'expérience de foi. La maladie ou notre péché peuvent parfois conduire à dire : où es Dieu ? Pourtant, la foi au Christ nous est donnée pour traverser l'épreuve. La venue de Jésus parmi les hommes s'est produite dans ce but. Il est là, tout près."

"Dimanche 28 juillet, la pénitencerie apostolique accorde l'indulgence plénière aux représentants des personnes âgées et aux fidèles «qui, animés d'un esprit de pénitence et de charité» participeront aux différentes fonctions liturgiques dans le monde. Elle concerne aussi les malades, leurs accompagnateurs et ceux qui, ne pouvant sortir de chez eux, «s'y associeront spirituellement», détachés du péché et avec l'intention de remplir les conditions habituelles."

"Continuons à prier ensemble pour les malades, les agents de la santé, les nombreuses personnes qui souffrent à cause de cette épidémie."

"La conception de la maladie a profondément évolué dans l'histoire de la Bible. Mais la vraie rupture, antérieure à Jésus, remonte au livre de Tobie. Explications de Régis Burnet, professeur de Nouveau Testament à l'université catholique de Louvain."