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"Le décret n° 2017-756 du 3 mai 2017 relatif aux aumôniers militaires, hospitaliers et pénitentiaires et à leur formation civile et civique a rendu obligatoire la détention d'un diplôme de formation civile et civique pour les aumôniers rémunérés ou indemnisés nouvellement recrutés. En outre, afin de faciliter l'application de cette nouvelle disposition, l'administration conserve la possibilité de recruter un aumônier non titulaire d'un diplôme pour une durée limitée, et à la condition que celui-ci s'engage à obtenir le diplôme dans un délai de deux ans. A l'issue de ce délai, le contrat de l'aumônier ne pourra être renouvelé si le diplôme n'a pas été obtenu. Le texte n'est applicable aux collectivités territoriales d'outre-mer que si un diplôme est agréé dans le ressort territorial de la collectivité concernée ou si un diplôme universitaire à distance est agréé. Un tel diplôme inter universitaire, piloté par l'université de Toulouse, vient d'être créé. Le diplôme que devront détenir les aumôniers peut être délivré par différents types d'établissements d'enseignement. L'arrêté du 5 mai 2017 relatif aux diplômes de formation civile et civique suivie par les aumôniers militaires d'active et les aumôniers hospitaliers et pénitentiaires a fixé les conditions d'établissement de la liste des formations agréées: contenu et durée des formations, modalités d'agrément, condition de publication. La première liste des formations agréées, publiée au Bulletin officiel du ministère de l'intérieur du mois d'août, a été arrêtée le 31 juillet 2017, permettant ainsi aux aumôniers concernés de s'inscrire dès cette rentrée."

"Rencontres des aumôniers en établissements de santé Jeudi 03 Novembre 2016 Mission des aumôniers (contrat-durée-visites) - Les AH catholiques françaises - Les autres culte - Par Denise Lanblin, responsable nationale des Aumôneries Hospitalières."

"Être une présence auprès des personnes en fragilité psychique, telle est la mission des aumôniers et bénévoles. Monique Durand-Wood, ancien aumônier en hôpital psychiatrique, explique le sens de la présence des aumôneries dans les hôpitaux psychiatriques."

"Selon les hôpitaux, les aumôniers ne sont plus toujours autorisés à visiter les patients atteints du COVID-19, même lorsque ceux-ci sont mourants. Le vicaire général du diocèse de Paris demande aux autorités d'autoriser tous les malades qui le souhaitent à recevoir la visite d'un aumônier." [RDP du 30 mars 2020]

"Comme aumônier, vous avez reçu votre mission de l'Evêque par l'intermédiaire de la Responsable diocésaine des aumôneries hospitalières, vous êtes salarié de l'Association Diocésaine et mis à disposition de l'hôpital.  Votre mission s'exerce sur les différents sites de l'hôpital de Mayenne, dont un pôle de santé mentale, en collaboration avec un autre aumônier ayant également reçu mission. "

En ces temps de pandémie, s'il est bien un lieu qui est sous le feu de l'actualité c'est l'hôpital. Etrange situation qui met à l'honneur ce lieu qui parle de la faiblesse et de la mort, deux réalités que nous avons tendance à fuir. Aux côtés des malades et des mourant se tiennent notamment des chrétiens, comme les aumôniers d'hôpitaux. Avec Prisca Costes, laïc en mission ecclésiale, aumônier de l'hôpital de Saint-Gaudens.

"Les aumôniers hospitaliers ont dû revisiter leur soin des âmes face au Covid-19. Un an déjà que la crise désorganise les visites aux patients dans les hôpitaux. Face à un virus qui interroge plus encore qu'avant la peur de la mort, les aumôniers tentent tant bien que mal de préserver du lien social entre malades, familles et soignants. Non sans difficultés tant les restrictions d'accès pèsent sur ce soutien moral et spirituel."

"À compter de ce jour (31/10/2020), les visites aux malades de la part des familles sont suspendues pour les hôpitaux de l'APHM (Assistance Publique des Hôpitaux de Marseille). Cela était déjà vrai pour l'hôpital Saint Joseph. Les autres établissements risquent de suivre le même mouvement. Cela est difficile à vivre pour chacun. Aussi, nous vous rappelons que dans chaque hôpital, des aumôniers conservent le droit de visiter les malades, de leur donner le sacrement des malades, de leur apporter la communion, de faire le lien avec les familles. Il existe un service d'aumônerie pour chaque culte : Cela peut aussi être rappelé. Le numéro d'écoute de la pastorale de la santé dirigera les appels des proches vers les aumôniers."

"Canicule, pandémie, fatigue, mal-être ou besoin d'échanger, tout simplement... Les raisons de faire appel à un aumônier durant l'été ne manquent pas plus qu'en hiver. Si vous êtes hospitalisé-e dans un établissement situé sur notre diocèse, ou si l'un de vos proches l'est, n'hésitez pas à recourir aux bons soins spirituels et fraternels de nos aumôniers. Ils sont là pour vous, été comme hiver. Ils sont aussi là pour les personnels soignants, désireux d'échanger et de se ressourcer auprès d'eux. Osez les contacter !"

"Dimanche 12 février, c'est le dimanche de la santé. Ce jour-là, les chrétiens sont invités à prier pour les soignants et tous les malades qu'ils accompagnent. Mais aussi pour les aumôniers et bénévoles qui visitent les malades, parfois jusqu'au dernier souffle. Témoignage de Geneviève, aumônier à l'EHPAD de Tiercé."

"Tous les deux ans, les aumôniers des pays francophones européens organisent à tour de rôle les « Journées des aumôneries francophones ». En 2012, elles ont eu lieu à Bordeaux, en 2010 à St Loup en Suisse, en 2008 à Bruxelles… Ces journées regroupent entre 100 et 150 participants : aumôniers, bénévoles, soignants, médecins, personnels administratifs. Elles se veulent oecuméniques. Elles sont organisées cette année par les aumôneries de Besançon, Montbéliard, Mulhouse et Nancy sous l'égide de la Fédération protestante de France. Autour du thème : « Accompagner la personne qui refuse de se soigner »"

"Le service diocésain de la pastorale de la santé recherche des prêtres, âgés de moins de 70 ans, pour intervenir après discernement de l'aumônier, pour des accompagnements avec demande de sacrement. les aumôniers d'hôpitaux sont considérés comme personnel soignant et peuvent donc se déplacer avec justificatif de dérogation malgré les mesures de confinement. Une formation courte pour donner le cadre des interventions en aumônerie hospitalière sera alors nécessaire. Les anciens aumôniers ou bénévoles déjà formés en pastorale santé peuvent également se signaler. Condition indispensable : avoir moins de 70 ans. Ce type d'intervention exceptionnelle ne contrevient pas au devoir de confinement auquel nous sommes tenus. Ces interventions à la demande des soignants entrent dans le cadre des dérogations."

"Un an après le Covid, quelle espérance chrétienne dans les établissements de santé, au bout de longs mois de solitude et de relations chamboulées par la pandémie ? Trois aumôniers témoignent qu'à travers le dévouement sans limites de certains accompagnants ou un sourire retrouvé, Dieu est toujours présent. Épuisement, découragement… Aux Capucins à Angers, depuis un an, l'impossibilité de sortir en famille ou de prendre ses repas en salle à manger a laissé des traces. Au Centre médico-psychologique (CMP) aussi la période a été difficile : les patients se sont retrouvés « seuls face à eux-mêmes, face à leurs fragilités ou leurs angoisses... ». De moments douloureux que tous ont traversé : malades, personnels soignants, bénévoles et aumôniers."

"Cette journée est par exemple : Une Occasion pour le service évangélique des malades (Sem) appelé aussi équipes de visiteurs à domicile, aumôniers hospitaliers en établissements de santé dans les paroisses, de rappeler que beaucoup de personnes en souffrance ne peuvent se déplacer pour assister à la messe, et d'inciter les chrétiens à rejoindre les équipes bénévoles qui vont visiter ou porter la communion aux malades dans la custode. Au cours de de la messe dominicale du 7 février 2021, donner une large place aux acteurs de la santé. Aumôniers, équipes de visiteurs des malades, les soignants …. Un Edito… la première page de la feuille paroissiale peut faire l'objet d'un édito spécifique à cette journée. Une prière spécifique pourra être lue après la communion, et distribuée en fin de messe."

"20 janvier 2021 matin, réunion téléphonique avec les aumôniers du diocèse. Béatrice, aumônier de Soissons anime la prière et nous propose cette méditation (écrite par elle-même) suite à l'évangile de Jean 13 et 15 en lien avec la prière de l'unité des chrétiens."

"Être aumônier ou bénévole en psychiatrie ne s'improvise pas. La pastorale de la Santé du diocèse de Paris lance, à partir de janvier et jusqu'en juin, une formation sur six journées. Présentation et explications du P. Laurent Lemoine, prêtre, dominicain et psychanalyste, aumônier à l'hôpital Sainte-Anne (14e)."

"L'aumônerie est un service de l'hôpital. L'aumônier catholique fait partie d'une équipe constituée à Paimpol d'1 aumônier à mi-temps (50%), d'un prêtre accompagnateur et de bénévoles et à Tréguier de 2 aumôniers à 40%, d'un diacre accompagnateur et de bénévoles."

"Cette formation en 5 modules s'adresse aux nouveaux aumôniers mais aussi aux aumôniers déjà en mission qui peuvent suivre les modules à la carte en guise de formation continue. Les personnes en discernement ou en questionnement sur ce type de mission auprès des malades sont aussi les bienvenues (après un entretien préalable avec Stéphanie Bourgois)."

"Être là pour que la question de Dieu ne s'oublie pas : les bénévoles et les aumôniers d'hôpitaux sont une présence fraternelle offerte à tous ceux qui le souhaitent, qui exprime au patient combien il compte pour la société toute entière, combien sa vie a du prix. Catherine de Vregille est aumônier à l'hôpital de Chinon depuis une dizaine d'années. Avec une joie communicative, elle nous partage quelques-unes des pépites d'humanité qu'elles a vécues. "

"Comment se passe la rencontre entre les patients et les aumôniers de santé ? Témoignage de Jeanne Mombelli, responsable de la pastorale de la santé du diocèse @EgliseHerault pour notre série sur le rôle des accompagnants spirituels en milieu médical"