"En paroisse, dans les hôpitaux, les Ehpad, nous célébrerons le Dimanche de la Santé, en lien avec la « Journée Mondiale du Malade », le dimanche 10 février 2019."
"Initié par les diocèses de Lille, Arras et Cambrai, le dimanche de la santé s'est étendu à l'ensemble des diocèses depuis le Jubilé de l'an 2000. Cette célébration, qui s'inscrit toujours dans le cadre de la liturgie dominicale, permet aux assemblées de chrétiens de prier en lien avec la Journée mondiale du Malade."
"La XXVIIe Journée Mondiale du Malade est célébrée cette année de façon solennelle à Calcutta, en Inde. Dans son message, le Pape François rappelle : « Le soin des malades a besoin de professionnalisme et de tendresse, de gestes gratuits, immédiats et simples comme une caresse, à travers lesquels on fait sentir à l'autre qu'il nous est cher. »"
"Instituée par le saint pape Jean-Paul II le 13 mai 1992, la Journée mondiale du malade est célébrée chaque année le 11 février par l'Église universelle, en la mémoire de Notre-Dame de Lourdes. Cette année, son thème met l'accent sur le don de soi au service de ceux qui souffrent, avec cette phrase de l'Évangile: «Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement» (Mt 10,8). Le père Bruno Cazin revient sur cette aspect fondamental des soins et du cheminement intérieur de la personne malade. "
"Le pape François « exhorte (…) à promouvoir la culture de la gratuité et du don, indispensable pour dépasser la culture du profit et du déchet ». Il « invite à rester humbles et à pratiquer courageusement la solidarité, comme vertu indispensable à l'existence »."
Dans un premier avis adopté le 28 juin 2017 « Refonder les politiques de prévention et de promotion de la santé », l'ensemble des membres du Haut Conseil a affirmé son attachement à la priorité à donner à la prévention et à la promotion de la santé. Pour traduire cette priorité en actes, l'avis souligne la nécessité d'en clarifier les enjeux stratégiques et de refonder le cadre de l'action publique. En effet, « avant que d'être une question de moyens - au demeurant pas si modestes dans certains domaines - le problème de politique publique posé en matière de prévention est d'abord un problème de conception et de mise en œuvre de l'action publique ». Celles des orientations formulées dans l'avis relatives à la gouvernance ont été pour l'essentiel reprises à l'automne 2017 par les pouvoirs publics lors de la définition de la Stratégie nationale de santé pour 2018-2022 qui a fait de la prévention et de la promotion de la santé une priorité.
Rendre effective cette priorité requiert également la capacité à généraliser des organisations qui fonctionnent encore le plus souvent dans des cadres juridiquement dérogatoires et financièrement précaires et sont loin de couvrir l'ensemble de la population. La question n'est pas en réalité de savoir ce qui marche, on le sait déjà, mais de trouver les voies d'un déploiement raisonné sortant la prévention et la promotion de la santé de leur statut d'exception. Ce devrait être chose possible, à l'heure où les professionnels de santé se sont vu reconnaître une responsabilité populationnelle et où l'assurance maladie a acquis un caractère universel. L'avis adopté le 25 octobre 2018 « La prévention dans le système de soins - Organisation, territoires et financement » formule des propositions pour le déploiement de la prévention et de son financement dans le droit commun de la nouvelle organisation issue de la Stratégie de transforma
Les opinions des Français sont parfois très marquées par leur appartenance à un territoire. Les données du Baromètre d'opinion de la DREES 2017, qui interroge 3 000 personnes, laissent apparaître certains de ces contrastes. Pour les mettre en évidence, une typologie des communes françaises ad hoc a été élaborée : elle montre qu'en 2017, huit habitants des grands centres urbains sur dix estiment que notre système de sécurité sociale apporte un niveau de protection suffisant, contre deux tiers de ceux des campagnes isolées.
Les opinions relatives à l'accès aux soins ou à l'intégration des étrangers divergent aussi entre les grands centres et les territoires qui en sont les plus éloignés. Les trois quarts des habitants des campagnes isolées estiment que le nombre de médecins spécialistes à proximité de chez eux est insuffisant, contre un tiers dans les grands centres. Six personnes sur dix des campagnes isolées ou des petits centres urbains déclarent qu'il y aurait trop de travailleurs immigrés en France, contre quatre sur dix dans les grands centres.
Les habitants des « banlieues », qu'elles soient plutôt favorisées ou défavorisées, se distinguent par une vision plus optimiste de leur propre situation.
- Alcool et réduction des risques
- La consommation d'alcool chez les adultes en France en 2017
- La mortalité attribuable à l'alcool en France en 2015
- Consommation et approvisionnement en alcool à 17 ans en France : résultats de l'enquête ESCAPAD 2017
- Perceptions et comportements vis-à-vis de l'alcool à l'adolescence : connaître les contextes et les motivations d'usage pour agir efficacement
"La ministre des solidarités et de la santé, Agnès Buzyn, a présenté le 13 février 2019 un projet de loi sur l'organisation et la transformation du système de santé. Ce projet de loi s'inscrit dans la stratégie « Ma santé 2022 », lancée en septembre 2018. Il entend répondre aux « défis actuels du système de santé » (inégalités territoriales, vieillissement de la population, etc.)."
"Dans son bulletin épidémiologique hebdomadaire du 19 février, Santé publique France fait le point sur la consommation d'alcool et ses conséquences pour la santé dans notre pays. Un chiffre en particulier retient l'attention : 10 % des 18-75 ans boivent à eux seuls 58 % de l'alcool consommé en France."
"Avec environ 9 000 décès par suicide par an, la France présente un des taux de suicide les plus élevés d'Europe. Il s'agit donc d'un problème majeur de santé publique dont l'impact en termes humains et économiques est important.
L'objectif de ce numéro du BEH est de faire le point des données sur les conduites suicidaires en France à partir d'enquêtes et de bases médico-administratives qui permettent d'étudier la mortalité, la morbidité et les causes associées à l'acte suicidaire. Ces connaissances sont indispensables pour renforcer les stratégies de prévention du suicide. Y est également abordée la question de l'évaluation des associations de prévention et d'aide à distance en santé dans le domaine de la prévention du suicide. "
"Le Dimanche de la santé est l'occasion de rappeler ce qu'est le sacrement des malades, un geste encore assez méconnu, souvent associé à l'extrême onction. L'abbé Thierry Farenc apporte un éclairage sur ce signe de la tendresse de Dieu pour l'homme blessé."