Parmi les bouleversements qu'Internet apporte dans les pratiques de l'historien*ne, la profusion d'images anciennes n'est pas le moindre : plus besoin de faire les brocantes le dimanche ou d'écumer les albums de famille à la recherche de cartes postales ou de photographies privées des terrains d'étude, tout semble disponible sur la Toile, en haute qualité s'il vous plaît ! Dans la pratique, c'est un peu plus compliqué : l'historien*ne doit jongler entre des sources très éparpillées et rarement bien contextualisées qui impressionnent par leur nombre… et ne reste jamais très loin des dépôts d'archives."