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Aurialie Jublin

(S)Lowtech - déprogrammer l'obsolescence (pdf) - PING - 0 views

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    (S)lowtech est un projet amorcé par PiNG en 2013 à l'occasion de Nantes Capitale Verte. Depuis ses débuts, le projet a pour ambition d'explorer avec les citoyens des solutions alternatives pour résister à l'obsolescence des équipements informatiques et électroniques : réparer et détourner !
Aurialie Jublin

LOW←TECH MAGAZINE - How to build a low-tech website - 0 views

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    "Our new blog is designed to radically reduce the energy use associated with accessing our content."
Aurialie Jublin

Le Libre peut-il faire le poids ? - Framablog - 0 views

  • l’économie des géants du numérique est, pour certains, basée sur une attitude extrêmement agressive : il faut être le moins cher possible, perdre de l’argent à en crever et lever des fonds à tire-larigot pour abattre ses concurrents avec comme logique un pari sur la quantité d’argent disponible à perdre par participants. Celui qui ne peut plus se permettre de vider les poches de ses actionnaires a perdu. Tout simplement. Si ces entreprises imaginent, un jour, remonter leurs prix pour envisager d’être à l’équilibre ou rentable, l’argument du « ce n’est pas possible puisque ça rouvrira une possibilité de concurrence » sortira du chapeau de ces génies pour l’interdire. Du capitalisme qui marche sur la tête.
  • La deuxième grande technique des géants du numérique est basée sur la revente de statistiques collectées auprès de leurs utilisateurs. Ces données privées que vous fournissez à Google, Facebook Inc,, Twitter & co permettent à ces sociétés de disposer d’une masse d’informations telle que des entreprises sont prêtes à dégainer leurs portefeuilles pour en dégager des tendances.
  • Une troisième technique consiste à reprendre les données collectées auprès des utilisateurs pour afficher de la pub ciblée, donc plus efficace, donc plus cher. C’est une technique connue, alors je ne développe pas.
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  • Une autre technique est plus sournoise. Pas pour nous autres, vieux loubards, mais pour les jeunes : le placement produit. Même si certain Youtubeurs en font des blagues pas drôles (Norman…), ce truc est d’un vicieux.
  • Ces influenceurs sont friands de plateformes taillées pour leur offrir de la visibilité et clairement organisées pour attirer l’œil des Directeurs de Communication des marques. Mastodon, Pixelfed, diaspora* et les autres ne permettent pas de spammer leurs utilisateurs, n’attirent donc pas les marques, qui sont la cible des influenceurs, ces derniers n’y dégageant, in fine, aucun besoin d’y être présents.
  • On peut attendre que les Uber se cassent la figure calmement, on peut attendre que le droit décide enfin de protéger les données des utilisateurs, on peut aussi attendre le jour où les consommateurs comprendront qu’ils sont les seuls responsables de l’inintérêt de ce qu’ils regardent à la télé, au cinéma, en photos ou encore que les mastodontes du numérique soient démantelés. Bref, on peut attendre. La question est : qu’aurons-nous à proposer quand tout ceci finira par se produire ?
  • Après la FinTech, la LegalTech, etc, faites place à la LowTech ou SmallTech. Je ne connaissais pas ces expressions avant de tomber sur cet article dans le Framablog et celui de Ubsek & Rica d’Aral. On y apprend que c’est un mouvement qui s’oppose frontalement aux géants, ce qui est fantastique. C’est une vision du monde qui me va très bien, en tant que militant du Libre depuis plus de 10 ans maintenant. On peut visiblement le rapprocher de l’initiative CHATONS. Cependant, j’ai du mal à saisir les moyens qui pourraient être mis en œuvre pour sa réussite.
  • Les mentalités actuelles sont cloisonnées : le Libre, même s’il s’impose dans quelques domaines, reste mal compris. Rien que l’idée d’utiliser un programme au code source ouvert donne des sueurs froides à bon nombre de DSI. Comment peut-on se protéger des méchants si tout le monde peut analyser le code et en sortir la faille de sécurité qui va bien ? Comment se démarquer des concurrents si tout le monde se sert du même logiciel ? Regardez le dernier changelog : il est plein de failles béantes : ce n’est pas sérieux !
  • Parlons aussi de son mode de fonctionnement : qui se souvient d’OpenSSL utilisé par tout le monde et abandonné pendant des années au bénévolat de quelques courageux qui n’ont pas pu empêcher l’arrivée de failles volontaires ? Certains projets sont fantastiques, vraiment, mais les gens ont du mal à réaliser qu’ils sont, certes, très utilisés mais peu soutenus. Vous connaissez beaucoup d’entreprises pour lesquelles vous avez bossé qui refilent une petite partie de leurs bénéfices aux projets libres qui les font vivre ?
  • On peut faire un vrai parallèle entre la situation de la Presse en ligne et les services numériques. Trouver des gens pour payer l’accès à un Nextcloud, un Matomo ou que sais-je est une gageure. La seule différence qui me vient à l’esprit est que des services en ligne arrivent à s’en sortir en coinçant leurs utilisateurs dans des silos : vous avez un Windows ? Vous vous servirez des trucs de Microsoft. Vous avez un compte Gmail, vous vous servirez des trucs de Google. Les premiers Go sont gratuits, les autres seront payants. Là où les journaux généralistes ne peuvent coincer leurs lecteurs, les géants du numérique le peuvent sans trop de souci.
  • Perso, je l’ai déjà dit, j’adhère volontiers à cette vision du monde horizontale et solidaire. Malgré tout, mon envie de travailler, d’avoir un salaire, une couverture sociale, une activité rentable, et peut-être un jour une retraite, me poussent à grimacer. Si les bribes d’idéologie LowTech orientent les gens vers des associations, comment fait-on pour sortir de terre une entreprise éthique, rentable et solidaire ?
  • L’idée, connue, serait de s’attaquer au marché des entreprises et des collectivités pour laisser celui des particuliers aux associations sérieuses. Mais là encore, on remet un pied dans le combat pour les logiciels libres contre les logiciels propriétaires dans une arène encerclée par des DSI pas toujours à jour. Sans parler de la compétitivité, ce mot adoré par notre Président, et de l’état des finances de ces entités. Faire le poids face à la concurrence actuelle, même avec les mots « éthique, solidaire et responsable » gravés sur le front, n’est pas évident du tout.
  • Cette conférence vue au FOSDEM, The Cloud Is Just Another Sun, résonne terriblement en moi. L’intervenant y explique que les outils libres que nous utilisons dans le cloud sont incontrôlables. Qui vous certifie que vous tapez bien dans un MariaDB ou un ES quand vous n’avez accès qu’a une boite noire qui ne fait que répondre à vos requêtes ? Rien.
  • Pour finir, ne mettons pas complètement de côté l’existence réelle d’un marché : Nextcloud en est la preuve, tout comme Dolibarr et la campagne de financement réussie d’OpenDSI. Tout n’est peut-être pas vraiment perdu. C’est juste très compliqué.
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    "Dans un article assez lucide de son blog que nous reproduisons ici, Dada remue un peu le fer dans la plaie. Faiblesse économique du Libre, faiblesse encore des communautés actives dans le développement et la maintenance des logiciels et systèmes, manque de visibilité hors du champ de perception de beaucoup de DSI. En face, les forces redoutables de l'argent investi à perte pour tuer la concurrence, les forces tout aussi redoutables des entreprises-léviathans qui phagocytent lentement mais sûrement les fleurons du Libre et de l'open source… Lucide donc, mais aussi tout à fait convaincu depuis longtemps de l'intérêt des valeurs du Libre, Dada appelle de ses vœux l'émergence d'entreprises éthiques qui permettraient d'y travailler sans honte et d'y gagner sa vie décemment. Elles sont bien trop rares semble-t-il. D'où ses interrogations, qu'il nous a paru pertinent de vous faire partager. Que cette question cruciale soit l'occasion d'un libre débat : faites-nous part de vos réactions, observations, témoignages dans les commentaires qui comme toujours sont ouverts et modérés. Et pourquoi pas dans les colonnes de ce blog si vous désirez plus longuement exposer vos réflexions."
Aurialie Jublin

Des impacts énergétiques et sociaux de ces data-centers qu'on ne voit pas - Mais où va le Web - 0 views

  • Côté consommation pour commencer, les études les plus pessimistes avancent que ceux-ci pourraient représenter jusqu’à 13% de l’électricité mondiale en 2030 (avec un secteur informatique qui consommerait jusqu’à 51% du total de la consommation électrique mondiale). Des chiffres qui ne font pas l’unanimité, The Shift Project prévoyant plutôt 25% pour le secteur informatique et 5% pour les data centers en 2025 (ces 5% équivaudraient tout de même à toute la consommation électrique actuelle du secteur numérique).
  • Même si l’on constate de nombreux efforts faits pour améliorer l’efficacité énergétique des infrastructures, par exemple du côté des « big tech », l’ADEME rapporte que les géants du numérique ne portent pas un véritable discours sur la « sobriété énergétique et numérique nécessaire pour rester sous la perspective d’une augmentation des températures planétaires de 1,5°.»
  • Le rapport insiste ensuite sur les déséquilibres qui résultent de certaines implantations dans les territoires. Première constatation : ces impacts sociaux sont très peu documentés. Bien souvent, les data centers arrivent sans dire leur nom, en périphérie des villes, aux Etats-Unis ou en France, à Saclay par exemple ou encore Plaine Commune. Cette furtivité des bâtiments rend d’autant plus difficile les contestations ou demandes de participation de la part des populations locales.
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  • Ils sont considérés comme de simples entrepôts par les pouvoirs publics alors même que leur consommation électrique a des répercussions à l’échelle d’un territoire tout entier.
  • Autre phénomène important : les data centers attirent les data centers, pour des questions de mutualisation d’énergie et de réseaux de télécommunication. Bien souvent, les hiérarchies urbaines en place sont renforcées par ces mécanismes. Les élus eux, peinent à lutter contre des acteurs puissants qui imposent leurs conditions « dans une négociation asymétrique qui pousse certains territoires à sur-calibrer des infrastructures énergétiques, hydrauliques et viaires pour pouvoir accueillir quelques dizaines, ou centaines d’emploi si l’on inclut les phases de construction. »
  • Aujourd’hui, c’est plutôt pour installer des hangars logistiques et des fermes de serveurs qu’on artificialise les sols. Autre effet non négligeable qui mériterait sans doute une discussion plus ample avec les populations locales : l’étalement urbain.
  • Le rapport souligne ensuite les possibles synergies entre les infrastructures numériques et le territoire. La réutilisation de la chaleur générée par les data centers  est à ce titre un cas d’usage bien connu. A Bailly-Romainvilliers, par exemple, le data center de BNP Parisbas chauffe le centre nautique voisin. Celui de Céleste à Noisy-Champs, chauffe ses propres bureaux. D’autres systèmes très chauffants comme les chaudières numériques de Stimergy chauffent une partie de l’eau de la piscine de la Butte-aux-Cailles, dans le treizième arrondissement de Paris.
  • Cependant, ces exemples restent anecdotiques. Dans l’immense majorité des cas, la chaleur n’est pas récupérée. D’abord pour des questions de coût et de rentabilité économique : les promoteurs des data-centers attendent des rendements sur des périodes courtes incompatibles avec la contractualisation pour les réseaux de chaleur (des engagements qui coulent sur 25 à 30 ans
  • Il existe aussi un frein technique : il est préférable de prévoir ces éventuels contrats dès la construction du data center car le modifier a posteriori peut représenter des risques que les promoteurs ne sont pas prêts à prendre.
  • La cinquième partie du rapport, qui m’a particulièrement plu, fait la part belle aux initiatives citoyennes, associatives et publiques des « infrastructures numériques alternatives ». Du côté des fournisseurs d’accès, de nombreux acteurs associatifs comme franciliens.net ou Aquilenet dans le Sud-Ouest sont regroupés au sein de la Fédération FFDN. Ils viennent compléter l’offre des fournisseurs principaux (Bouygues, Free, Orange et SFR). Le grand atout de ces solutions est de miser sur le social, l’éducation et la démocratie : « Ils participent d’une gouvernance partagée du commun qu’est Internet en portant des valeurs de transparence, d’inclusion, de lien social, d’apprentissage technique, et d’incitation à la participation à la vie citoyenne. »
  • La socioanthropologue des techniques Laure Dobigny affirme que quand cette gestion inclut et implique, alors les consommateurs vont vers plus de sobriété : « la mise en place de systèmes techniques de plus petite échelle ont permis, en modifiant les usages, une réduction des consommations. » La question est ensuite de savoir comment passer d’une gestion commune de réseaux à une gestion commune de data-centers.
  • Le rapport présente un certain nombre de solutions, comme le cloud de pair-à-pair : « l’idée centrale sous-tendant ces dispositifs est que les fichiers et les contenus téléchargés par les utilisateurs dans le système sont stockés, totalement ou en partie, sur un nuage de stockage composé d’une partie des disques durs de chaque utilisateur, reliés entre eux en architecture P2P. » L’idée est plutôt simple : re-décentraliser internet, réduire le besoin de grands data-centers et atténuer l’impact spatial de ces infrastructures. Les limites de ces solutions sont nombreuses bien sûr : pertes de données, erreur, taille critique non atteinte… Il existe également des data centers « de proximité » comme les chatons (« Collectif d’Hébergeurs Alternatifs, Transparents, Ouverts, Neutres et Solidaires ») ou encore SCANI dans l’Yonne et Tetaneutral à Toulouse.
  • Pour terminer, le rapport dessine trois « mondes numériques possibles ». Le premier scénario parie sur l’extrême croissance et l’ultracentralisation numérique. Pour faire simple, c’est aujourd’hui mais en pire : tout est numérisé, plateformisé, big-daté et concentré dans les mains des GAFAMS ou d’autres acteurs similaires. La ville se conforme aux modèles numériques de la smart-city, la consommation de data explose. C’est la fuite en avant, la croyance qu’un monde infini existe. Côté C02, c’est la catastrophe, la température globale monte de 2,5° en 2050. Pics de chaleur dans les villes, problèmes sociaux, etc.
  • Le deuxième scénario est en demie teinte. On stabilise le système technique numérique en permettant la coexistence de deux mondes : celui des big tech et celui, plus centralisé, des infrastructures à plus petite échelle. L’Union Européenne taxe les « Net Goinfres », ce qui modifie les comportements : on échange moins de photos de chats et on tend à les stocker sur nos terminaux personnels plutôt que dans le cloud, idem pour la musique. Côté consommation, on parvient à réduire les émissions de CO2 du secteur de 5% par an entre 2025 et 2050, ce qui nous ramène au niveau de 2013.
  • Le dernier scénario propose une forme de décentralisation ultime du numérique qui signe plus ou moins la fin des data-centers tels que nous les connaissons. Internet devient plus local et dépendant des énergies renouvelables, ce qui ne permet plus d’assurer sa continuité. Le projet Greenstar au Canada suit ces principes et accepte les intermittences du réseau (follow the wind/follow the sun), de même, le blog du Low Tech Magazine s’arrête de fonctionner quand le vent ne souffle plus (le scénario nucléaire n’est pas vraiment envisagé car l’exercice prospectif est global). Ce scénario « effondrement » se base sur des infrastructures totalement low-tech (c’est-à-dire peu coûteuses en énergie) et permet assez ironiquement un « retour aux principes fondateurs d’internet (horizontal et distribué) ». Côté service, on se contente du local et l’international devient l’exception
  • L’ADEME invite également à soutenir les FAI indépendants et à créer un « service public du numérique et des data centers publics », notamment pour améliorer l’intégration spatiale des infrastructures. Les questions énergétiques font également l’objet de propositions : sobriété, récupération de chaleur, décentralisation.
  • Le chercheur Clément Marquet cité plus haut dans l’article me rappelle que ces différents rapports (Shift, ADEME) arrivent dans un moment particulier puisque le gouvernement a voté en octobre 2018 une loi visant à réduire la fiscalité énergétique pour attirer les gros data centers. Je le cite : « il y a une tension entre le projet de souveraineté numérique par les infrastructures (et des bénéfices économiques qui iraient avec bien sûr) et celui de réduction de la consommation énergétique. »
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    "L'ADEME, via le projet Enernum, vient de publier une étude approfondie sur les impacts à la fois énergétiques et sociétaux de l'installation et du déploiement des data centers, en France et ailleurs. Ce travail vient confirmer les conclusions du Think tank The Shift Project qui alertait déjà des coûts carbone importants de ces infrastructures qui soutiennent tous nos usages numériques. Par delà les chiffres, l'ADEME replace les data-centers dans leur contexte humain et géographique et interroge la gestion de ce type d'infrastructure sur le territoire."
Aurialie Jublin

Gauthier Roussilhe | Guide de conversion numérique au low tech - 0 views

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    "En mars 2019 j'ai mis en ligne mon nouveau site web en suivant des principes de conception "low tech". Je me suis décidé à faire cela car, premièrement, j'ai été impressionné par la refonte de solar.lowtechmagazine.com. Leur site est devenu extrêmement léger grâce à une approche esthétique et technique sensée. De plus ils ont pensé au système énergétique : le serveur est alimenté par un panneau solaire et une batterie, ce qui veut dire que si la batterie est à plat et si le temps est mauvais alors le site n'est plus en ligne. Deuxièmement, depuis 2 ans je m'intéresse au concept d'Anthropocène, aux politiques de transition sociale et écologique et à l'impact du numérique sur les écosystèmes. Ces recherches et travaux de terrain m'ont permis de refonder complètement ma pratique et j'avais envie de développer un outil qui pourrait démontrer ce changement dans ma pratique de designer et inspirer d'autres personnes à faire de même."
Aurialie Jublin

Demain, (vraiment) tous connectés grâce aux technologies frugales ? - U&R - 0 views

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    "Fournir partout dans le monde un Internet rapide et fiable est devenu un enjeu fondamental, presque aussi important que l'accès à l'eau ou à l'électricité. Conscient des impératifs liés à la préservation de l'environnement et à l'inclusion de tous, le secteur des télécommunications, en pleine expansion, se développe autour de solutions frugales."
Aurialie Jublin

[sobriété] Bientôt l'âge d'or des low-tech ? - 0 views

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    Complexes, énergivores, consommatrices de ressources rares, les high-tech pourraient se voir concurrencées par des technologies plus sobres. Mais la transition prendra du temps.
Aurialie Jublin

« La transition doit créer immédiatement du bonheur pour un maximum de personnes » - 0 views

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    "Dans son nouveau livre, Le Bonheur était pour demain, Rêveries d'un ingénieur solidaire, (Seuil, avril 2019), Philippe Bihouix met en pièces une série d'utopies technologiques et écocitoyennes persuadées de pouvoir « réparer » ou « sauver la planète ». Et explore des pistes pour une véritable transition écologique, dans un monde et une société apaisés."
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