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Tibor Katelbach

Acteurs publics - 0 views

  • La commune peut également procéder de la transformation d’un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre, de sorte que sa création entraîne de fait la dissolution de ce dernier.
  • entourant la création des communes nouvelles de toute une série de précautions, rendant le dispositif résolument très contraignant.
  • En outre, dans les deux derniers cas, il faudra obtenir l’accord de la majorité des deux tiers des conseils municipaux des communes membres ou des communes concernées représentant les deux tiers de la population totale. Enfin, sans accord unanime des conseils municipaux concernés, la création de la commune nouvelle ne pourra procéder que d’un référendum local recueillant la majorité absolue des suffrages obtenus dans chacune des communes concernées
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  • à peine plus d’une vingtaine de communes nouvelles avaient été créées au cours de la période 2011-2015, d’autant qu’aucune commune nouvelle ne pouvait être créée l’année précédant des élections municipales.
  • Dans le même état d’esprit, la loi attribue aux maires des anciennes communes en fonction au moment de la création de la commune nouvelle la qualité de maires délégués, qui leur confère celle d’adjoints au maire de la commune nouvelle, sans que puisse être opposée la limite légale de 30 % de l’effectif du conseil municipal, et ce jusqu’aux prochaines élections municipales. D’ailleurs, il est également prévu que, jusqu’à son renouvellement en 2020, le conseil municipal soit composé de l’ensemble des élus des anciennes communes, sans prendre en compte la répartition de la population, et au-delà même de la limite des 69 sièges, si nécessaire.
  • Par ailleurs, la loi du 16 mars 2015 prévoit que le conseil municipal de la commune nouvelle “adhère” à une intercommunalité avant le prochain renouvellement général des conseillers municipaux
  • La commune nouvelle, une logique fonctionnelle.
  • Hormis les avantages financiers qu’il y aurait à se constituer en commune nouvelle avant le 1er janvier 2016, les petites communes, et plus spécifiquement les communes rurales ou les communes périphériques des aires urbaines, ont tout intérêt à s’emparer de ce dispositif, qui s’inscrit dans une logique fonctionnelle de service et qui leur permet de continuer d’exister dans des ensembles communautaires toujours plus vastes, et ce malgré la baisse générale des dotations. En effet, le dispositif des communes nouvelles peut permettre aux communes qui n’atteignent pas la taille critique de mutualiser leurs moyens financiers et humains, leurs services et leurs équipements et de produire d’importantes économies d’échelle. Cela permet également de rationaliser les dépenses et de diminuer les impôts ou d’en ralentir la progression.
  • en application de la loi “NOTRe” du 7 août dernier, et peut être même reprendre des “compétences orphelines” du fait de la fusion d’EPCI, de plus en plus tournés vers les projets et le développement des territoires, mais de moins en moins vers les services de proximité.
  • Le secrétaire d’État à la Réforme territoriale rappelle cependant que cela se ferait “à enveloppe constante de DGF”, ce qui reviendrait finalement à déshabiller Paul pour habiller Jacques. D’aucuns considèrent d’ailleurs que ce type de carotte financière, utilisée en 1999 pour amorcer le virage intercommunal, n’est aujourd’hui plus envisageable “quand il n’y a plus d’argent dans les caisses”. Cela promet, c’est certain, un débat passionné lors de l’examen du projet de loi de finances pour 2016 en cours au Parlement.
sylvainb

Géographie des alternatives | Le 4ème singe - 0 views

  • Géographie des alternatives
  • Des fablabs en passant par les écovillages, les jardins collectifs, les coworkings, les fermes de permacultures et Terre de lien, les villes et villages bio ou sans pesticides, les monnaies locales, jusqu’aux AMAPs et lieux de résistances, tout y passe. Tour d’horizon de la géographie des alternatives et de la transition.
Tibor Katelbach

L'open data peut-il (encore) servir les citoyens ? | Clément Mabi and Samuel ... - 0 views

  • L’impératif d’ouverture imposé « par le haut » constitue un important bouleversement qui n’est pas toujours bien évalué en interne.
  • la circulaire adoptée en 2011 en vue du lancement de data.gouv.fr n’impose pas la publication des données. Elle exige seulement la désignation d’un correspondant open data dans chaque ministère chargé d’identifier et de coordonner l’ouverture des données de son ministère. Des données dont la décision de publication reste à l’appréciation seule des agents et de leur hiérarchie.
  • L’arbitrage entre risques et avantages de la libération de données incite donc l’administration à la prudence.
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  • Le gouvernement vient également de nommer un administrateur général des données ( Chief Data Officer  ) qui sera autorisé à inspecter les données de l’administration pour favoriser de nouvelles vagues d’ouvertures
  • Le passage à l’open data peut être une opportunité pour les militants, mais l’activité réelle ne
  •   témoigne certainement pas de l’émergence d’un contre-pouvoir citoyen qui tirerait appui des données ouvertes.
  • Pour arbitrer les litiges dans la production et l’ouverture d’une information publique, il est nécessaire de créer un Conseil National de l’Information Publique (CNIP) avec une composition similaire. Il permettra d’éviter une trop grande prudence de l’administration dans l’ouverture de ses données par une évaluation collégiale des risques d’anonymisation des données ou du coût financier de l’ouverture qui restreignent souvent leur publication.
  • Comme nous avons pu le voir, le mouvement open data doit être compris comme le fruit d’une rencontre entre différents milieux socio-économiques, d’une tension entre la recherche de profits économiques et la défense de valeurs politiques liées à l’empowerment   citoyen et à la plus grande transparence de l’action publique. Plusieurs conditions d’ordres techniques et politiques sont nécessaires pour que les données publiques puissent se transformer en outil d’émancipation des citoyens. La partie n’est pas encore perdue pour qui veut bien s’atteler à ce défi, et ces conditions peuvent constituer l’horizon normatif des politiques de libération des données. S’engager pour les mettre en place peut, en soi  , être considéré comme un objet de lutte.
sylvainb

Smart tourisme : grâce à l'open data, Lisbonne donne le pouvoir aux start-up…... - 0 views

  • Smart tourisme : grâce à l'open data, Lisbonne donne le pouvoir aux start-up… et aux visiteurs
  • CitySDK, un programme financé par la Commission européenne
  • D'abord en libérant des données – publiques et privées – dans des formats uniformisés, via des processus partagés, puis en créant des interfaces de programmation (API), mises à disposition de la communauté de développeurs.
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  • "Through my eyes", une application basée sur le crowdsourcing qui propose de découvrir la ville à travers le regard de ses visiteurs et de ses habitants.
sylvainb

Stig - Proposer, voter, améliorer. - 0 views

  • AMÉLIOREZ L'objectif de Stig est de créer la première vision en temps réel de la volonté générale. Inscrivez-vous pour participer !
  • VOTEZ Chaque utilisateur peut déposer sur Stig des propositions qui seront votées et améliorées par les autres membres.
  • PROPOSEZ Stig est une application mobile gratuite de partage d'idées, dédiée à la politique nationale et à la politique locale.
sylvainb

Francis Pisani sur la smart city : « les capteurs ne sont pas indispensables.... - 2 views

  • Francis Pisani sur la smart city : « les capteurs ne sont pas indispensables. La participation citoyenne, si ! »
  • Oui, je pense qu’il y a un problème avec la smart city. À savoir que c’est un bon terme de marketing pour Cisco, IBM et d’autres.
  • L’intelligence, ça n’est quand même pas les données !
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  • Deuxièment, « smart » induit, apparemment, la collection et le traitement de données, le data mining. Et depuis l’affaire Snowden, ce n’est pas pour rassurer les gens qui pensent qu’ils vont être par là contrôlés.
  • Il existe une autre version de la ville intelligente, qu’il faudrait rééquilibrer et valoriser davantage : celle qui met en avant la participation des gens pour contribuer directement à améliorer leur rue, leur quartier, leur ville, leur région, leur territoire.
  • il ne faut pas, pour autant, rester dans l’approche de la ville intelligente par les données.
  • C’est pour ça que je pense que la notion de participation donnera une ville meilleure.
Tibor Katelbach

Une autre démocratie 2.0 | dobi.be - 0 views

  • Chaque loi est votée par TOUS LES CITOYENS en ligne via INTERNET (avec sa carte d’identité électronique)
sylvainb

PEIGEO - Bienvenue sur PEIGEO - 0 views

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    Plateforme OpenData de la réunion. Il y a entre autre les quartiers en géoloc de la réunion.
Tibor Katelbach

Michel Bauwens : « Uber et Airbnb n'ont rien à voir avec l'économie de partage » - 2 views

  • La production pair-à-pair apporte une réponse à cette fausse abondance matérielle. Elle renverse les valeurs. En ce sens, c’est une réponse à notre crise de civilisation.
  • L’Etat a un rôle central à jouer dans l’organisation des biens communs. Il a le choix entre plusieurs voies possibles : freiner leur développement, comme en Espagne où le gouvernement se positionne contre la production d’énergie solaire par les particuliers par le biais de taxes, ou impose des lois contraignantes au financement participatif pour protéger les banques. Il s’agit d’une volonté politique de frein, voire de répression. Une autre façon de faire, c’est le pair-à-pair de droite comme aux Pays-Bas ou en Grande-Bretagne, où l’Etat se désengage sous prétexte que « puisque vous pouvez le faire vous-même, on ne va plus s’en occuper ». Cette politique est aussi dangereuse car il faut des infrastructures pour la collaboration.
  • La troisième voie est à mon sens celle de Bologne où la ville, à travers The Bologna Regulation for the Care and Regeneration of Urban Commons, mène une politique facilitatrice, elle crée les infrastructures pour permettre aux gens d’exercer leur autonomie, met en place une régulation municipale pour le soin des biens communs : la loi autorise les habitants à proposer des changements pour leur quartier et s’engage à les aider à réaliser ces projets, avec un processus d’évaluation à la clé. Plutôt que d’être dans une transmission de haut en bas en considérant les citoyens comme des consommateurs, une ville ou un Etat peut devenir un partenaire et faciliter l’autonomie sociale et individuelle. C’est une source de progrès social. Plusieurs projets vont en ce sens en Italie.
  • ...2 more annotations...
  • Il s’agit de passer d’un capital extractif, qui capte la valeur des communs sans rien reverser, à un capital génératif où ceux qui contribuent à ce commun créent leur propre économie éthique.
  • On vit dans une société où le salariat diminue et où l’activité indépendante est en croissance. De plus en plus de personnes quittent le salariat par choix, par désir d’autonomie et de sens, et de plus en plus de salariés sont aussi chassés de l’entreprise. Les deux phénomènes sont concomitants. Le problème, c’est que les investisseurs déroulent le tapis rouge seulement à ceux qui créent une start-up. Pour ceux qui veulent agir dans le cadre d’une économie solidaire et juste, il n’existe pas d’incubateur, d’accélérateur pour les aider. Il y a là un déséquilibre. Le monde de l’économie coopérative, sociale et solidaire, est en retard par rapport à la compréhension de ce potentiel et de ces nouvelles modalités.
sylvainb

idoco/map-chat - 0 views

shared by sylvainb on 28 Jun 15 - No Cached
  • A super simple location based chat http://idoco.github.io/map-chat
  • Super simple location based chat.
  • No registration or message history.
  • ...1 more annotation...
  • Create a private chat map by adding #name to the url.
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    Chat on a map (ilela.re) avec 200 lignes de codes. Pas mal. Truc à creuser : il m'a géolocalisé parfaitement...
sylvainb

Un réseau local pour vivre green et consommer local - 1 views

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    Ca ressemble à du echolocal :)
Tibor Katelbach

La ville intelligente, l'Iconomie et l'évolution nécessaire du mananagement p... - 0 views

  • il y a là des enjeux stratégiques qui ne peuvent se contenter de mots-valises qui consisterait à « mettre du rouge à lèvre à un bull-dog »
  • C’est là l’oubli que la ville est historiquement le cœur de la création de richesse, s’inscrit dans une histoire, une culture et une philosophie des institutions.
  • asabiyya – la vertu de la cohésion sociale du groupe
  • ...26 more annotations...
  • proverbe allemand du XV° siècle « l’air de la ville rend libre
  • la ville est un écosystème stable basé sur la cohérence politique – la poursuite du Bien commun comme finalité politique, « la grandeur de la Cité, c’est le Bien commun » (Machiavel)
  • une ville peut croître à l’infini, ainsi que ses externalités négatives et positives, à la différence d
  • econde révolution industrielle et le développement des télécommunications, la distance structurait la ville et sa périphérie et sa mesure était la vitesse de propagation de l’informatio
  • La II° révolution industrielle permet un première « mort de la distance »
  • une entreprise qui ne pourra maintenir une cohérence interne au-delà d’une certaine taille et qui verra sa productivité par travailleur décroître avec leur nombre.
  • la fin du XIX° siècle, la croissance de la ville devient guidée principalement par la recherche de rendements d’échelles, aux dépens des solidarités sociales et de la vie civique
  • la nature est parvenue à concevoir des systèmes aussi résilients que complexes basés sur une énergie renouvelable : le soleil.
  • le coût pour corriger une ville conçue de manière dysfonctionnelle (par exemple, les villes américaines conçues pour l’automobile) est de loin supérieur aux coûts à investir en amont pour construire une ville durable
  • modéliser les villes comme systèmes de systèmes[4] (SoS)
  • l’acteur public est le mieux placé – pour autant qu’il comprenne ce rôle et développe les compétences appropriées – pour jouer le rôle de pivot et d’intégrateur pour lequel une firme, quelles que soient la culture et la pratique de la « coopétition » qu’elle ait développée, n’est pas la mieux placée pour incarner ce qui est le bien commun du système
  • Là où les rétroactions entre causes et effets, à la base de l’apprentissage, prenaient a minima une génération, elles peuvent être désormais de l’ordre de la milliseconde.
  • « Qui va réguler les régulateurs ? ».
  • La stratégie urbaine chinoise reconnaît aujourd’hui l’erreur d’avoir imité l’Occident alors que Singapour est une réussite qui se conçoit comme un tout, une nation intelligente plus qu’une ville intelligente[6], et fait aujourd’hui référence pour le développement urbain.
  • La ville n’est pas intelligente parce qu’elle est numérique : la connexion de tout avec tout, la capacité intrusive du traitement de masse des données et la menace sur leur confidentialité des données peut vite faire dériver la ville vers le panoptique de Jérémie Bentham
  • La conception d’écosystèmes complexes ne peut être assurée par des démarches de planification descendantes d’autorité publique qui définit des « master plans »
  • voyait les germes d’un ordre totalitaire incapable d’évolution organique.
  • Les nouvelles approches de l’innovation basées sur les systèmes complexes (Von Hippel, 1986) soulignent la nécessité d’intégrer l’utilisateur final, l’habitant, qui sera non seulement un utilisateur mais également un producteur d’information, que la littérature désigne désormais sous le terme de « prod-user »
  • au lieu de consommer encore plus d’énergie pour refroidir ces machines, il s’agit d’utiliser leur puissance de calcul pour optimiser leur approvisionnement en différentes sources d’énergies et d’intégrer leur production d’énergie dans la conception de la ville.
  • la base de tout système vivant, et les dynamiques de réseaux virtuels offertes au territoire et à la ville connectée comme source de l’innovation territoriale.
  • « dynamiques territoriales de connaissances »
  • dont la conception et l’animation repose sur l’existence d’un acteur pivot. En l’absence d’un
  • Ainsi, même si une ville peut paraitre « verte » dans son périmètre administratif, l’évaluation de son écosystème doit intégrer les externalités des activités délocalisées. Par exemple, le bilan carbone d’une « ville verte » doit intégrer le CO2 importé : la ville peut être verte mais l’écosystème gris foncé.
  • a ville intelligente ne peut pas être une collection de « smarties », un empilement de « smart services » : smart grids, smart buildings, smart mobility, smart IT
  • mais un écosystème vivant dont l’intelligence provient du comportement des habitants faisant de la technologie un levier endogène de développement de la vie civique en devenant en même temps producteurs et utilisateurs de l’information, dans la logique du web 2.0.
  • L’ère du bureaucrate wébérien axé sur la procédure et sur la tâche laissera donc la place aux systémiers en charge de penser l’intégration des sous-systèmes que constituent les fonctions urbaines, et considérant la dépense publique plus comme un investissement qu’un coût par l’intégration des externalités positives et négatives.
sylvainb

Apso - 1 views

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