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sylvainb

Des plateformes communautaires encouragent le développement d'un management u... - 0 views

  • Le développement d’outils digitaux d’interpellation citoyenne favorise l’émergence d’un nouveau modèle de démocratie urbaine.
  • s, SeeClickFix propose aux citoyens des grandes villes américaines de détecter et signaler les défaillances urbaines aux autorités publiques grâce à une application mobile.
  • En permettant aux citoyens d’exprimer leurs attentes, ce type d’initiatives renforce les mécanismes de contrôle des autorités publiques et esquisse un mode de gouvernance participatif.
  • ...5 more annotations...
  • Valoriser le savoir citoyen
  • La plateforme a depuis mué en un espace hybride permettant également d’émettre des pétitions et d’organiser débats publics.
  • L’entreprise met gratuitement à disposition des gouvernements locaux ses données et outils de collaboration et se développe également en Europe et Amérique Latine.
  • Imaginé à Porto Alegre, le mouvement de « budget participatif » s’étend à présent aux grandes villes américaines grâce à la pression de ces nouveaux outils de mobilisation, ainsi la ville de San Francisco a annoncé en Septembre 2013  le développement d’outils de vote en ligne et de délibération digitale pour démocratiser le vote du budget de la ville.
  • l’émergence d’une « démocratie épistémique » selon les termes d’un chercheur de l’université de Yale, c’est à dire favorisant la production de savoirs issus directement des citoyens.
sylvainb

"L'open data est un révélateur violent de l'inadaptation de l'administration"... - 1 views

  • L’Etat avance aussi vite qu’il le peut. Les initiatives d’Etalab (2) et du SGMAP pour libérer vont dans le bon sens…mais très lentement. On libère les fichiers un par un, on les arrache à l’administration, mais on reste dans un cycle très artisanal de fabrication de ces fichiers.
  • Dans ces conditions, l’open Data fait office de révélateur violent de cette situation et met en évidence l’approche morcelée et peu cohérente entre les systèmes d’informations des administrations.
  • D’un point de vue technique, l’Open data est la partie visible de l’iceberg, l’important se passe en amont. Nous sommes actuellement, et dans de nombreux pays, à un stade très artisanal de la diffusion des données produites par les administrations. A l’exception d’administrations telles que la DILA, l’IGN ou l’INSEE qui sont équipées nativement, pourrait-on dire, pour diffuser des données, les ministères ou les établissements publics peinent à diffuser. C’est tout à fait normal : tant qu’on cherchera à faire diffuser des données sans s’intéresser aux back-offices de production de ces données, aux logiciels aux normes et aux process, on ne réussira qu’à diffuser ponctuellement des fichiers extraits au forceps et, le plus souvent, manuellement.
  • ...3 more annotations...
  • L’open data ce n’est pas cela. C’est un mode industriel et production et de diffusion de données organisé en conséquence.
  • Le soutien à l’innovation et à la réutilisation qu’effectue Etalab avec l’organisation des concours « Dataconnexions » méritent d’être salués car il faut du courage, de la persévérance…et du temps pour qu’un écosystème de réutilisateurs « jeunes pousses » se mette en place.
  • Je crois que la France, avec son administration très puissante et présente, a pris l’open data dans le mauvais sens. Ouvrir un robinet dont rien ne sort n’a pas de sens. Au-delà de la refonte nécessaire de notre politique numérique administrative qui prendra entre 3 et 10 ans, il faut convaincre, voire forcer, l’administration à diffuser ses données. Ce n’est possible que si on crée les conditions pour que l’administration devienne la première bénéficiaire de l’open data. Il faut que l’administration y trouve des avantages, son intérêt. Sinon les freins perdureront.
Tibor Katelbach

Alléger la ville : des stratégies de lieux partagés « InternetActu.net - 0 views

  • Un monde, même de plus en plus numérique, a besoin de lieux : des lieux pour la rencontre, le travail collaboratif, des événements, de la médiation, des contacts client-usagers, des échanges, des formes d’apprentissage, du prototypage
  • Permettre au plus grand nombre d’habitants et d’usagers d’accéder aux services essentiels (publics ou privés), et ce facilement, en une seule fois, à proximité, et de préférence via une interface humaine.
  • Permettre à un grand nombre de services publics et privés de proposer des points de contact humains sur le territoire, à moindre coût, grâce à la flexibilité et la mutualisation de fonctions
sylvainb

Villes en biens communs - 0 views

  • Villes en biens communs
  • Zones urbaines transformées en jardins partagés, savoirs partagés versés dans l’encyclopédie « Wikipedia », cartographie « open street map » nourries par les utilisateurs, logiciels libres, savoirs traditionnels, science ouverte, publications en libre accès, pédibus scolaire, fours à pains partagés, système d’irrigation agricole partagé, semences libres, contenus éducatifs ouverts, réseaux d’échanges de savoirs, justice participative, données ouvertes collectées par les personnes... les initiatives fleurissent.
sylvainb

Les logiciels libres, source d'inspiration pour les villes | Même pas mal - 0 views

  • Pour Valérie Peugeot, présidente de l’association VECAM (un réseau de réflexion sur l'internet citoyen), cette démarche permet de de remettre le citoyen au coeur de l'espace politique
  • La démarche repose aussi sur l'idée que le schéma de pensée des logiciels libres peut s'appliquer à l'organisation de nos sociétés.
Tibor Katelbach

Licence ouverte / Open licence - Etalab, mission chargée de l'ouverture des d... - 1 views

  • Etalab a conçu la « Licence Ouverte / Open Licence ». Cette licence, élaborée en concertation avec l’ensemble des acteurs concernés, facilite et encourage la réutilisation des données publiques mises à disposition gratuitement. La plateforme des données publiques gratuites de l’Etat
  • Une grande liberté de réutilisation des informations :
  • Une licence ouverte, libre et gratuite, qui apporte la sécurité juridique nécessaire aux producteurs et aux réutilisateurs des données publiques ; Une licence qui promeut  la réutilisation la plus large en autorisant la reproduction, la redistribution, l’adaptation et l’exploitation commerciale des données ; Une licence qui s’inscrit dans un contexte international en étant compatible avec les standards des licences Open Data développées à l’étranger et notamment celles du gouvernement britannique (Open Government Licence) ainsi que les autres standards internationaux (ODC-BY, CC-BY 2.0).
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  • Une exigence forte de transparence de la donnée et de qualité des sources en rendant obligatoire la mention de la paternité. Une opportunité de mutualisation pour les autres données publiques en mettant en place un standard réutilisable par les collectivités territoriales qui souhaiteraient se lancer dans l’ouverture des données publiques.
Tibor Katelbach

Open Data culturel : enfin des archives libres, sous le signe du partage à l'... - 0 views

  • La réponse à l’enclosure existe et elle n’est pas dans l’interdiction de réutilisation. Elle consiste, je pense, à considérer que le patrimoine est un bien commun et qu’il doit le rester quel que soit son mode d’exploitation. La clôture est interdite, seul l’accès à l’innovation peut être soumis à un paiement. Autrement dit : le patrimoine doit toujours être en accès libre. [...] Il y aurait quelque chose de noble pour les archivistes à abandonner leurs réticences pour adopter ce genre de licence. Ils feraient ainsi du patrimoine culturel un bien commun contaminant, dont les caractéristiques se transmettraient à chaque création qu’il aurait suscitée. Toute innovation réalisée à partir d’un bien commun devient elle-même un bien commun.
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