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Tibor Katelbach

"Les collectivités peuvent être protecteurs des communs" - Valérie Peugeot - 0 views

  • d’abord la formation d’une communauté, qui se mobilise autour d’une ressource… Cette ressource est gérée selon des logiques de partage qui ne sont ni celles de la propriété publique, ni celles de la propriété privée. Des bouquets de droits d’usage viennent se substituer à la propriété. Le troisième élément, c’est une gouvernance, mise en place par cette communauté, pour protéger la ressource, en organiser la gestion, la faire grandir
  • un bien commun, c’est une communauté, une ressource, et sa gouvernance.
  • En France, le code civil évoque les biens communaux, à l’article 542, ou encore à l’article 714
  • ...33 more annotations...
  • XIIIe siècle, siècle de la première consécration juridique des communs,
  • es idées, les faits, méthodes… – soit des ressources
  • Wikipedia
  • Open Street Map
  • Open Food Fact
  • Cela signifie-t-il qu’il n’y pas un modèle unique ?
  • qui a le droit d’utiliser la ressource ? A quelles conditions ? Comment sont gérés les conflits si quelqu’un abuse de la ressource ? Est-ce qu’il y a des relations avec la puissance publique qui va être garante, ou pas, de la protection de cette ressource ?
  • La pensée marxiste
  • monopole public des moyens de production
  • libéral affirme que c’est le marché qui va tout régler
  • C’est ce que les communs tentent de faire, non pas contre le marché ou l’Etat, mais à côté, avec des porosités possibles entre les 3 sphères.
  • réintroduire de la diversité dans notre pensée politique
  • Pourquoi ce concept, très ancien, semble particulièrement pertinent aujourd’hui, et ce dans le monde entier ?
  • Internet et le web ont été construits
  • comme des communs.
  • Aujourd’hui nous sommes entrés dans un temps historique du web qui tend à se refermer en silos autour de grands acteurs monopolistiques ou oligopolistiques, ce qui est nuisible à notre capacité créative collective.
  • Elles peuvent circuler quasi instantanément via les réseaux pour un cout marginal qui tend vers zéro
  • cela en fait des candidats potentiels à des régimes de partage, et non pas de propriété.
  • communautés de logiciel libre
  • ont été les premières à mettre en place un dispositif que je qualifie de droit ascendant, c’est-à-dire du droit créé par les communautés en dehors du législateur ou de la jurisprudence
  • Y’a-t-il d’autres raisons, hors du numérique, qui expliquent l’efficacité du concept de commun ?
  • défenseurs en expliquant que ces derniers sont partisans du « tout gratuit », contre le marché
  • marché et communs peuvent cohabiter
  • multiplication des enclosures, c’est-à-dire des phénomènes d’appropriation, de privatisation de communs existants.
  • Aujourd’hui, des pays africains vendent des milliers d’hectares de ces terres à des acteurs étrangers en faisant fi de tous les droits d’usage qui reviennent aux habitants.
  • Selon moi, le marché, dans sa fonction première, ne pose aucun problème ; par contre, lorsqu’il devient un marché spéculatif qui ne répond plus aux besoins des humains. Il faut alors imaginer d’autres manières de faire. Les communs ouvrent des pistes.
  • Les communs sont-ils en concurrence avec le service public ?
  • Quand on est face à un commun qui revendique de participer de l’intérêt général, notamment dans le cas de commun universel, la question peut effectivement se poser.
  • les collectivités peuvent jouer plusieurs rôles. Elles peuvent être protecteur des communs, pour éviter des enclosures, elles peuvent être producteurs de communs – c’est le cas avec les données mises en open data. Enfin, la puissance publique peut encourager des communautés qui produisent des communs, en mettant par exemple du foncier à disposition.
  • Selon votre expérience, quelle est la perception des communs par les élus locaux ?
  • Pour certains élus, les communs peuvent apparaître comme des communautés qui veulent faire à leur place.
  • Les communs ambitionnent d’aller un cran plus loin, par des processus ascendants d’innovation sociale. Il s’agit alors de co organiser, et dialoguer avec ces communautés qui ne se contentent pas de l’espace délégatif mais qui passent à l’action.
  • Le rôle de l’élu peut alors être de repérer ces initiatives, et de les soutenir, d’imaginer comment leur permettre d’essaimer ailleurs dans le territoire. L’acteur public devient un catalyseur. Cela modifie sa posture qui à côté de sa culture du faire, doit porter une culture de l’accompagnement des innovations ascendantes et sociales.
Tibor Katelbach

L'open data peut-il (encore) servir les citoyens ? | Clément Mabi and Samuel Goëta - Academia.edu - 0 views

  • L’impératif d’ouverture imposé « par le haut » constitue un important bouleversement qui n’est pas toujours bien évalué en interne.
  • la circulaire adoptée en 2011 en vue du lancement de data.gouv.fr n’impose pas la publication des données. Elle exige seulement la désignation d’un correspondant open data dans chaque ministère chargé d’identifier et de coordonner l’ouverture des données de son ministère. Des données dont la décision de publication reste à l’appréciation seule des agents et de leur hiérarchie.
  • L’arbitrage entre risques et avantages de la libération de données incite donc l’administration à la prudence.
  • ...5 more annotations...
  • Le gouvernement vient également de nommer un administrateur général des données ( Chief Data Officer  ) qui sera autorisé à inspecter les données de l’administration pour favoriser de nouvelles vagues d’ouvertures
  • Le passage à l’open data peut être une opportunité pour les militants, mais l’activité réelle ne
  •   témoigne certainement pas de l’émergence d’un contre-pouvoir citoyen qui tirerait appui des données ouvertes.
  • Pour arbitrer les litiges dans la production et l’ouverture d’une information publique, il est nécessaire de créer un Conseil National de l’Information Publique (CNIP) avec une composition similaire. Il permettra d’éviter une trop grande prudence de l’administration dans l’ouverture de ses données par une évaluation collégiale des risques d’anonymisation des données ou du coût financier de l’ouverture qui restreignent souvent leur publication.
  • Comme nous avons pu le voir, le mouvement open data doit être compris comme le fruit d’une rencontre entre différents milieux socio-économiques, d’une tension entre la recherche de profits économiques et la défense de valeurs politiques liées à l’empowerment   citoyen et à la plus grande transparence de l’action publique. Plusieurs conditions d’ordres techniques et politiques sont nécessaires pour que les données publiques puissent se transformer en outil d’émancipation des citoyens. La partie n’est pas encore perdue pour qui veut bien s’atteler à ce défi, et ces conditions peuvent constituer l’horizon normatif des politiques de libération des données. S’engager pour les mettre en place peut, en soi  , être considéré comme un objet de lutte.
sylvainb

Smart tourisme : grâce à l'open data, Lisbonne donne le pouvoir aux start-up… et aux visiteurs - 0 views

  • Smart tourisme : grâce à l'open data, Lisbonne donne le pouvoir aux start-up… et aux visiteurs
  • CitySDK, un programme financé par la Commission européenne
  • D'abord en libérant des données – publiques et privées – dans des formats uniformisés, via des processus partagés, puis en créant des interfaces de programmation (API), mises à disposition de la communauté de développeurs.
  • ...1 more annotation...
  • "Through my eyes", une application basée sur le crowdsourcing qui propose de découvrir la ville à travers le regard de ses visiteurs et de ses habitants.
MathieuCoste

L'Assemblée nationale pousse les collectivités locales vers l'Open Data - Next INpact - 0 views

  •  
    es députés ont adopté hier un amendement imposant aux collectivités territoriales (communes, départements...) de plus de 3 500 habitants de mettre en ligne toutes les « informations publiques » qu'elles détiennent dans un format électronique. Un véritable pas en faveur de l'Open Data.
sylvainb

Florent Youzan, le défenseur du logiciel libre en Afrique : Makery - 0 views

  • En Côte d’Ivoire, l’ingénieur Florent Youzan, promoteur inlassable du logiciel libre, est le co-fondateur d’Ovillage, un tiers-lieu d’Abidjan où se co-créent des projets d’innovation sociale, basés sur l’open source.
  • Quatre règles, liées au respect des li­ber­tés fon­da­men­tales, ré­gissent le lo­gi­ciel libre : liberté d’uti­li­sa­tion sans res­tric­tion ; liberté d’étude du fonc­tion­ne­ment ; liberté de mo­di­fi­ca­tion pour l’adap­ter aux besoins (accès au code source) ; liberté de partage des mo­di­fi­ca­tions et de contri­bu­tion aux amé­lio­ra­tions en cours. Le lo­gi­ciel libre place l’uti­li­sa­teur au centre du pro­ces­sus, comme acteur de ses droits.
  • Ovil­lage en­cou­rage l’en­tre­pre­neu­riat des jeunes avec le libre, comme par exemple avec OpenD­je­liba. Cette plate-forme permet de pro­duire et par­ta­ger du contenu grâce à un hashtag envoyé par SMS à un serveur hébergé sur un or­di­na­teur Jerry. Ce projet 100% lo­gi­ciel libre a été dé­ve­loppé à zéro franc, et s’adosse à un or­di­na­teur re­cons­ti­tué dans un bidon en plas­tique, à partir d’élé­ments fonc­tion­nels re­cy­clés et ré-assemblés.
  • ...1 more annotation...
  • OpenD­je­liba
sylvainb

Thématique: élections municipales - data.gouv.fr - 1 views

  • Vous y trouverez notamment:
  • Cette page présente une compilation par l'équipe de data.gouv.fr de ressources en lien avec les élections municipales. Vous y trouverez notamment:
  •  
    Un open data intéressant....
Tibor Katelbach

Des projets open-source qui changent le monde | Même pas mal - 0 views

  • Il est donc réjouissant de voir une région se positionner pour "promouvoir l’ouverture des savoirs et des données, la connaissance libre et la collaboration peer-to-peer dans la création et la gestion de biens communs",
Tibor Katelbach

Ce que l'internet n'a pas réussi (3/4) : distribuer l'autorité « InternetActu.net - 0 views

  • 87 % des Français estiment qu’on a besoin d’un vrai chef en France pour remettre de l’ordre
  • 86 % (toute tendance politique confondue) estiment que l’autorité est une valeur qui est souvent trop critiquée.
  • Ce sentiment que ce besoin d’autorité est partout plus présent : en politique bien sûr, où le système favorise la primauté des représentants au détriment de toute forme de démocratie participative, mais plus encore dans le monde du travail, où le système favorise toujours plus une organisation pyramidale fondée sur le contrôle.
  • ...37 more annotations...
  • l’internet ne nous annonçait-il pas une nouvelle remise en cause des autorités ? Ne nous promettait-il pas le règne des collectifs auto-organisés, l’innovation ouverte, l’organisation distribuée, libre et autonome ? Pourquoi l’intelligence collective, démultipliée par le réseau, n’est-elle pas parvenue à bouleverser les rapports d’autorité classiques ? On peut même se demander pourquoi elle semble même les avoir renforcés. Que s’est-il donc passé ?
  • De plus, nous avons tendance à élire comme chef des personnes égocentriques, narcissiques et qui ont une grande confiance en elles, des traits de personnalités qui seraient plus fréquents chez les hommes que les femmes.
  • Freud soulignait déjà combien les disciples remplacent leurs propres tendances narcissiques par celles de leurs chefs, de sorte que leur amour pour le leader est une forme déguisée de l’amour-propre, ou un substitut à leur incapacité à s’aimer eux-mêmes.
  • Quel que soit le domaine, les meilleurs leaders sont pourtant souvent des gens humbles… C’est ce qui explique que les incompétents soient plus souvent promus à des postes de management et de direction que des gens compétents.
  • Est-ce à dire que notre rapport à l’autorité en politique ou dans l’entreprise est lié au rapport que nous avons eu à l’autorité de nos propres parents ?
  • En France, comme dans les autres pays méditerranéens, la majorité des managers envisagent la direction, le management de manière coercitive, c’est-à-dire dans le but d’obtenir un acquiescement immédiat des salariés
  • Alors que dans d’autres pays, notamment ceux de l’Europe du Nord, le chef est là pour faire émerger la décision collectivement
  • les écoles de management ne forment pas à l’humain
  • Le but devient alors de viser un idéal commun et d’en tirer un plaisir maximal
  • L’intelligence connective
  • le désir de liberté et le désir de communauté.
  • Selon lui, la grande responsable est l’école, qui continue de faire de la sélection par l’obéissance inconditionnelle aux règles
  • On a longtemps pensé, suite aux pionniers que le renversement des structures sociales, politiques et hiérarchiques allait pouvoir se faire par la simple technique.
  • Peut-être que cela s’explique quand le processus prend le pas sur les hiérarchies, c’est-à-dire quand le respect des process devient la principale règle de fonctionnement des organisations. Si nous doutons des hiérarchies, les processus qui leur ont succédé nous proposent des modes d’organisation encore plus stricte, tout le contraire de ce qui favorise la coopération.
  • 30 à 50% du temps des managers est dévoué au contrôle des employés.
  • Reste que le simple fait que le contrôle soit potentiellement réalisable suffit à donner aux salariés le sentiment qu’il est effectif. La réalité du contrôle dépend donc avant tout de sa perception.
  • les entreprises aujourd’hui sont confrontées à trop de management et pas assez de leadership.
  • Le rapport à l’autorité n’est pas seulement fonction de ce que l’on juge légitime ou non, il est aussi lié au besoin de “croire”.
  • mesurer si, dans une compétition de code, les équipes auto-organisées en ligne étaient plus efficaces que les équipes coordonnées et organisées hiérarchiquement. Au final, estiment les chercheurs, les équipes auto-organisées en ligne fonctionnent mieux et se révèlent plus efficaces et plus performantes que celles auxquelles on assigne une procédure.
  • Les recherches sur la collaboration médiée par la technologie montrent que si les technologies sont utiles pour gérer les routines, les choses pratiques, les tâches de coordination impersonnelles, elles demeurent mal adaptées aux interactions complexes.
  • le terme d’intelligence collective pose deux problèmes : celui de l’intelligence et celui du collectif.
  • “Collectif suppose que ce soit massif. Or, si les usages d’internet sont massifs, la collaboration, elle, demeure limitée”
  • C’est pourquoi le chercheur préfère parler de “capacité distribuée” plutôt que d’intelligence collective
  • Ce n’est pas l’autorité qui disparait, mais sa légitimité, la façon dont elle est établie, construite. On n’est pas du tout dans la fin de l’autorité, mais dans une discussion sur la légitimité : qui est légitime à construire ou interdire quelque chose ?
  • “Du logiciel libre aux théories de l’intelligence collective“, a bien pointé la limite de faire du mouvement du logiciel libre un des laboratoires où se préparerait la société du futur.
  • société open source qu’ils décrivent dans Empire et Multitude.
  • A force d’exiger des salariés et des fonctionnaires de se conformer le plus strictement possible aux prescriptions de leur poste, on leur inculque un attachement viscéral aux règles, bien au-delà de la simple adhésion pragmatique.
  • C’est oublier bien vite combien cela est et demeure un objet de lutte social,
  • Si la réalité du logiciel libre met en pratique des idéaux de déhiérarchisation, l’horizontalité n’est jamais totale et prend des formes très diverses. Même dans le logiciel libre, il y a toujours des hiérarchies qui se recréent.
  • Dans le monde du logiciel libre, l’idéal méritocratique est très fort
  • Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de hiérarchies, mais que celles-ci se recréent sur les compétences et les mérites des contributeurs. Dans les rares grands projets collaboratifs qui marchent (et tous ne marchent pas), on a moins affaire à une destruction des formes hiérarchiques, qu’à la naissance de nouvelles hiérarchies, organisées sur de nouveaux critères, comme le mérite.”
  • La politique c’est le conflit, la mésentente disait Jacques Rancière
  • On ne fera jamais converger les intérêts de groupes sociaux très différents.”
  • “Internet devait abolir les distances, accroître la liberté d’expression, augmenter l’intelligence collective, promouvoir le potentiel de la gratuité, décentraliser le pouvoir et résister à tous ceux qui souhaiteraient en prendre le contrôle. Force est de constater que ces finalités touchent à présent à leur fin. Les frontières sont réintroduites. La liberté d’expression est de plus en plus encadrée. Les capacités restent très inégalement réparties. Le pouvoir est plus centralisé que jamais. C’est manifestement à la fin d’Internet que nous assistons. En changeant l’espace, Internet change l’organisation sociale de l’humanité ; et l’humanité, tellement plurielle, ne laissera pas Internet inchangé !
  • Nos rêves ne tiennent pas dans les urnes
  • “L’appauvrissement des uns constitue la condition même de l’enrichissement des autres, les dirigeants n’ont pas simplement plus de pouvoir que les dirigés, ils existent de par leur dépossession : dans une entreprise, le manager ne peut se penser et se vivre comme tout-puissant que si l’équipier est pensé et vécu lui-même, parallèlement comme impuissant ; de même dans une collectivité, l’élu ne se vit comme tout-puissant que si l’électeur est pensé comme impuissant. Le pouvoir des uns a toujours pour corollaire l’impouvoir des autres.”
  • Certes, l’intelligence collective, réticulaire, rhizomique, acentrée, décentrée, distribuée… n’a pas encore fait toute la démonstration de sa puissance. Ce n’est pas pour autant que nous devons y renoncer. La confiance, la coopération, l’autonomie et la liberté sont les seuls remèdes à notre “impouvoir”.
sylvainb

Dataville - 0 views

shared by sylvainb on 31 Jan 14 - No Cached
  • Dataville Dataville est une plateforme de visualisation de données, permettant d'exploiter des données locales.
  • Des "Widgets" de villes, pour générer automatiquement des graphiques.
  • 120 jeux de données sur les villes Démographie, Emploi, Economie, Formation,Revenus, Budget, Politique, Famille ...
  • ...3 more annotations...
  • Couverture nationale Les données concernent toutes les communes de France, les départements, régions et zones d'emploi.
  • Transparence des données Nous mettons à disposition les fichiers sources. Toutes les données sont issues de sources officielles (INSEE, Ministères, Préféctures etc.)
  • Accès par abonnement L'accès à la plateforme se fait par abonnement mensuel, sans engagement.
  •  
    Open data de la ville : dataville. Pas mal mais accès payant.
sylvainb

Remplacer ses amis virtuels par ses véritables voisins - SoonSoonSoon - 0 views

  • Rencontrer ses voisins sur des réseaux sociaux malins
  • Nextdoor vous propose donc de transposer l'expérience des réseaux sociaux à un niveau beaucoup plus local : celui de votre voisinage.
  • Comme Nextdoor, de nombreux autres réseaux sociaux encouragent les relations de bon voisinage : en France, c'est Bonjour Voisins ou Ma Résidence qui se sont installés sur le créneau. A découvrir!
  • ...1 more annotation...
  • A l'heure où l'on annonce le déclin de Facebook, les réseaux sociaux spécialisés semblent promis à un bel avenir.
sylvainb

Open data : Rendre ses données accessible au public, et après? - News Genève: Actu genevoise - tdg.ch - 0 views

shared by sylvainb on 29 Nov 13 - No Cached
  • Rendre ses données accessible au public, et après?
  • «Une fois ouvertes, ces informations sont peu utilisées sans motivations»
  • . Le spécialiste conseille la mise en place d’un concours adressé au développeurs d’applications et de site Internet.
  • ...2 more annotations...
  • La SNCF a, par exemple, demandé à ses usagers de lui faire part de ses propositions d’applications pour améliorer le service des trains de banlieue. Parmi les vainqueurs se trouve un programme donnant le taux de remplissage des rames de trains.
  • En Suisse, les Transports publics genevois ont été les premiers à ouvrir leur base de données contenant les horaires en temps réels. Un concours a été lancé et cent demandes de fichiers ont été faites, se félicite Antoine Stroh, son responsable de l’Open data
sylvainb

"L'open data est un révélateur violent de l'inadaptation de l'administration" - Denis Berthault, expert open Data - Lagazette.fr - 1 views

  • L’Etat avance aussi vite qu’il le peut. Les initiatives d’Etalab (2) et du SGMAP pour libérer vont dans le bon sens…mais très lentement. On libère les fichiers un par un, on les arrache à l’administration, mais on reste dans un cycle très artisanal de fabrication de ces fichiers.
  • Dans ces conditions, l’open Data fait office de révélateur violent de cette situation et met en évidence l’approche morcelée et peu cohérente entre les systèmes d’informations des administrations.
  • D’un point de vue technique, l’Open data est la partie visible de l’iceberg, l’important se passe en amont. Nous sommes actuellement, et dans de nombreux pays, à un stade très artisanal de la diffusion des données produites par les administrations. A l’exception d’administrations telles que la DILA, l’IGN ou l’INSEE qui sont équipées nativement, pourrait-on dire, pour diffuser des données, les ministères ou les établissements publics peinent à diffuser. C’est tout à fait normal : tant qu’on cherchera à faire diffuser des données sans s’intéresser aux back-offices de production de ces données, aux logiciels aux normes et aux process, on ne réussira qu’à diffuser ponctuellement des fichiers extraits au forceps et, le plus souvent, manuellement.
  • ...3 more annotations...
  • L’open data ce n’est pas cela. C’est un mode industriel et production et de diffusion de données organisé en conséquence.
  • Le soutien à l’innovation et à la réutilisation qu’effectue Etalab avec l’organisation des concours « Dataconnexions » méritent d’être salués car il faut du courage, de la persévérance…et du temps pour qu’un écosystème de réutilisateurs « jeunes pousses » se mette en place.
  • Je crois que la France, avec son administration très puissante et présente, a pris l’open data dans le mauvais sens. Ouvrir un robinet dont rien ne sort n’a pas de sens. Au-delà de la refonte nécessaire de notre politique numérique administrative qui prendra entre 3 et 10 ans, il faut convaincre, voire forcer, l’administration à diffuser ses données. Ce n’est possible que si on crée les conditions pour que l’administration devienne la première bénéficiaire de l’open data. Il faut que l’administration y trouve des avantages, son intérêt. Sinon les freins perdureront.
sylvainb

Villes en biens communs - 0 views

  • Villes en biens communs
  • Zones urbaines transformées en jardins partagés, savoirs partagés versés dans l’encyclopédie « Wikipedia », cartographie « open street map » nourries par les utilisateurs, logiciels libres, savoirs traditionnels, science ouverte, publications en libre accès, pédibus scolaire, fours à pains partagés, système d’irrigation agricole partagé, semences libres, contenus éducatifs ouverts, réseaux d’échanges de savoirs, justice participative, données ouvertes collectées par les personnes... les initiatives fleurissent.
Tibor Katelbach

Licence ouverte / Open licence - Etalab, mission chargée de l'ouverture des données publiques et du développement de la plateforme française Open Data - 1 views

  • Etalab a conçu la « Licence Ouverte / Open Licence ». Cette licence, élaborée en concertation avec l’ensemble des acteurs concernés, facilite et encourage la réutilisation des données publiques mises à disposition gratuitement. La plateforme des données publiques gratuites de l’Etat
  • Une grande liberté de réutilisation des informations :
  • Une licence ouverte, libre et gratuite, qui apporte la sécurité juridique nécessaire aux producteurs et aux réutilisateurs des données publiques ; Une licence qui promeut  la réutilisation la plus large en autorisant la reproduction, la redistribution, l’adaptation et l’exploitation commerciale des données ; Une licence qui s’inscrit dans un contexte international en étant compatible avec les standards des licences Open Data développées à l’étranger et notamment celles du gouvernement britannique (Open Government Licence) ainsi que les autres standards internationaux (ODC-BY, CC-BY 2.0).
  • ...1 more annotation...
  • Une exigence forte de transparence de la donnée et de qualité des sources en rendant obligatoire la mention de la paternité. Une opportunité de mutualisation pour les autres données publiques en mettant en place un standard réutilisable par les collectivités territoriales qui souhaiteraient se lancer dans l’ouverture des données publiques.
Tibor Katelbach

Open Data culturel : enfin des archives libres, sous le signe du partage à l'identique | :: S.I.Lex :: - 0 views

  • La réponse à l’enclosure existe et elle n’est pas dans l’interdiction de réutilisation. Elle consiste, je pense, à considérer que le patrimoine est un bien commun et qu’il doit le rester quel que soit son mode d’exploitation. La clôture est interdite, seul l’accès à l’innovation peut être soumis à un paiement. Autrement dit : le patrimoine doit toujours être en accès libre. [...] Il y aurait quelque chose de noble pour les archivistes à abandonner leurs réticences pour adopter ce genre de licence. Ils feraient ainsi du patrimoine culturel un bien commun contaminant, dont les caractéristiques se transmettraient à chaque création qu’il aurait suscitée. Toute innovation réalisée à partir d’un bien commun devient elle-même un bien commun.
sylvainb

Strasbourg met en ligne 64 "bases" de données d'intérêt local - 0 views

  • Strasbourg met en ligne 64 bases de données d'intérêt local
  •  
    Open data à Strabourg
Tibor Katelbach

[Revue de presse] Démocratie participative: "Les entreprises disposent d'une mise en action plus rapide que les politiques" | think-tank.fondation-nicolas-hulot.org - 0 views

  • "Open Source Démocratie", c'est le thème de la 12e édition des Up conférences qui se tiendra ce jeudi soir à partir de 19 heures à Paris
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    "Open Source Démocratie", c'est le thème de la 12e édition des Up conférences qui se tiendra ce jeudi soir à partir de 19 heures à Paris"
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