On découvrit que Vénus est non-magnétique, le vent
solaire n'est arrêté que par sa haute atmosphère :
l'ionosphère. Ce vent solaire crée un type complètement
différent de magnétosphère, qui ressemble plutôt
à une queue de comète. D'autre part, la petite Mercure
(un
peu plus grosse que notre lune), un rocher sans atmosphère gazeuse,
en rotation lente, surprit les observateurs car elle est magnétisée,
son champ magnétique est faible et n'est pas suffisant pour capturer
de nombreuses particules, mais au passage de la sonde côté
obscurité, on observa un spasme soudain pendant lequel des particules
étaient, semble-t'il, énergisées.