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Jac Londe

Le PLQ et la CLASSE | Le Devoir - 0 views

  • Malgré cela, M. Blackburn se dit extrêmement préoccupé par le fait que des «groupes de pression annoncent explicitement leur intention de s'engager dans le débat électoral sans égards aux dispositions législatives»
  • «Après avoir récemment annoncée (sic) qu'elle ciblait une dizaine de comtés, la CLASSE voudrait aujourd'hui laisser croire que ses interventions ne seront pas faites dans le cadre de la campagne électorale. Ne vous laissez pas berner, nous sommes ni plus ni moins devant une possible violation de la Loi annoncée», déclare M. Blackburn.
  • «Pouvez-vous laisser ouvertement les grands syndicats, d'ici et d'ailleurs, financer cette organisation et d'autres groupes sans intervenir? Souhaitons-nous revivre des événements comme ceux de Victoriaville? Rappelons que la logistique de déplacement des manifestants, parmi lesquels se trouvaient des émeutiers, était largement financée par les grands syndicats», ajoute M. Blackburn.  
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  • «Il est primordial que vous rappeliez à tous les intervenants et à la population que les lois dont nous nous sommes dotés visent non seulement à assurer le bon déroulement des élections, le cas échéant, mais également à sauvegarder les institutions démocratiques sur lesquelles repose notre mode de vie et qu'en ce sens, vous entendez mettre tout en oeuvre pour faire appliquer la Loi», écrit aussi M. Blackburn.
  • Le problème n'est pas aujourd'hui de sauvegarder les institutions démocratiques, mais de faire en sorte qu'une réelle démocratie s'exerce au Québec. Les exemples sont trop nombreux pour devoir insister sur les manquements à la démocratie, la culture du secret et les décisions prises sans débat public lorsqu'il s'agit d'octroyer des permis aux compagnies minières et autres... Quand il y aura une réelle démocratie, on pourra alors parler de la sauvegarder !
Jac Londe

Carnavals: les dernières thérapies de groupe | Le Devoir - 0 views

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    "À Venise, on se souhaite chaque année quelques millimètres de neige pour que des centaines de Casanova sans âge et des milliers de marquises fleuries, défraîchies ou rafraîchies puissent glisser sur une fine poudreuse. Dans l'humidité de la ville, à travers les ponts qui se succèdent, les ombres et les silhouettes dans la nuit sont autant de personnages animés du même souci. Y jouer son rôle jusqu'au bout. De l'hôtel au Florian, des bals de la place Saint-Marc à une fête intime dans un des hôtels particuliers de la «Sérénissime», chaque masque de Carnaval a sa sensibilité, son histoire, sa névrose. On y déguise même certains pitous. Pourtant, Venise y détient un record. Celui des suicides étrangers reliés à une rupture amoureuse. Généralement, les individus choisissent une chambre d'hôtel assez confortable orientée vers la lagune et écrivent l'ultime lettre, avec en post-scriptum, une ligne dédiée à la beauté de la ville et à ses symboles. La mort et la vie, symbole des carnavals."
Jac Londe

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Jac Londe

«Maîtres chez nous» - On souhaitait transformer ici le minerai de fer de la C... - 1 views

  • «Maîtres chez nous» - On souhaitait transformer ici le minerai de fer de la Côte-Nord...
  • Mis en place dans les années 60, l'interventionnisme de l'État, qu'on connaît bien aujourd'hui, fut perçu comme le moyen privilégié pour assurer le développement de l'économie du Québec, qui tirait de l'arrière par rapport à ses voisins. Il s'agissait aussi et surtout de permettre aux Canadiens français, comme on les appelait encore à l'époque, de prendre leur place dans l'économie du Québec, de les affranchir de la domination économique qu'exerçaient Canadiens anglais et Américains.
Jac Londe

Notre démocratie détournée? | Le Devoir - 0 views

  • Le système de «représentation démocratique» par l'élection à intervalles réguliers est-il devenu une astuce commode permettant à une oligarchie politico-économique de mener le bon peuple par le bout du nez tout en augmentant son pouvoir et sa richesse?
  • En Amérique du Nord, la simple recherche de l'intérêt public est devenue une position retranchée de la gauche alors qu'il y a quelques décennies, c'était une position centriste.
  • Ce glissement se traduit par une désaffection envers l'État et la classe politique dont on craint, souvent intuitivement, la collusion avec les grands bonzes du privé — la nouvelle oligarchie qui dicterait à l'État ses orientations au moyen des planques dorées réservées aux commis serviles par le jeu de ce qu'on appelle les «portes tournantes». Certains politologues en sont venus à écrire qu'un bon politicien, c'est quelqu'un qui se demande jusqu'où il peut aller entre les élections au profit de ses bailleurs de fonds sans risquer d'être défait au prochain test électoral.
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  • exemple la réduction de l'impôt des sociétés, qui coïncide avec l'augmentation des inégalités financières et sociales, l'augmentation des risques pour la santé publique et l'environnement.
  • «Cela correspond, ajoute Louise Vandelac, à la tendance d'appropriation par le privé de biens collectifs publics, comme les ressources naturelles et même des services publics. C'est une tendance lourde qui a des conséquences évidentes sur la vie civile, politique et même universitaire et qui pose, ultimement, la question de ce qu'il advient de l'intérêt public.»
  • «la démocratie en Amérique est tellement malade qu'il n'y a presque plus de pensée critique solide, substantielle qui se rend sur la place publique.
  • Rancière le précise dans la revue Philosophie (février 2011), «la démocratie comme idée du pouvoir de tous peut disparaître, sous une forme douce, se dissoudre dans ces oligarchies tempérées que nous connaissons en Occident.
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Jac Londe

Boîte à surprise électorale | Le Devoir - 0 views

  • n 2008, M. Harper a demandé et obtenu de la gouverneure générale — Michaëlle Jean — une prorogation pour éviter un vote de confiance qui aurait pu donner le pouvoir à l'opposition réunie en coalition. Dans un livre du journaliste Lawrence Martin publié l'an dernier (Harperland), l'ancien directeur des communications de M. Harper indiquait que les conservateurs étaient prêts à faire appel à la reine si Mme Jean avait refusé la demande du premier ministre.
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